La question qui tue : vivez-vous dans la compensation ?

Quel titre !

Ça surprend ! Et ça intrigue un peu, non ?

La question qui tue ! Pourquoi ?

Et bien parce que c´est la question essentielle.

Quand on se la pose, cela signifie que l’on a fait un grand pas en avant pour résoudre son rapport à soi et au monde.

Et pour résoudre tous les problèmes de sa vie.

Par contre, si je vous la pose alors que vous n’êtes pas prêt à l’entendre, et bien cela va faire un choc entre nous…

Parce que cela fait un choc en vous.

Mais c’est quoi vivre dans la compensation ?

Et bien, il faudrait peut-être dire :

Menez-vous une vie compensatrice ?

En fait, êtes-vous conscient de la façon dont vous avez mené votre vie professionnelle et personnelle jusqu’à présent ?

Etes-vous capable d’identifier vos motivations profondes ?

Savez-vous exactement sur quel projet de vie vous agissez depuis des années ?

Et surtout, est-ce que vous savez en ayant dit « OUI » à quoi vous avez dit « NON » ?

Et pourquoi ?

Bon, si vous lisez ce contenu, c’est que ces questions font surface depuis quelques temps ; on est bien dans la crise de la quarantaine ?

Et elles vont être de plus en plus présentes, de plus en plus dérangeantes, de plus en plus douloureuses.

Alors, ce qu’il faut, c’est se les poser.

Oui, pour avancer il faut se poser ces questions qui sont souvent refoulées au fond de nous…comme un gros mensonge, un non dit, une faute inavouée, une tâche que l’on croit indélébile.

Quelles sont les attitudes de la compensation ?

Allez, on y va ? On se lance, on dit tout ?

Par rapport à l’entreprise, au travail, à votre job quoi, vous êtes comment ?

Comment vous situez la priorité professionnelle dans votre vie ?

Est-ce le plus important ? Est-ce que vous vous impliquez énormément ?

Etes-vous du genre hyperactif, toujours présent, déléguant peu, ambitieux, indispensable, dévoué, utile, et interprétation du pouvoir ? Ou bien êtes-vous très impliqué affectivement et émotionnellement auprès de vos collègues ?

Est-ce que cela vous prend toute votre concentration même en dehors du lieu de travail ?

Est-ce qu’à la maison vous fonctionnez avec les mêmes réflexes, les mêmes modes qu’au bureau ? Est-ce que vous prenez votre conjoint pour votre secrétaire ?

Oui, oui, je sais, quand on a des responsabilités professionnelles, on doit les assumer. Et puis, pour votre vie de famille c’est important de bien gagner votre vie. Oui, Ok, je suis d’accord.

Mais bon, comme je suis passé par là, je suis moins convaincu que vous de la motivation à s’investir autant au niveau professionnel ! Surtout, qu’il y a plusieurs façons d’être vraiment efficace. Et que la meilleure c’est que chaque statut de la vie soit à la bonne place, notamment celui de salarié ou même de chef d’entreprise.

Moi, je vois dans cette implication ressentie comme LA PRIORITE de votre vie, un signe révélateur d’une activité compensatrice. Laquelle ? On en parle plus loin.

Parce que je n’ai pas fini de décrypter les attitudes compensatrices.

Comment vous situez la priorité personnelle dans votre vie ?

Vous êtes devenus quel type de parent ? Complètement impliqué dans votre « devoir » vis-à-vis de vos enfants et de votre famille ?

Et votre relation avec votre conjoint, c’est quoi votre dévouement ?

Je pense en particulier aux femmes qui deviennent des mères hyper dévouées tant et si bien que l’on ne voit plus les femmes qu’elles sont, mais uniquement des mères hyper protectrices.

Et aux épouses qui sont là pour tout organiser afin que leur mari apprécie ce qu’elles lui apportent. La déception va être terrible, car mesdames, ne comptez pas sur la reconnaissance à votre dévouement, elle n’existe pas.

Mais, bon, c’est valable pour les hommes et femmes qui idéalisent leur conjoint à l’excès. Je connais aussi.

Cela va tenir combien de temps avant le plongeon ?

J’en connais qui craquent au bout de vingt ans quelles que soient leurs références culturelles ou religieuses.

Car il est illusoire de croire que l’on va vivre dans l’excès d’une partie de son être. Cette compensation est insuffisante dans le temps et elle aboutira à une souffrance encore plus grande.

Et si on parlait d’autres priorités dans votre vie ?

C’est quoi pour vous ?

Une sexualité débordante et le besoin de s’engloutir dans des aventures sans impact constructif sur votre vie,

Le sport à outrance pour avoir le physique qui vous convient le mieux pour exister face aux autres ? Ou tout simplement pour vous défouler dans votre démarche hyper active ?

Le culte de l’argent pour avoir l’impression de votre puissance ?

Ou bien l’altruisme exagéré qui vous conduit à vous désagréger derrière des causes toutes plus justes… et toutes plus usantes pour l’amour de soi.

Ces comportements sont des compensations.

Alors compensation de quoi ?

Et bien, si vous êtes dans l’excès concernant un aspect de votre existence, c’est que quelque chose ne s’est pas déroulé de la meilleure façon dans la construction de l’être que vous êtes.

C’est cela le choc dont je parlais au tout début de mon propos.

Et oui il y a eu un problème il y a longtemps, sans doute.

Et ce problème est responsable de TOUT LE RESTE.

Ce problème est responsable de vos problèmes passés et actuels quels qu’ils soient : rupture, épuisement psychologique et physique, difficultés professionnelles, et existentielles.

Car en fait, quand on vit dans l’excès dans un aspect de notre vie cela signifie que l’on porte un masque, que l’on cherche à dissimuler un manque en soi.

Et oui, il y a un manque, quelque chose en soi qui est difficile à assumer, c’est en principe un manque d’amour lié à une blessure du passé.

Je ne crois pas indispensable de décrire les situations du passé qui vous ont amenés à cette confusion qui vous a éloigné de la satisfaction d’être libre de votre vie.

Mais, j’ai pu croiser des personnes qui s’enlisent dans leur excès.

Souvent de façon visible avec quelques addictions faciles à identifier, ou bien des comportements plus discrets mais destructeurs tels que l’anorexie.

Sachez que l’excès est une confusion sur ce que vous êtes vraiment.

Une confusion qui vous empêche d’être heureux par vous-mêmes, heureux par ce que vous êtes, vous !

En réalité, vous adoptez un mode de vie qui est une dissimulation.

Cela vous amène à vous exprimer au travers du besoin de vous sentir utile.

Vous ne vivez pas en fonction du désir d’exister vraiment.

Le désir est pourtant le vrai moteur d’une vie sans confusion.

Le désir d’être soi.

Le changement positif maintenant !

Le changement positif que je vous propose aujourd’hui c’est de comprendre qu’il faut arrêter de s’égarer, qu’il faut arrêter de souffrir, qu’il faut arrêter de faire souffrir, qu’il faut arrêter de se détruire.

Il faut admettre que l’excès correspond à un manque.

Il faut admettre que votre construction en tant qu’homme ou femme, à travers les statuts que vous avez occupés au fur et à mesure de votre vie, tels que bébé, enfant, adolescent, frère ou sœur, copain, ami, conjoint, salarié, chef d’entreprise, parent, et bien il faut admettre que cette construction ne s’est pas bien déroulée.

Et que vous êtes dans la confusion.

Et que vous n’exprimez pas en harmonie toutes les identités que vous êtes, car l’une ou plusieurs d’entre elles se sont mal déroulées.

Les solutions pour accomplir votre vie

Soyons clair, vous ne vous comportez pas dans l’excès de façon pleinement consciente. Cette attitude n’est pas toujours un choix, c’est plutôt une situation qui s’est imposée pour survivre à ce qui ne s’est pas accompli comme cela aurait dû.

Donc, vous n’êtes pas coupable.

LA CULPABILITE EST INUTILE.

Elle ne crée rien de bon dans la vie, c’est un frein qui nuit à votre accomplissement.

Je pense que prendre conscience que vous avez mis en avant une partie de vous plus que les autres est un pas important vers le changement.

Ensuite, il faut déterminer la ou les causes, c’est-à-dire l’origine des blessures, des confusions qui vous conduisent à ne vivre, d’une façon souvent répétitive, qu’une partie de vous.

C’est le thème de ce blog, il faut « Vivre la vie qui vous ressemble ». Et pour cela, il faut accepter ce que l’on a mal vécu…et comprendre ce qui nous rend heureux.

Ce que j’en vois depuis l’activité de ce blog, c’est que vous êtes nombreux à chercher des solutions et à mettre en place des méthodes du changement, telles que je les propose, ou que d’autres vous proposent.

Mais, il y a une certitude, faire le point sur ce qui nous fait souffrir en profondeur n’est pas chose facile.

Et dans bien des cas, il faut se faire aider.

Car la prise de conscience nait principalement d’une souffrance physique et psychologique et d’un changement de situation qui amène de la souffrance. Sans cela, on continue dans une erreur inconfortable mais à laquelle on s’est habitué.

Vous le savez puisque vous lisez mes contenus et regardez mes vidéos, j’ai changé positivement ma vie, en découvrant ce qui au plus profond de moi et de mon passé était une souffrance non résolue.

Et maintenant, ma mission de vie est d’expliquer que le changement est possible ; que chacun mérite une vie heureuse, QUELLES QUE SOIENT LES DOULEURS OU INSUFFISANCES DU PASSE.

Je vous conseille toujours de suivre une thérapie dans une discipline qui vous convient le mieux. Cela me paraît un préalable indispensable pour avancer vers « la vie qui vous ressemble ».

Ensuite, et bien investissez sur vous, VRAIMENT.

Vous êtes la richesse de votre vie, soyez en conscient. Et donnez-vous le respect que vous méritez.

Mettez en place les changements positifs de votre vie, étape après étape, en révélant pas à pas ce qui est en vous, et vous rend unique.

Mettez en œuvre les méthodes qui vous révèlent à vous, en vous formant à votre accomplissement, en améliorant vos compétences, en développant de nouvelles aptitudes encore enfouies.

Je l’ai fait et vous pouvez le faire aussi. Je le vois maintenant régulièrement dans mon activité en contact avec vous par les échanges de messages ou les accompagnements périodiques.

Votre vie se prend en main MAINTENANT. N’attendez pas un an de plus pour « vivre la vie qui vous ressemble ».

N’hésitez-pas à me communiquer votre ressenti en cliquant ICI.

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A bientôt.

C’était Didier.

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