N°28 : Le bonheur était fermé de l’intérieur
Bonjour,
C’est Didier de www.changementspositifs.fr le site de la crise de la quarantaine et de la vie qui vous ressemble.
J’adore mon titre « Le bonheur était fermé de l’intérieur ».
Après cette autocongratulation, passons au sujet du jour, « le bonheur ».
Je suis convaincu que l’on choisit en grande partie d’être heureux ou malheureux. Et que ce n’est pas le bonheur ou le malheur qui nous choisissent.
Vous subissez des conditionnements qui vous conduisent à avoir une appréciation globale de la vie, et des évènements qui se déroulent, optimiste ou pessimiste.
Et puis, vous pouvez vivre les mauvais passages de votre existence avec plus de souffrance, et en vous laissant impacté fortement. D’autres, en souffrirons moins.
C’est votre façon de recevoir la vie qui provoque une souffrance plus forte.
Votre vécu reflète votre interprétation de la vie.
Vous croyez même que les autres ou l’extérieur vous imposent votre vie.
Ce qui n’est qu’en très petite partie vrai.
Tout au long de votre vie, vous faites des choix.
Vous dites oui à certaines choses.
Et donc non à d’autres choses.
A partir de là, certains croient qu’ils attirent les ennuis ou d’autres qu’ils attirent les évènements heureux.
On peut envisager que ce n’est pas tout à fait faux.
Mais, c’est souvent un état inconscient qui vous amène à prendre certaines décisions plutôt que d’autres, à agir ou ne pas agir, à rencontrer les autres ou à ne pas les rencontrer. Et c’est cet état qui construit votre façon de vivre et ce qui s’y déroule.
Donc, dire que vous influencez votre vie par vos conditionnements, c’est en partie vrai.
Cet état est largement conditionné, comme on l’a dit.
Et, cet état de réaction face à l’échec, ou à la réussite d’ailleurs, est largement entretenu par vos croyances limitantes.
Par exemple, vous parlez de chance, ou de malchance ; en ce qui me concerne ce ne sont pas des mots auxquels je crois.
Ma croyance, car il en faut, et une solide pour vivre heureux, et bien ma croyance c’est que l’on décide en très grande partie de sa vie ; en faisant ou en ne faisant pas.
Il vous revient d’interpréter la vie d’une façon qui vous permette de rencontrer les opportunités et d’en devenir une, d’opportunité.
Il vous revient d’apprécier ce qui est offert à tous, la nature, votre environnement et de l’apprécier. D’aller même à cette sensation si agréable de sentir en soi la nature et cette sensation tout aussi agréable d’en faire partie.
Il vous revient de décider plutôt que de subir. Il vous revient de décider de ce qui est bon pour vous sans attendre que d’autres décident pour vous.
Il vous revient de développer la personne que vous êtes et d’en faire profiter les autres.
Il vous revient de proposer la meilleure version de vous-même à votre existence et de rayonner sur le monde, qu’il soit autour de vous ou plus loin.
Il vous revient d’aimer, de vous aimer d’abord, et d’aimer les autres.
Il vous revient de construire une personne qui reçoit et qui donne, c’est-à-dire « vous ».
Il vous revient de dessiner la vision que vous avez de vous.
Il vous revient de développer vos potentiels ou de les faire émerger pour votre bien et celui de tous.
C’est ainsi.
Le bonheur c’est de vivre les moments agréables, simples ou exceptionnels, en les appréciant à leur juste valeur mais sans en tirer une gloire exagérée.
Le bonheur c’est de vivre les moments difficiles en les accueillant, les acceptant, en considérant qu’ils font partie de la vie, et que vous devez adopter l’attitude la plus créative et souvent innovante pour les dépasser.
Vous pouvez également penser que le bonheur est en partie tributaire de l’extérieur.
Et l’extérieur, en gros, ce sont les autres.
Et si vous êtes convaincu qu’ils vous impactent, et bien ils vous impacteront fortement.
Le bonheur est surtout tributaire de l’intérieur.
L’intérieur c’est quoi ?
L’intérieur c’est votre intériorité.
L’intériorité, c’est l’intérieur de soi. C’est l’ensemble de vos capacités et de vos sens qui, à partir de votre histoire, va vous permettre de définir que vous existez en tant qu’être à part entière, et que vous avez une définition de votre existence qui vous appartient.
Cet ensemble doit vous amener à aimer qui vous êtes, à construire qui vous êtes de mieux, et à le partager. Le bonheur ne peut pas être égoïste.
Et le bonheur, votre bonheur, ne dépend pas de vos possessions, même si elles ont leur intérêt et leur importance. Il faut surtout qu’elles aient un sens.
Le bonheur c’est d’être apaisé, vis-à-vis de vous, vis-à-vis de votre passé, vis-à-vis des autres.
Sans apaisement, il n’y a pas de bonheur.
Donc, retenez bien que le bonheur vient de l’intérieur de vous.
Et que vous devez vous l’autoriser, et lui permettre de sortir de vous.
Il ressemble à vos croyances, vos valeurs, vos envies.
Dessinez-le avec votre vision de ce que vous voulez vivre de bien.
Et ne le laissez pas enfermé.
C’était Didier, votre partenaire vers le meilleur de vous-même.
Vivez bien votre vie…à vous.
Et je vous dis à bientôt.
Pour suivre mes tweets quotidiens gratuits de transformation de vie, c’est ICI.
N’hésitez-pas à partager ce mail avec ceux à qui il ferait du bien.
