Retrouvez ici une partie des mails que j’envoie chaque jour à ma mailing-list

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Choisir votre point de départ ? Et la suite ?

10-07-2020

Salut lecteur sensible à la vie qui te ressemble,
 
Franchement, il y a une question qui se pose de temps en temps.
 
Et cette question ne peut-être posée sans lui donner un traitement et une finalité.
 
Alors, cette question, c’est « Quel projet de vie voulez-vous initier là, maintenant ? ».
 
Dans cette question, importante, il y a plusieurs aspects qui méritent votre attention.
 
D’abord, la situation de départ.
C’est-à-dire là où vous en êtes aujourd’hui.
 
C’est-à-dire ce qui fait qu’aujourd’hui est un bon jour pour changer votre vie.
 
Et bien, c’est tout simple, en fait.
 
Si vous n’avez plus de projet pour vous depuis un moment,
que votre vie ne ressemble pas à ce qui vous rend plein d’énergie,
et que vous ne diffusez pas de la joie de vivre, de l’apaisement et de la bienveillance autour de vous,
c’est que c’est le moment.
 
De plus, cela signifie sans doute aussi que votre crise de la quarantaine (quel que soit votre âge) se pointe à l’horizon, puisque ce que vous vivez n’est pas vous.
 
Et donc, il ne faut pas attendre, il faut décider.
Et décider c’est agir.
C’est prendre votre vie en main et la dessiner sur le grand livre du temps qui vous est imparti…et que personne ne connaît.
 
Autant ne pas perdre plus de temps à ruminer et à vous lamenter, et donc… passez à l’action.
 
Dans cette décision, et dans les actions à mener, il y aura la définition du projet de vie qui vous ressemble.
 
Vous pouvez vous poser une question du style :
« Quel projet voulez-vous bâtir pour votre changement de vie et comment y arriver ? ».
 
 
Dans ce projet de vie à venir, il y a aura plusieurs dimensions ; ça c’est un volet important de la méthode que j’ai construite.
Mais, ce n’est pas le premier point, puisque vous devez faire un chemin pour passer de « personne en crise de vie à personne qui vit sa vraie vie ».
 
Pour autant, votre projet de vie aura des aspects perso et des aspects pro, qui sont souvent liés. Ce qui est logique.
 
Après, il y a bien entendu la priorité que vous allez fixer à ce projet.
 
Et là, il y aura d’abord à préciser qui vous êtes ;
et quelle part de vous, vous voulez faire émerger,
et enfin récompenser par votre nouvelle vie.
 
Il y a donc un renouvellement de votre vie à mettre en œuvre à partir de votre vraie envie de vie.
 
Et ce projet de vie va impliquer des ressources, des actions, et un engagement.
 
C’est l’engagement qui déclenche l’impulsion pour construire votre changement de vie.

Comme moi, quand j’ai créé mon projet de vie autour de trois axes :

  • Comprendre que j’étais en crise de vie,
  • Mettre au point une méthode autour des changement positifs,
  • Pour finalité de vivre la vie qui me ressemble.

On en reste là aujourd’hui.

Soyez acteur de votre vie, c’est votre priorité absolue.

Info :
si un coaching avec moi vous motive, alors il y a peut-être encore une possibilité de rendez-vous.
Sinon, vous serez sur liste d’attente, car je prends très peu de personnes à suivre en même temps en coaching.

Ce n’est clairement pas pour tout le monde.
Donc, ne me contactez que si vous êtes motivé pour comprendre votre crise de vie et en sortir, et pour vivre la vie qui vous ressemble.

C’est un investissement sur vous ; en temps, en énergie et en euros.
En général, on fait deux Rv sur Skype par mois.

Adressez-moi un mail à didier@changementspositifs.fr en m’expliquant en quelques mots pourquoi vous voulez un coaching avec moi.

Et si vous préférez vous coacher d’une autre façon, il y a aussi la formation qui vous donnera de bons outils et un état d’avancement progressif, ICI.

N’oubliez-pas que pour changer votre vie, il suffit toujours d’une première décision.

Bonne journée.
C’était Didier de www.changementspositifs.fr
Vivez bien votre envie d’être vous.

C’est pas moi qui le dit, c’est Jung ! Et c’est top pour vous !

09-07-2020

Bonjour,
 
L’été est là, et vous pensez sans doute à être au soleil et à essayer de prendre des vacances.
C’est normal, surtout après la crainte d’être privé de toute liberté de mouvement, ce dont on n’a pas l’habitude.
Et oui, on a la liberté de bouger, de parler, de faire, d’être, et c’est très bien.
 
Un bémol, tout de même, c’est que cette liberté, vous vous la confisquez régulièrement.
Et parfois, pendant longtemps.
 
Hé oui, vous vous confisquez votre liberté d’être.
C’est la plus importante pour sentir que vous réussissez votre vie.
Mais, vous vous la confisquez.
 
Pourquoi ?
Vous le savez bien.
Ce sont vos conditionnements et vos peurs et vos blessures anciennes non cicatrisées qui vous amènent à renoncer.
 
Renoncer à quoi ?
Renoncer à mener la vie qui vous correspond.
 
C’est comme ça.
La plupart des personnes renoncent à vivre ce qui leur convient pour vivre une vie qui est formatée.
 
Résultat ?
Elles plongent dans une crise de vie quand cela devient insupportable.
Ou bien, elles attendent jusqu’à la fin de leur vie, entre soumission et frustration.
 
Ce n’est pas notre programme, vous le savez.
Pour nous, vous et moi, le programme c’est que la crise de la quarantaine est l’opportunité pour enfin se réveiller, s’éveiller, et construire votre nouvelle vie conforme à qui vous êtes.
 
Et c’est là que j’ai envie de vous parler de Jung.
Carl Gustav Jung, médecin, psychiatre, suisse, 1875-1961, s’est beaucoup intéressé aux rêves, aux religions, à la philosophie, à la sociologie, à l’art, à la littérature.
Il a parlé d’archétypes, d’inconscient collectif et de synchronicité.
 
Parcourons quelques-unes de ses citations qui rejoignent notre propos du jour sur le fait de vivre vraiment votre vie :

  •  « Les crises, les bouleversements et la maladie ne surgissent pas par hasard. Ils nous servent d’indicateurs pour rectifier une trajectoire, explorer de nouvelles orientations, expérimenter un autre chemin de vie. »
  • « Changer, c’est à la fois naître et mourir ».
  • « Soyez ce que vous avez toujours été ».
  • « Tu n’y verras clair qu’en regardant en toi. Qui regarde à l’extérieur, rêve. Qui regarde à l’intérieur, s’éveille ».
  • « Être normal est le but idéal de l’échec ».

Tiens, cette dernière citation, c’est complètement pour moi.
À la fin de mes études, j’avais décidé d’être normal et d’avoir un job de gestion costard-cravate …plutôt que d’accepter de travailler avec mon pote agent artistique parisien qui m’ouvrait grands les bras. Je vous laisse sur ces citations qui devraient vous interpeler suffisamment pour vous donner l’envie de révéler vos envies et surtout l’envie de vivre votre vie pleinement.

Vous permettre de réussir à vivre votre vie à vous, c’est ce que je propose dans mes formations. Allez donc voir.

Info : j’ai décidé d’ouvrir de nouveaux rendez-vous de coaching cet été, même si j’en ai très peu, pour être bien concentré sur chaque personne.

Ce n’est clairement pas pour tout le monde. Donc, ne me contactez que si vous êtes motivé pour le changement de votre vie.

C’est un investissement sur vous ; en temps, en énergie et en euros.
En général, on fait deux Rv sur Skype par mois.

Adressez-moi un mail pour qu’on valide si vous êtes prêt à vous engager pour vivre la vie qui vous ressemble.

N’oubliez-pas que pour changer votre vie, il suffit toujours d’une première décision.

Bonne journée.
C’était Didier de www.changementspositifs.fr
Vivez bien votre envie d’être vous.

Vous occuper de ce qui dépend de vous !

08-07-2020

Bonjour,

Je me souviens de mes 17 ans.

Comme j’étais cool !
Effectivement, pas de responsabilités autres que d’aller au lycée tous les jours.
17 ans, quoi !

Concentré sur très peu de choses !
Normal, pas beaucoup de sujets, à part la moto, les potes, le lycée, les copines.

Et ne m’occupant que de ce qui me concernait !
Toujours souriant et ne m’occupant que de ce qui dépendait de moi.

Ça, c’était pas tout le monde.
Il me semble que d’autres de mon âge étaient toujours impliqués, intéressés ou à l’écoute de ce qui ne les concernait pas vraiment.
Et donc, ils y investissaient du temps, de l’énergie et du stress.

Moi, je ne me sentais concerné que par ce qui me concernait directement.
Pas de l’égoïsme, je pense.
Plutôt un bon sens naturel qui faisait que je n’avais que les soucis de mon environnement direct.
A savoir, faire en sorte que ma moto soit en bon état de marche, que j’ai le budget pour y arriver (les boulots d’été, que de bons souvenirs), que je sois toujours avec les potes me faisant le plus rire, et que notes me permettent de passer d’une classe à l’autre.

Ensuite, la vie se complique, bien entendu !
Études, boulot, environnement plus stressant, mariage, famille, responsabilités perso et pro.

Et là, on change !
On a une vie qui se complique.
Normal, c’est comme ça.
Mais surtout, on se complique soi-même sa vie.

Et au lieu d’essayer de gérer ce qui relève de nous, on ajoute des tas de contextes qui ne dépendent pas de nous.

S’il y a un conseil que j’ai envie de vous donner, c’est bien de retrouver cette focalisation de vos 17 ans, s’ils ressemblaient aux miens.

A quoi ça rime de ruminer sur ce que vous ne pouvez pas changer ?

A quoi ça sert de vous investir sur des sujets pour lesquels vous n’avez aucune influence ?

A quoi ça amène de dépenser temps, énergie et stratégie sur des situations sur lesquelles votre impact sera nul ?

Je vous dis ça, je dis juste que c’est tellement vrai que vous vous investissez psychologiquement et physiquement pour des « causes » qui ne vous concernent pas !

Soyez concentré et utile pour ce qui dépend de vous !

Votre job pour la partie que vous avez à gérer.
Si vous êtes décideur ce sera étendu, bien sûr, mais n’élargissez pas le champ des réflexions et des soucis.
Soyez focus sur ce sur quoi vous pouvez agir.

Au niveau perso, c’est pareil.
Évaluez ce que sont vos priorités, vos soucis et ce qui dépend de votre prise de décisions.
Il ne sert à rien de vous investir dans ce qui ne dépend pas de vous.

Dans le même registre, pour arriver à être focus et acteur de vos soucis dont la résolution dépend de vous, pensez à fréquenter les bonnes personnes et à ne pas vous perdre sur les réseaux sociaux.

Votre vie au présent et axée sur vos propres réussites est le plus important.

Voilà pour ce petit mot qui je l’espère vous permettra de simplifier votre vie.

Quand on se concentre sur ce qui dépend de nous et de nos décisions et actions, on fait un grand pas en avant.

C’est ce que je propose dans mes formations. Allez donc voir.

Info : une place disponible en coaching personnalisé si vous voulez profiter de l’été pour relancer votre vie.
Ce n’est clairement pas pour tout le monde. Donc, ne me contactez que si vous êtes motivé pour le changement de votre vie.

C’est un investissement sur vous en temps, en énergie et en euros.
Deux Rv sur Skype par mois pour faire le point et avancer.

Adressez-moi un mail pour qu’on valide si vous êtes prêt à vous engager pour vivre la vie qui vous ressemble.

Bonne journée.
C’était Didier de www.changementspositifs.fr
Vivez bien votre envie d’être vous.

Être attentif à l’autre !

03-07-2020

Bonjour,

La réponse au jeu d’hier en fin de ce mail.

Il me semble qu’il est toujours bon d’être attentif aux autres.
 
Cela signifie qu’on est bien dans son présent.
 
Cela signifie qu’on n’a pas la tête dans les nuages.
 
Et donc que l’on n’est pas en train de ruminer sans cesse.
Vous savez ces ruminations qui squattent votre bien-être et le polluent en permanence.
 
Et aussi, que vous n’êtes pas dans un rêve permanent.
Par exemple, passer du temps à regarder ce que font les autres, connus-inconnus-people, sur les réseaux sociaux n’est pas un signe que tout va bien.
Et ce n’est pas le signe que vous êtes ancré dans votre propre réalité.
 
Alors, c’est quoi être attentif aux autres ?
 
Et aussi, c’est quoi être attentif à l’autre ?
 
Est-ce la même chose ?
Est-ce que cela demande les mêmes engagements ?
Est-ce que cela agit sur les mêmes moteurs ?
 
On va essayer de répondre à tout ça.
 
Être attentif aux autres, c’est au minimum considérer qu’ils ont autant de valeur que vous.
En tout cas, qu’ils ont leur propre valeur.
Qu’ils peuvent être différents.
Et respectés.
Il n’est pas question ici de les aimer sans les connaître.
Mais de leur porter de l’attention, aussi court soit le temps de la rencontre.
 
Et puis, vous ne savez jamais ce qui peut arriver d’étonnant et d’extraordinaire dans une rencontre même impromptue.
 
Enfin, être attentif est un bon constat de soi.
 
Quand on est heureux, libre d’être soi, et vivant, c’est-à-dire réalisant ses envies, et bien, on est toujours en contact avec ce qui nous entoure.
Et c’est un contact bienveillant et apaisé.
 
L’attention aux autres quand ils sont proches doit, bien entendu, être un moment qui a son intensité.
D’une manière ou d’une autre, c’est intense.
Car il y a un lien déjà existant.
 
Et il y a un message que vous faites passer dans l’attention à vos proches, c’est que vous êtes là pour eux.
Et qu’ils comptent pour vous.
Puisque vous êtes attentif à eux.
 
Et même si vous êtes fréquemment en lien avec certaines personnes, il n’y a rien de plus inutile et inconscient que de ne pas leur prêter attention.
 
En particulier avec les enfants, vos enfants, c’est important que chaque lien soit conforté par de l’attention.
Et donc, qu’être avec eux reste un moment où on est disponible pour eux.
Et aussi quand vous les quittez pour un temps court ou plus long.
Cela conforte, cela construit, cela réconforte et cela permet de faire le plein de résilience pour le futur. Pour eux…et pour vous aussi.
 
Et puis, on va parler de l’autre.
Celui, celle qui compte dans votre cœur.
Pour l’affection que vous lui portez.
Pour celle qu’il/elle vous porte.
Pour chaque fois qu’il ou elle est là pour vous.
L’autre qui vous rassure, vous encourage, vous soutient, vous console, vous aime.
Être attentif à l’autre c’est ne pas banaliser le lien et la durée de ce lien, ainsi que ce qui a été construit ensemble ; et tout ce qui reste à vivre encore…à deux.
 
Et tout ça, ce n’est pas rien.
 
Alors, pensez-y chaque jour.
 
Chaque rencontre, chaque séparation, peut être l’opportunité d’un geste, d’une écoute, d’un regard, bienveillant/e et apaisant/e.
 
C’est cela qu’on gagne quand on est capable d’accepter que sa vie mérite d’être vécue bien mieux.
Qu’elle mérite tout notre investissement.
Quand nos envies deviennent le moteur de notre avancée.
Que nous acceptons de comprendre que nous valons mieux que ce que nous vivons et qu’il y a mieux en nous.
 
Se dire simplement à chaque instant,
« Si je suis la meilleure version de moi, je dis quoi, je fais quoi, je vis quoi ? » ;
cela suffit à initier votre transformation vers un monde meilleur, le vôtre.
 
C’est ce que je propose dans mes formations et tous mes contenus gratuits ou pas.

Et, pour terminer, la phrase d’hier était piochée dans la série télé « Outlander » saison 5 :

« Comme on serait attentif, si on savait quel au revoir est le dernier. » Ok, la télé c’est le piège de vos rêves pouvant devenir réalité. Cela pousse à l’inertie plus qu’à la créativité de votre vie. Mais parfois…

Bonne journée.
C’était Didier de www.changementspositifs.fr
Vivez bien votre envie d’être vous.

Et si vous aviez le choix ?

01-07-2020

Salut lecteur,
 
C’est un état d’esprit que l’on a parfois et qui nous amène à nous poser la question de « Et si ? ».
 
Il me semble qu’il y a toujours un moment où on se pose cette question.
Avec la forme souvent de « Et si j’avais … ? ».
 
On peut continuer par la question complète qui est « Et si j’avais fait ça ou ça ? ».
 
Et moi, j’ai envie de vous la poser différemment cette question :
 
« Et si vous aviez le choix ? »
 
Parce qu’il y a deux temps dans ce type de questionnement.
 
Le premier temps est bien sûr de vous demander si vous auriez pu faire autrement en prenant une autre décision.
 
C’est le contexte des décisions que vous avez prises.
Mais, c’est aussi la question de savoir si vous avez pris ces décisions…vraiment.
 
Ou bien si vous avez accepté les décisions des autres.
 
Ça c’est le premier round.
 
Mais, ensuite il y a le deuxième round.
 
Ce deuxième temps, c’est de vous poser la question de « Et si vous aviez le choix ? ».
Oui, là, maintenant !
 
Et si vous aviez le choix de changer certains aspects de votre vie ?
 
Oui, c’est différent du premier temps.
Parce que vous vous projetez.
Parce que vous partez de maintenant pour aller vers demain.
Mais, surtout vous allez vers vos potentiels.
 
Quelle vie pour vous dès aujourd’hui et pour demain ?
 
Et si vous aviez le choix, que feriez-vous ? :

  • De votre corps
  • De votre couple
  • De votre job
  • De vos activités
  • De vos amis
  • De vos routines
  • De vos envies

Posez-vous la question, là, maintenant, en me lisant.

Et maintenant, posez la question d’une autre façon.

Que dois-je faire pour avoir le choix ?

Voilà une question qui remue.
Parce que c’est la bonne question.

Parce qu’en fait, vous avez le choix.

Mais, il faut un point de départ pour décider que vous avez le choix.
Il faut un point de départ pour activer ce choix.

On en parlait au dernier mail.
L’impulsion est indispensable.

C’est un état d’esprit à attraper au vol quand il se présente.
C’est une envie à ancrer avant qu’elle ne subisse l’habitude de « laisser tomber » pour laquelle votre cerveau est programmé.

Il faut toujours un point de départ.

Et il faut toujours une envie d’aller voir comment c’est d’avoir le choix.

Donc, on répète avec moi :
« Mon envie de couple, de job, de famille, de lieu de vie, de potes, d’activités, c’est quoi ? »

Comment je fais pour la réaliser, cette envie ?

J’active quoi ?

Je mets en place quoi ?

Et pour vous permettre d’activer tout ça, c’est ici : programme d’accompagnement en 21 séances audio .

Bonne journée.
C’était Didier de www.changementspositifs.fr
Vivez bien votre envie d’être vous.

Le TRUC INDISPENSABLE pour réussir votre changement de vie …et comment le mettre en place

29-06-2020

Bonjour lecteur,
 
Bien entendu pour s’intéresser à ce sujet du changement de vie, il faut avoir envie de changer de vie.

Mais, si vous êtes lecteur de la newsletter d’un site (www.changementspositifs.fr )
dont la thématique est la crise de la quarantaine,
dont la sortie de crise est basée sur le changement positif,
et pour une finalité de « vivre la vie qui vous ressemble »,
c’est que vous êtes concerné.
 
C’est-à-dire que vous êtes en pleine crise de vie.
Ou alors que vous sentez que vous allez rentrer dans la crise.
Ou enfin, que vous allez rechuter alors que vous croyiez en être sorti.
 
Bien entendu aussi, il faut que vous soyez actif dans votre challenge de sortie de crise de la quarantaine (quel que soit l’âge auquel elle se présente, de 35 à 65 ans à ce que j’en vois).
 
Considérons que vous êtes concerné par le changement de votre vie.

De toute façon, quand on se sent mal dans sa vie, c’est qu’il faut changer.
Changer le logiciel de votre vie.
Changer votre mode de fonctionnement.
Changer vos paramètres de base qui sont arrivés à vous saturer.
Oui, il faut changer votre interprétation de la vie.
 
Mais, comment arriver à changer ?
Là, on parle essentiellement du point de départ.
Bon, vous devez bien vous douter que si ça ne va pas, il faut lancer quelque chose de nouveau.
Mais, comment le faire ?

Qu’est-ce qui va faire le changement ?

Il y a un truc.
Un truc tout simple.
Un truc évident.
Vous le savez.
Mais, vous ne le faites pas.
Et pourtant, ce truc est indispensable.
 
Alors, c’est quoi ce truc ?
Et bien, ce truc c’est …l’impulsion.
 
Et c’est quoi l’impulsion ?
L’impulsion c’est un moment et une action.

C’est-à-dire ?
C’est un moment important du changement.

C’est le moment où vous prenez la main sur la voix de fond.
 
Vous savez bien, cette voix au fond de votre tête qui vous dit que c’est trop tard.
Que c’est inutile.
Que rien ne changera jamais.
Que vous ne le méritez pas.
Que vous n’avez pas le niveau.
Que vous êtes un rêveur.
 
Et c’est une action, car vous agissez tout à coup.

C’est quand vous prenez la main.
Même un court instant sur votre cerveau.
Votre cerveau qui vous dit :
Prends encore une bière.
Ouvre le sachet de chips.
Finis le paquet de bonbons.
Regarde un autre épisode de la série.
Continue comme ça, ton job, ta famille, ton couple, ta vie, c’est suffisant.
 
L’impulsion c’est quand vous trompez votre cerveau.
 
C’est quand vous prenez le dessus pour un instant.
Et que vous passez à l’action.
Même une petite action.
Même un petit mouvement.
 
Ce qui compte c’est d’initier le changement de comportement, d’attitude, de mode de fonctionnement.
 
A un moment donné, l’impulsion va vous permettre de sortir de l’inertie (votre zone de confort comme disent certains qui ne comprennent rien au confort de la vie).
 
Vous savez pourquoi c’est important ?
Parce que cette impulsion peut devenir une nouvelle situation.

Au minimum, elle va vous lancer dans le changement de réponse à votre stagnation actuelle.

Et cette impulsion pourra aboutir à un évènement significatif de votre vie.

L’impulsion est nécessaire à tout « hasard ».
C’est peu de chose parfois.
Un coup de téléphone.
Un mail.
Ou un peu plus.
Une rencontre.
C’est parfois juste le pas en avant supplémentaire d’un projet, d’une envie d’être et de réaliser.
C’est le fait de croire qu’il y a une étape à franchir de plus.

C’est aussi un peu comme on lance la ligne de sa canne à pêche au-dessus de l’eau.
C’est, de toute façon, toujours un choix, une décision, une action, un mouvement, de votre part, vers l’extérieur.

C’est lancer une action qui aboutira, peut-être, un jour, proche, ou plus lointain.
C’est ça le hasard.
 
La première impulsion est indispensable pour lancer le mouvement du changement.

Ensuite, il y en aura une deuxième.
Puis, une troisième.
Et votre cerveau sera habitué du fait.

Et au lieu de vous dire « Laisse tomber », votre cerveau vous dira « Vas-y, c’est pour toi ».

Pour y arriver, à lancer la première impulsion, puis à enchainer les impulsions, enfin à changer votre vie pour vivre la vie dont vous avez envie ?
et bien, j’ai créé 21 étapes bien claires. En audio, pas à pas vers une nouvelle vie…qui vous ressemble.
 
C’est ici : programme d’accompagnement en 21 séances audio .
 
Pour terminer, une citation de CONFUCIUS :

« La vie de l’homme dépend de sa volonté ; sans volonté elle serait abandonnée au hasard. »

Bonne journée.
C’était Didier de www.changementspositifs.fr
Vivez bien votre envie d’être vous.

Quel est votre PIRE ennemi ?

26-06-2020

Bonjour lecteur,
 
Avant de parler de votre pire ennemi, il faut poser ce qui est important dans votre vie.
 
Et c’est ?
Bien entendu, c’est de vivre une vie qui vous ressemble.
 
Sinon, vous vivez quoi ?
Une vie définie par les autres, et pour d’autres que vous.
 
Quand je dis « définie par les autres », je parle des conditionnements.
Vous avez reçu ces conditionnements dès votre naissance.
Ils se sont accumulés pour vous dire comment vous devez vivre.
 
Et pas, comment vous êtes fait pour vivre.
 
Ça c’est la base de vos problèmes actuels.
 
Car cela vous pousse à vivre une vie qui ne vous correspond pas.
 
Et donc ?
Donc, quand « ce que vous vivez n’est pas vous », et bien, vous souffrez, et vous vous usez.
 
La solution ?
CHANGER.
En commençant par vous !
 
Sauf que !
Sauf que ?
 
Sauf que votre pire ennemi vous en empêche.
Et donc, aujourd’hui, vous êtes dépassé par votre vie.
 
Et vous n’arrivez plus à vous concentrer sur ce qui est important pour vous :
 

Faire en sorte d’être heureux dans votre vie de tous les jours.
Vous avez beau y réfléchir,
Vous avez beau essayer de lancer des projets, des initiatives,
RIEN NE CHANGE VRAIMENT.

Vous êtes éparpillé, dispersé entre plusieurs actions incohérentes.

Vous êtes tiraillé par l’envie de changer votre vie et l’inertie de mettre ce changement en place.

Et ça, c’est la faute de votre pire ennemi.
Votre cerveau.

Il peut tout faire.

Il peut tout défaire.

Il peut réaliser tous vos rêves.

Il peut aussi réaliser toutes vos peurs.

Votre cerveau peut tout.
Le bien comme le mauvais.

Il peut vous empêcher de réussir.

Bien plus que n’importe quel facteur externe.

Le problème ?

Ce n’est pas l’extérieur.
Ce n’est pas les autres.
Ce n’est pas l’environnement.

Ça, c’est des excuses.

Votre cerveau ?
C’est lui qui vous dit que « non, ça, tu ne peux pas y arriver ».
Vous savez ces fameuses croyances limitantes dont on a déjà parlé.

Votre cerveau ?
C’est lui qui vous engage dans de mauvais combats.

Votre cerveau ?
C’est lui qui vous pousse à vous investir dans des activités et des sujets, juste pour l’égo.

Au lieu de vous concentrer sur l’essentiel.

Sur ce qui a un impact sur votre vie.

Sur ce qui vous amène à sortir de la crise de vie.

Sur ce qui vous permet de construire une vie en accord avec vos envies.

Sur ce qui vous fait vous sentir épanoui.

Votre cerveau vous disperse, vous endort, vous attire vers des leurres.

Alors, comment faire ?

Pour réussir, il faut le tromper.

Il faut tricher avec votre cerveau.
Et le canaliser.
Et le faire de façon à ce que ce soit facile.

Le secret ?
Ce n’est pas un système d’efficacité magique.
Ce n’est pas de se motiver en se promettant une récompense si on arrive au bout de notre to-do list (on préférera toujours y renoncer et procrastiner à la place…).

Le secret ?
C’est le plaisir de vous sentir créatif et impliqué.

Et de le faire à votre rythme.

Et à votre manière.

Mais, pas n’importe comment bien sûr.

Il faut parvenir à vous mettre sans douleur au changement de votre vie.
Comme ça.
Jour après jour.

Vous vous concentrez uniquement sur ce qui compte et vous fait avancer… vraiment.

Et tout ça en 21 étapes bien claires. En audio, pas à pas vers une nouvelle vie…qui vous ressemble.

C’est ici : programme d’accompagnement en 21 séances audio .

Bonne journée.
C’était Didier de www.changementspositifs.fr
Vivez bien votre envie d’être vous.

Comment engager l’action pour de vrais résultats ?

25-06-2020

Bonjour lecteur,

C’est dans l’esprit de chacun de mesurer une réussite ou un échec aux résultats.

Mais cela dépend des résultats recherchés.

Autant trancher tout de suite, parler de « réussite ou d’échec » me gêne.

Parce que ce qui me semble important, c’est de faire les choses.

Et à partir de là, vous aurez toujours un apprentissage de l’action.
Et ça, c’est bon pour vous.

Donc, le résultat a son intérêt, mais l’engagement et le chemin comptent.

Mais, il y a une question principale pour nous, dans notre thématique.

Je vous la rappelle cette thématique ?

La crise de la quarantaine (quel que soit l’âge auquel elle survient).
Avec comme moyen : le changement positif.
Et pour finalité : vivre la vie qui vous ressemble.

Donc, on revient à la question principale !

Quel est le résultat qui compte le plus pour vous ?
Et bien, c’est la transformation de votre vie.

C’est ce résultat qui doit guider vos actions.
Transformer votre vie pour vivre le meilleur de vous-même.

Et ça, cela passe par des moyens.
Et ces moyens ne sont pas de vous remettre au jogging, ou de partir une semaine en vacances.
Même si ça peut en faire partie.

Le moyen essentiel c’est le changement.
Et le changement qui a de la valeur, c’est le changement de …vous !


Sauf que changer ce n’est pas facile, comme on l’a dit hier.

Donc, il vous faut un moteur du changement.
Et ce moteur c’est l’envie.

Oui, mais comment trouver l’envie ????

Déjà, vous devez être plus conscient que fatigué.

Et oui, on ne décide pas grand-chose quand on est usé, crevé, laminé.

Donc, il faut vous reposer pour pouvoir à nouveau activer votre envie, moteur essentiel du changement.

Ensuite, vous devez mettre en place une méthode.

Il vous faut, semaine après semaine, réactiver votre corps et votre esprit. Et vous réhabituer à décider.
Décider de ce qui est le mieux pour vous. Donc, pour votre transformation.

Engager l’action se fait par la méthode, et sur la durée, pour éviter de rechuter.

La rechute, c’est quand vous replongez dans le train-train qui vous lamine, en vous disant que le changement sera pour demain.
Et que vous reprenez une bière, au lieu de ménager votre corps et votre esprit.
Et de préparer votre changement de vie.

On récapitule ?

Constat : vous vivez une vie qui n’est pas « vous ».
Décision : par l’envie (être en vie).
Moyens : engager chaque jour le changement positif de vous-même.
Méthode : engager un planning de transformation pour changer votre vie.
Résultat : transformation de votre vie.

Et si vous voulez utiliser le programme que j’ai mis au point pour vivre la vie qui me ressemble et découvrir mes potentiels et ce qui me rend heureux, et bien c’est ici : programme d’accompagnement en 21 séances audio.

Et non, il n’est pas en promo. Et oui, votre engagement dépend de vous !

Bonne journée.
C’était Didier de www.changementspositifs.fr
Vivez bien votre envie d’être vous.

Pourquoi certains passent à l’action et pas d’autres ?

24-06-2020

Salut lecteur,
 
Désolé, je n’ai pas été assidu depuis quelques jours.
Alors que l’objectif de ce mail quotidien ou quasi quotidien est de fidéliser.
 
Fidéliser les plus concernés par la réussite de la sortie de crise …ou pour éviter la crise la plus dure.
Et le rythme soutenu des mails permet de rester concentré sur cet objectif essentiel :

« Ce qui n’est pas vous, doit être changé, avant de vous entrainer vers une crise de vie super difficile ».
Et ce rythme permet aussi de faire partir ceux qui ont juste sauté sur un guide gratuit à l’inscription et qui ne l’ont de toute façon pas lu ni utilisé.

Le gratuit n’est pas valorisé, c’est dans la psychologie humaine.

On ne met de la valeur que dans ce qui nous coûte de l’effort, du temps, de l’énergie, des euros.

Sortir de la crise de vie et vivre une vie qui vous ressemble est un chemin choisi par vous et challengé par votre investissement personnel.

Il y a toujours une décision à prendre.

Mais pas uniquement.
Cette décision doit vous impliquer vraiment.

Il est inutile de dire « je vais changer ma vie » si cela n’est pas suivi d’une action immédiate.
Et d’un planning d’engagement.

Il faut savoir à quoi vous vous engagez.

Vous n’aimez pas ce que vous vivez ?

Et bien, il faut le changer.

C’est tout.

En tout cas, c’est votre point de départ.

Ensuite, vous engagez un cycle vertueux, celui de réussir votre changement.

Et pour cela, il vous faut une méthode.

Sans méthode, planning, régularité, le changement ne se fera pas.

Tout restera pseudo envie, et surtout faiblesse.

Changer est un défi que vous vous imposez.

Et cela prend quelques jours pour vous y tenir.
Cela prend de l’énergie de dire que vous allez changer des choses dans votre vie.

C’est aussi de la psychologie humaine de base que de comprendre que l’habitude, même la plus toxique pour vous, est difficile à changer.

On se cantonne facilement dans une mauvaise vie, car …c’est plus facile.

Sauf que… ce qui est facile aujourd’hui rend la vie plus difficile aujourd’hui et demain, et après-demain.

Il est toujours plus facile de s’avachir sur le canapé, devant une série télé et avec un sachet de chips et du soda.

C’est la pire des situations, celle du déni.

Cela vous semble rude ?

Je ne suis pas là pour vous dire de continuer à vous pourrir votre vie.

Je suis là pour vous encourager à vivre une vie plus saine et plus en adéquation avec vos envies.
Une vie qui donne de l’envie et de l’énergie.
Une vie créative de qui vous êtes vraiment.

Et si vous êtes prêt à vous engager vers la renaissance de votre vie, et bien, vous avez ce programme d’accompagnement en 21 séances audio que j’ai construit spécialement pour vous.

C’est le programme que j’ai testé sur moi pour vivre la vie qui me ressemble et découvrir mes potentiels et ce qui me rend heureux.

Bonne journée à tous.
C’était Didier de www.changementspositifs.fr
Vivez bien votre envie d’être vous.

La déception n’est pas une condamnation à perpétuité

12-06-2020

Bonjour, hello,
 
Hier, nous avons parlé dans un mail, plus long que d’habitude, de l’amour, du lien, du bonheur…à deux.

Mais, comment ne pas parler longuement de l’amour.
L’amour est si complexe.
 
L’amour a tant de visages, tant d’expressions, tant de retenues, tant d’exagérations, tant de mots, tant de silences.
 
Et hier, j’abordais par une phrase, un aspect de l’amour, en disant que :

La déception n’est pas une condamnation à perpétuité.

Il me semble que ça vaut le coup d’approfondir cette phrase.
Ces mails du jour sont destinés à vous permettre de réfléchir à votre vie et à vous aider à prendre des décisions pour devenir la meilleure version de vous.
 
Donc, on va regarder cette phrase et la situer dans son contexte.
 
L’aspect principal de cette phrase c’est de considérer qu’une déception peut entraîner une souffrance, un chagrin, une culpabilité, un deuil qui durent toute une vie.
 
Et cela arrive souvent.
La déception d’une relation qui se termine sur une grande blessure narcissique entraîne une désillusion durable.
 
Alors, quand je parle de blessure narcissique, je parle de quoi ?
En fait, je parle de six blessures principales que vous pouvez ressentir plus ou moins fortement dans votre vie.
Et bien sûr, elles peuvent durer…une vie entière…si elles ne sont pas identifiées, acceptées, dépassées.
 
Ces blessures ont un impact sur votre interprétation de la vie et sur votre attitude vis-à-vis des autres, et vis-à-vis du monde.
 
Ce sont les blessures suivantes :

  • Abandon
  • Humiliation
  • Impuissance
  • Injustice
  • Rejet
  • Trahison

Ces blessures touchent à l’estime de soi.

Quand vous êtes blessé dans une relation amoureuse, récente ou ancienne, mais encore plus si elle a duré, et bien, vous souffrez d’être la personne que vous êtes.
Et vous souffrez de la personne que vous avez aimée et en qui vous aviez confiance.
La blessure entraîne un regard sur soi qui peut être dévastateur.

Mais, il faut reconnaitre que la plupart du temps, il n’y a que réactivation d’une blessure ancienne.

Effectivement, vous avez déjà souffert par le passé.
De la même façon.
En tout cas, cela réveille le même type de souffrance en vous.
Le même regard sur vous.
Le même regard sur les autres.
Le même regard sur le monde.
Et souvent les mêmes attitudes face à la situation et à la blessure.

Et oui, le passé est toujours là.
Aussi douloureux.
A cause de ce présent, là, qui est douloureux.
Et vous rejouez le même scénario.
Ce qui est du passé, et qui n’est pas réglé, restera toujours une plaie non cicatrisée, prête à s’ouvrir au moindre déclencheur.

Vous le savez, cela fait partie de ce que nous essayons de solutionner ensemble, à travers coaching, formation, divers contenus et ces mails du jour, car c’est important.

Il est difficile de courir avec un sac de ciment sur le dos.

Ce sac c’est votre peine, trop présente, et votre estime de soi, malmenée.

C’est en ce sens que je vous disais que, quelle que soit votre déception et votre désillusion, il n’y a pas de logique à demeurer blessé toute votre vie.

Et avoir souffert à cause de l’autre ne signifie pas que l’on doit conserver la souffrance à vie.
Il y a tellement de sentiments puissants à vivre.

Je comprends que l’on puisse admettre que l’on ne vivra plus la même chose avec un nouveau conjoint.
On vivra autre chose.
Pour un autre lien.
Pour une autre durée.
Pour un autre projet.
Pour un autre épanouissement.

Enfin, il y a aussi un autre aspect de cette « phrase titre » de ce mail.
C’est que même si vous êtes l’auteur, souvent maladroit, de cette déception, vous devez aussi dépasser cette blessure de culpabilité.

La blessure est infligée à l’autre.
Mais, souvent, vous la ressentez autant.
Vous avez été maladroit, inconstant, confus et vous avez blessé.
Et là, vous en souffrez.

Et bien, le message est le même.
Comprenez, acceptez et avancez.
Et ne prenez pas perpétuité.

Devenez la meilleure version de vous-même.
Et soyez apaisé et bienveillant.

Car ce qui compte c’est d’évoluer et de s’améliorer.

Et de vous tenir prêt à la rencontre qui vous fera encore vibrer, quel que soit votre âge, car…cela arrivera.

Pour vous, la formation qui permet de définir votre chemin, un coaching en 21 séances audio : « Le booster-Coach de votre vie » à retrouver sur le site

Paiement en deux fois possible jusqu’à dimanche 18h00.

C’est un investissement sur vous.
Pour de nouveaux résultats.

Bonne journée à tous.
C’était Didier de www.changementspositifs.fr
Vivez bien votre envie d’être vous.

Peut-on vivre sans aimer et être heureux de cette vie ?

11-06-2020

Bonjour,

L’idée de cette question du jour vient de ce que certains peuvent affirmer parfois.
J’en connais qui disent qu’ils vivent très bien sans personne dans leur vie.
Ou alors sans aimer.

Ce qui n’est pas forcément la même chose.

Bien sûr, il faut d’abord s’intéresser aux notions que l’on aborde.
L’amour, le bonheur, le lien, la vie.
Je sens qu’il va être un peu plus long que d’habitude ce mail.
On y va !

Aimer a plusieurs formes.

On aime une personne par la passion qu’elle fait ressortir de nous.
C’est un type d’amour puissant que l’on ressent en principe rarement dans une vie.
Sauf à être très incontrôlable au niveau affectif.
Effectivement, il me semble que l’on ne peut pas éprouver de passion toutes les semaines pour des personnes différentes.
Disons, que je me rappelle avoir ressenti cet aspect-là, lorsque j’étais jeune et incapable d’éprouver un amour venant d’ailleurs que de l’énergie de la jeunesse et des sens en ébullition.
Après, si cela dure, c’est qu’il y a un problème à traiter.

Il y a bien entendu cette passion que l’on ressent pour une personne.
Et qui peut durer longtemps si le couple partage suffisamment de points de convergence, de projets et d’intimité.
On en a déjà parlé de cette notion d’intimité si importante.
Sans oublier la sexualité.

L’amour c’est aussi ce que l’on ressent envers ses enfants.
C’est un amour très fort et qui dure.
Il remplit la vie des parents car les enfants sont au centre de ce que la vie leur apporte.
Cela ne doit pas nuire à l’existence du couple, mais cela compte tant.
C’est normal car à un enfant on donne tout ce que l’on est de meilleur. Il a besoin de nous pour survivre. Le bébé d’homme n’est pas autonome dès la naissance. Il a besoin de soin et de protection pendant longtemps.

Donc, l’amour, c’est d’abord se demander qui aimer.
Quelle personne me permet de me sentir moi, tout en me rendant heureux d’être là pour elle aussi.

Ensuite, il faut se demander comment aimer.
Quelle relation, quels échanges et quels partages font que je sais aimer.

Et aussi, si l’on est prêt à renouveler ces aspects du comment aimer avec une nouvelle personne.
Car la question de l’amour passe aussi par cette situation très fréquente de la séparation des couples.
Et donc, de la potentialité d’un nouveau couple.

Certains préfèrent la solitude.
Ou la subissent.
Oui, la solitude n’est pas forcément bien vécue.
Si vous vous retrouvez seul suite à une crise du couple, qui peut aussi survenir d’une crise de la quarantaine, et bien, vous allez souffrir de la solitude qui vous est imposée.
Et donc, si rien n’est vraiment réglé au niveau de la crise de vie, vous allez vous précipiter dans une nouvelle relation pour ne pas être seul.
Mais, est-ce que ce sera de l’amour ?

La solitude, bien acceptée, est un outil d’autonomie et d’acceptation de soi.
Les solutions apportées grâce à la solitude sont celles qui sont plus impactantes de la meilleure version de vous-même.
Ensuite, il y a peu de situation où l’on ne rencontre pas la bonne personne quand on a bien vécu la solitude d’après la crise de vie.
Si la crise est bien gérée comme il faut le répéter toujours.

Il y a une notion importante de l’amour, c’est celle d’être aimé.
Et oui, aimer c’est bien.
Mais, être aimé, c’est bien aussi.
Comment imaginer accepter qu’il n’y ait pas de retour.

Vous méritez d’aimer la bonne personne.
Comme vous méritez d’être aimé par la bonne personne.
C’est un apprentissage essentiel de la crise de vie.

Enfin, on peut penser à la notion de bonheur.
Le bonheur est un ensemble d’épisodes impermanents qui nous font apprécier ce qu’on vit et ce qu’on a choisi de vivre.
C’est un sentiment d’être apaisé et bienveillant dans un environnement qui nous rassure.
Cet environnement va subir des aléas, des changements qui peuvent être déstabilisants.
Mais, comprendre que le bonheur c’est profiter des moments plus faciles et joyeux, et accepter les moments plus difficiles, qui sont formateurs, et bien, c’est être sage.
Et sur le chemin du bonheur.

Alors, on répond à cette question du jour ?
« Peut-on vivre sans aimer et être heureux de cette vie ? »

L’être humain est un être de lien.
Il a besoin d’être en relation avec les autres.
En plus, il est capable de ressentir très fortement l’amour à donner et l’amour à recevoir.
Enfin, il s’épanouit encore mieux dans le lien que dans la solitude (sauf à intégrer ce que j’ai dit plus haut).
Donc, cette solitude doit être passagère ; un apprentissage. C’est mieux.

Et je pense que ceux qui m’ont dit que, vivre sans personne et sans aimer, était satisfaisant, ne sont pas tout à fait honnêtes envers eux-mêmes.

L’amour est une trop belle émotion et entraine de tellement beaux comportements qu’il est dommage de s’en passer.

Et avoir souffert à cause de l’autre ne signifie pas que l’on doit conserver la souffrance à vie.
La déception n’est pas une condamnation à perpétuité.
Comme je l’ai dit dans mes formations sur le couple, la rupture et la séparation (à voir sur le site).
Il y a d’autres sentiments puissants à vivre.

Je comprends que l’on puisse admettre que l’on ne vivra plus la même chose avec un nouveau conjoint.
On vivra autre chose.
Pour un autre lien.
Pour une autre durée.
Pour un autre projet.
Pour un autre épanouissement.

Donc, je conseille de vous éveiller grâce à la crise de vie et ensuite de vous tenir prêt à la rencontre qui vous fera encore vibrer, quel que soit votre âge, car…cela arrivera.

Le sujet n’est de toute façon pas clos. On en a abordé qu’une partie.

Un petit rappel d’une formation qui permet de trouver son chemin, un coaching en 21 séances audio : « Le booster-Coach de votre vie » à retrouver sur le site

Bonne journée à tous.
C’était Didier de www.changementspositifs.fr
Vivez bien votre envie d’être vous.

Les gens ne changent pas d’avis !

09-06-2020

Bonjour,

Alors c’est vrai que je m’adresse en principe à des lecteurs qui souhaitent changer leur vie pour une vie qui leur ressemble.

Et c’est tout aussi vrai que ces lecteurs connaissent les principes de la crise de la quarantaine, ou de la crise de vie.

Donc, à partir de là, on pourrait dire que mes lecteurs sont des personnes conscientes que leur vie ne va pas bien.
Conscientes qu’il y a mieux à vivre pour elles.
Conscientes qu’il y a des causes à trouver.
Conscientes qu’il y a une autre façon de faire.
Et conscientes qu’il faut changer pour vivre cette nouvelle vie qui les rendra plus heureuses.

Donc, en principe, vous avez l’envie et la capacité de changer.

Et bien entendu, cela signifie que vous avez assez d’ouverture pour changer d’avis.

Pourtant, ce n’est pas le premier mouvement de chacun, quand on rentre dans le détail de la situation de changement de vie.

Parce que vous avez des réflexes très conditionnés.

Et à partir de là, changer d’avis sur quoi que ce soit est une douleur.

Et c’est aussi une remise en question de votre ego.

Ha la la, le voilà encore celui-là, l’ego.

L’ego, c’est le réflexe qui vous amène à vous surprotéger alors que ce serait bien de tout prendre plus cool.

Avec l’ego, vous êtes en mode défensif.

Sans l’ego, vous êtes en mode …autonomie.

Et face à l’ego, on est bien faible.
Hé oui, les amis, vous êtes faibles car soumis à une réaction quasi instinctive, que vous faites durer tant que vous n’êtes pas apaisé.

Et être apaisé, c’est l’être face à quelqu’un d’autre.
On reparle ici du regard des autres.

Donc, on a conditionnement de vos réactions et approbation des autres.

Et tout cela, emmêlé dans un ensemble de croyances.

Et les croyances sont par définition limitantes quand elles n’amènent pas à être apaisé, bienveillant et créatif de sa vie.

Franchement, faire de la crise de vie une opportunité pour changer de mode de fonctionnement et d’interprétation est un grand bonheur.

Mais, ce n’est pas pour tout le monde.

C’est ce qui explique que, de temps en temps, je force le ton pour éloigner ceux qui ne feront jamais rien pour eux-mêmes.
Ils continueront à se plaindre, à déprimer, à en vouloir au monde entier, et à …faire la même chose.

Pour obtenir les mêmes résultats, comme on l’a dit hier.

Je vous le dis encore aujourd’hui :
« si vous n’êtes pas capable d’accepter que le changement de vie dépend de vous, et bien, c’est que vous préférez la souffrance à l’action ».

Et donc, réussir votre vie dépend de ce que vous êtes capable de mettre en œuvre, vous-même.
Et cela implique de changer d’avis sur certaines choses.

Sur le fait que la vie puisse être vécue différemment.
Sur le fait que vous aussi pouvez le faire.
Sur le fait que vivre ce qui est vous, c’est vous sentir pleinement en vie.
Sur le fait que vous aller évoluer vers plus d’apaisement et de satisfaction.
Sur le fait que vous débarrasser de ce qui vous freine est difficile, mais indispensable.
Sur le fait que devenir la meilleure version de vous-même est une simple démarche d’éthique envers vous.

Bon, à vous de voir si vous êtes bien apte à changer d’avis pour mener la vie qui vous ressemble.
Sinon, c’est « unsubscribe » en bas de cette page.

Et pour vous aider à construire votre nouveau mindset, voilà un coaching en 21 séances audio, avec la formation ciblée : « Le booster-Coach de votre vie » à retrouver sur le site

Bonne journée à tous.
C’était Didier de www.changementspositifs.fr
Vivez bien votre envie d’être vous.

Quels sont vos actes bénéfiques du quotidien ?

05-06-2020

Salut, salut,
 
Franchement, QUE FAITES-VOUS POUR VOUS ?
Là, maintenant ?
 
Hier, on se posait la question de la façon dont on respectait son corps.
C’est un essentiel pour vivre une vie saine.
Et c’est un essentiel pour pouvoir avancer dans votre vie.
 
Comment envisager toute action du changement sans pouvoir compter sur votre corps ?
Comment lancer de nouveaux challenges sans un corps qui nous soutient ?
Comment partager votre vie avec l’autre et les autres sans capacité à tenir le rythme, la distance, et les efforts physiques nécessaires ?
 
Pourquoi négliger ce qui nous est si important ?
Quelles conditions favorisent cette négligence du corps ?
 
Cette dernière question est importante.
Autant que les autres, bien entendu.
Mais, cette question des conditions amenant à la dépréciation de votre corps est plus fondamentale.
Parce qu’elle résonne sur tout ce qui construit une existence.
 

Quand ce que vous vivez n’est pas « vous », et bien, vous amenuisez vos ressources physiques et psychologiques.

 
Ce que vous pouvez aisément remarquer, c’est que dans ce contexte de vie qui ne vous ressemble pas, il y a un cercle vicieux, composé de trois étapes :
 

  • Le corps est négligé et soumis à de mauvaises routines :

comme vous n’êtes pas motivé par votre vie quotidienne, et ce qu’elle vous promet à long terme, et bien, vous relâchez l’entretien de votre corps.
C’est votre hygiène de vie qui se relâche.
Moins d’activité, plus de malbouffe.
 

  • Votre état psychologique se dégrade également ; plus ou moins consciemment :

Vous avez une perte de repères qui implique une perte de motivation, qui vous affaiblit mentalement.
C’est sournois.
Et cela peut se dérouler sur des années.
Cela vous use psychologiquement et cela tue votre créativité.
Vous n’êtes plus créatif de votre vie.
Vous ne favorisez pas vos envies (ce qui vous fait vous sentir vivant).
Puisque ce n’est pas vous.
 

  • Et le cercle vicieux se boucle avec le corps qui en subit les effets (de cet état psy dégradé)

Votre énergie s’effrite.
Et surtout, elle ne se renouvelle pas.
Car elle n’est pas stimulée.
L’énergie est un moteur qui est activé par vos actions, vos décisions et vos envies.
 
 
Il est donc important d’intégrer un cercle vertueux.
Et bien sûr, la base de ce cercle vertueux repose sur votre décision de changer votre vie.
 
Ensuite, il faut que vous mettiez en place le changement positif de votre vie.
 
C’est en ce sens qu’il vous faut mettre en place les actions bénéfiques de votre quotidien.
 
Que faites-vous chaque jour pour favoriser vos envies ?
Que faites-vous chaque jour pour faire du bien à votre corps ?
Quelles actions menez-vous pour votre hygiène de vie ?
Quel lever favorise votre énergie de vivre une belle journée ?
Quel coucher favorise votre sentiment que votre journée a été intéressante, et que demain sera encore meilleur ?
Quels messages envoyez-vous à votre cerveau pour lui dire que votre vie va bien ?
Quels messages à votre cerveau pour lui dire que vous avez choisi d’être heureux, actif et créatif de votre vie ?
Quelles actions menez-vous pour changer concrètement votre façon de vivre ?
Quelles décisions font que vous prenez votre vie en main plutôt que de la subir ?
 

Que faites-vous chaque jour pour sentir que votre vie, c’est vous ?
Agissez concrètement !
Dès maintenant.
En lâchant la cigarette, la chips, le soda ou la bière, dans votre main, ou sur la table du salon face à la télé, avachi sur votre canapé.
Et posez votre smartphone.

Marchez, bougez, dormez, buvez de l’eau, respirez, méditez, formez-vous, rencontrez les autres, changez d’environnement, découvrez.
Faites quelque chose de nouveau, de positif et de créatif pour vous.

Et pour concrétiser encore plus facilement, j’ai créé le programme de coaching audio en 21 séances : « Le booster-Coach de votre vie » à retrouver sur le site.

Bonne journée à tous.
C’était Didier de www.changementspositifs.fr
Vivez bien votre envie d’être vous.

Discutez avec votre corps

04-06-2020

Bonjour,
 
Dans ce que je conseille pour passer les divers caps compliqués de votre vie et en particulier celui de la crise de la quarantaine, quel que soit l’âge auquel elle se manifeste, il y a le physique.
 
Votre corps est important.
 
Il vous permet de passer bien mieux les moments de la vie heureux et malheureux s’il est entretenu.
 
Alors, souvent, on entend dire qu’il faut « écouter son corps ».
 
Bien entendu, c’est intéressant d’être à l’écoute de votre corps.
Mais, cela signifie quoi ?
 
En fait, c’est surtout dans l’excès que l’on est à l’écoute de son corps.
Parfois, un peu tardivement.
 
Votre corps va vous envoyer des signaux.
Plein de signaux.
Avant de marquer le pas.
Et de le signifier fortement.
Par une défaillance ou une maladie.
Ou une série de maux plus ou moins accentués qui vont vous pourrir la vie au quotidien.
 
Donc, cette écoute du corps est essentielle pour vivre plus confortablement.
 
Et ne pas le pousser à bout est donc tout aussi essentiel.
 
Et puis, entretenir votre corps va vous permettre de relever des challenges.
Et ces challenges peuvent être relevés tout au long de votre existence.
 
Très souvent, la crise de vie fait place à un cumul de causes et de conséquences.
Et dans ce cumul, il y a le corps.
 
Les causes ?
Vous le savez maintenant si vous me suivez.
Les conditionnements qui usent puisqu’à un moment donné vous ne supportez plus votre vie.
Et avec les conditionnements c’est tout le mode de vie qui devient insatisfaisant, et insupportable.
Et c’est cela qui entraîne l’usure de la personne.
 
Les conséquences ?
Elles peuvent être nombreuses.
Impact de la crise de vie sur la relation de couple, sur le lien au travail, sur l’attitude au sein de la famille et avec les proches et amis, sur les activités personnelles.
 
Et bien sûr, aussi, l’impact sur le corps.
Très souvent, vous arrivez à votre quarantaine (ou plus, c’est selon) dans un mauvais état physique.
Vous n’avez pas écouté votre corps.
Et ne l’avez pas entretenu.
 
Le corps c’est l’esprit !
Oui, c’est facile, et c’était dans les cours de français au lycée (« mens sana in corpore sano »).
Sauf que c’est vrai.
 
Votre esprit ruine votre physique !
Car vos idées, et surtout vos ruminations, vont attaquer votre cerveau.
Et votre façon de voir votre vie, …en paysages sombres.
Et cela affecte votre mode de pensée.
Qui affecte votre posture.
Qui change votre expression du visage.
Qui contracte votre corps.
Qui abîme vos organes.
 
Houlà, trop dur ?
Pourtant vrai.
Votre corps est un outil
C’est aussi l’expression de votre vie et de ce que vous ressentez de votre vie.
 
Alors, c’est évident qu’il y en a qui arrive à maintenir leur corps tout en ruminant.
Et cela devient une utilisation du corps :

  • Soit pour compenser les manques
  • Soit pour donner le change

En gros, pour fuir la réalité de leur vie.
Il y en a même qui ont une addiction à la pratique sportive.
Sport, tout le temps.
C’est en général une compensation.
Et parfois cela devient une obsession.

Alors, votre corps dans tout ça ?
Pour moi, il faut dépasser l’écoute de votre corps.
Il faut discuter avec.
Vraiment.
Lui demander comment il va.
Lui demander ce qui lui ferait du bien.

Et ensuite, il faut veiller sur lui.
Et cela concerne en fait l’hygiène de vie.

Et enfin, il faut vous projeter dans le corps que vous pensez pouvoir avoir.
Et dans cela, il y a l’expression générale qui va en ressortir.
Détendu ?
Sain ?
Energique ?
Reposé ?
Acteur ?

Dès que vous arrêtez de vous voir et de vous reconnaître dans votre corps, vous êtes en risque.
Risque de faiblesse du corps, et risque de subir vos pensées et votre vie.

Quand vous vous lancez vers votre nouvelle vie, celle qui vous ressemble, et bien, vous relancez votre énergie, et vous relancez votre métabolisme pour son plus grand bien.

C’est pour cela que j’ai créé le programme de coaching audio en 21 séances : « Le booster-Coach de votre vie » à retrouver sur le site.

Et pour ceux qui veulent un accompagnement individualisé, il y a le coaching avec moi.
Et c’est ici pour en savoir plus sur le coaching perso et prendre rendez-vous.

Bonne journée à tous.
C’était Didier de www.changementspositifs.fr
Vivez bien votre envie d’être vous.

Déstresser sur ce que vous avez à réaliser dans votre vie

03-06-2020

Bonjour,

Ceux qui veulent vivre une vie qui leur ressemble.

Alors, aujourd’hui, je me posais la question, au détour d’une conversation, de ce qui oppressait beaucoup la plupart des personnes.

Je parle de personnes qui sont déjà dans le questionnement, bien entendu.
C’est-à-dire des personnes qui ont un vécu et qui se posent des questions sur ce que ce vécu leur a permis de vivre.
Donc, de ressentir qu’ils étaient vivants et qu’ils avaient réalisé quelque chose qui en vaut le coup.

En soit, c’est bien de se demander ce qu’on a réalisé dans sa vie.
On peut également se demander ce qu’on a réussi.

Sauf que cela peut conduire à …nulle part !

Pourquoi ?
Parce que la question ne peut conditionner la réponse.
Vous ne pouvez introduire votre réponse dans la question.

En plus clair ?
En plus clair, vous ne pouvez vous poser une question sur la réussite en songeant que vous n’avez pas réussi.

Autre biais, la notion de réussite.
Réussir est un leurre et un travers de l’interprétation de la vie.

Un leurre parce que ce mot conditionne l’appréciation de ce que l’on peut considérer comme étant réussi en fonction d’une norme sociale ou culturelle.

Ensuite, un travers à une bonne interprétation de la vie parce que la vie ne s’interprète pas en fonction de la réussite.
La vie s’interprète en fonction de vos apprentissages.

Quand on y réfléchit la notion de réussite implique la notion d’échec.
Or, l’échec est très rare dans une vie.

Votre environnement vous a conditionné à penser à l’échec et même à le croire, une croyance donc. Sauf peut-être aux USA (et au Canada ?).

Alors que la plupart des situations que vous interprétez comme étant des échecs sont des actions créatives qui vous ont permis d’apprendre et d’évoluer.

Et ensuite, de faire de nouveaux choix…si vous êtes sorti de la culpabilité de notre société limitante et de sa notion d’échec.

Si on recentre sur notre sujet principal qui est « le stress de ce que vous avez réalisé dans votre vie », cela ramène à quoi ?

Il est vrai qu’à un moment de votre vie, à la crise de la quarantaine, vous remettez en question votre vie jusqu’à présent.
Et vous remettez en question votre vie à partir de maintenant.
Et vous vous posez la question de demain.

C’est utile de faire le point, avant d’avancer.

Ce point, on en a parlé souvent, puisqu’il est essentiel, va reposer sur vos conditionnements et sur vos choix et non choix jusqu’à présent.

A partir de ce point, vous pourrez lancer la meilleure version de votre vie.
C’est pour cela que j’ai créé le programme de coaching audio en 21 séances : « Le booster » à retrouver sur le site.

Ensuite, comme je le vois dans mes coachings, il y a cette récurrence de savoir ce que vous avez fait de votre vie.

Déstressez-vous !

Vous n’avez pas à devenir la personne qui changera le monde.
Je trouve stressant les pseudos-arguments de certains coachs du web qui vous demande d’être Gandhi.

Ne vous posez pas la question de la réussite en termes de réussite et d’échec.

Ne vous posez pas la question de savoir comment exister par quelque attitude d’exception.

Parce que, exceptionnel, vous l’êtes déjà.

Ne serait-ce que parce que vous êtes unique à avoir vécu votre vie, à en décider la suite et à avoir tous les ressentis dans votre chair et votre esprit.

Cette configuration humaine est la vôtre et elle est unique.

Par contre, c’est vrai, vous avez une réalisation en faire pendant le temps qui vous est imparti sur cette terre.
Vous devez vivre une vie qui vous ressemble.
Une vie qui vous révèle le meilleur de vous.
Une vie qui vous rends heureux, et qui rende heureux.

C’est possible.
C’est réaliste.
C’est un challenge à relever.
C’est un vrai job.
C’est ça la seule notion de réussite.
Et …c’est à vous de jouer.

Un petit rappel.
Pour ceux qui veulent un accompagnement individualisé, il y a le coaching avec moi (deux places dispo).
Et c’est ici pour en savoir plus sur le coaching perso et prendre rendez-vous.

Bonne journée à tous.
C’était Didier de www.changementspositifs.fr
Vivez bien votre envie d’être vous.

Certains font leur crise de la quarantaine en prenant…leur retraite !

02-06-2020

Hello, hello,

Hier, pas eu envie de bosser (quoique bosser soit pour moi un plaisir).
Hé oui, j’ai gardé mon lundi férié.
Et j’en ai profité pour retrouver des amis.
Et papoter.
Et rire.
Et parler de la vie, de nos vies…et de la vie des autres, bien entendu.
Et là, il y a quelque chose qui est dit et qui m’interpelle (hé oui, mon job est toujours là dans la vie courante).

Comme cela m’avait interpelé il y a quelques années, au début de mon site sur la crise de la quarantaine, soit il y a six ans.

C’est que certains avaient leur crise de la quarantaine en arrivant à leur retraite.

Alors, on va faire un distinguo.
C’est que beaucoup arrivent à la retraite et ne supportent plus le changement de rythme.
Ils se sentent inutiles car ils ont tout basé sur leur mode de vie planifié sur le boulot.
Et que les responsabilités et l’occupation globale procurée par leur job, les ont installés dans des habitudes…qui leur ont suffi.
Et s’ils n’ont pas d’autres centres d’intérêt que le travail cela s’avère difficile de se sentir exister ensuite.
De plus, le travail permet de se sentir utile quand il est la seule référence ;
Et de se sentir reconnu.

Par ailleurs, la vie familiale absorbe beaucoup d’énergie et de temps quand il y a des projets en cours et que les enfants sont jeunes.
Plus tard, les temps hors travail sont plus calmes et le tête à tête des conjoints est la seule réalité.
Donc, là, il y a un risque de dépression.
Et cela concerne pas mal de retraités qui n’ont pas anticipé cette vie particulière, qui va durer longtemps quand on voit les statistiques de durée de vie des humains en Europe.

L’autre cas de figure est vraiment une crise de la quarantaine, arrivé à la retraite.
C’est-à-dire qu’on peut avoir tout le contexte décrit ci-dessus.
Mais, il y a aussi la réalité de la vie qui se manifeste, tardivement, mais qui se révèle à la personne.
C’est-à-dire tous les choix et non choix.
Toutes les décisions mal assumées.
Tous les conditionnements familiaux.
Tout ce qu’on a rêvé de vivre et qu’on n’a pas vécu.
Et surtout, tout ce qui fait qu’on est soi, et qu’on n’a pas osé mettre en œuvre dans sa vie.
Donc, la remise en question est profonde ; comme à 40 ans.

Sauf que !
Sauf que ?
Sauf que là, la personne comprend qu’elle a perdu du temps.
Et que tout ne peut être repris aussi facilement.
Disons plutôt que, vivre la vie qui vous ressemble, est un engagement plus difficile à concevoir quand on a 65 ans.

Hé oui, remettre à plat sa vie et son interprétation du monde c’est un job, et une opportunité à saisir !

Je vous rassure, il est encore temps.
Mais, ce sera difficile par certains aspects.
Vous êtes moins en forme.
Bon, c’est un peu votre faute ; il n’y a pas que l’âge.
Vous avez moins de compétences.
Bon, c’est aussi un peu de votre faute ; il faut être « updaté » (mis à jour) en permanence.
Mais, allez-y, au lieu de vous dire que c’est cuit pour vous.
Saisissez l’opportunité pour faire des changements positifs dans votre vie et valider vos 30 prochaines années.

Faites-en les années les plus belles, les plus instructives, les plus créatives, les plus en relation avec le monde.

N’oubliez-pas Socrate (repris plus ou moins par Montaigne, sauf erreur) : « Vivre c’est apprendre à mourir ».
Donc, vivez, dès maintenant, pour quitter ce monde en paix et sans regrets.
Mais, vivez la vie qui vous ressemble.

Et c’est vrai qu’une partie de ceux qui me suivent est plus âgée que la moyenne des 35-45 ans habituelle.
Certains ont bien plus.
Certains ont …mon âge.
Et certains encore plus.
Et j’espère que je leur suis aussi utile à eux qu’aux autres.

Et pour ceux qui ont envie de changer leur vie maintenant, il y a bien entendu ma formation coaching (dont je sais qu’elle sera votre meilleur outil) : « Le booster » à retrouver sur le site.

Et pour ceux qui veulent un accompagnement individualisé, et qui ont le budget, il y a le coaching avec moi.
Les places sont limitées bien sûr.
Et c’est ici pour en savoir plus sur le coaching perso et prendre rendez-vous.

Ne me demandez pas un rendez-vous pour demain midi, comme certains le font.

Bonne journée à tous.

C’était Didier de www.changementspositifs.fr
Vivez bien votre envie d’être vous.

La vie est (trop) pleine d’histoires inachevées

29-05-2020

Bonjour, hello, salut,

Avant de parler de l’inachevé, juste un petit mot.

Je renvoie la dernière formation de mai aux abonnés du Groupe Next Stepce soir à 18h00 ; en format pdf (90 pages), pas d’audio cette fois-ci.
Il s’agit de la formation : https://changementspositifs.fr/crise-de-vie-et-separation/

Si vous voulez la recevoir, vous avez donc encore la possibilité de vous abonner à Next Step dès maintenant. Et jusqu’à 17h59.
Vous recevrez également les deux formations prévues à l’inscription ; puis les hebdo et les phrases quotidiennes.

Et dans 15 jours environ ce sera la nouvelle formation de juin.


Alors, ces histoires inachevées ?
J’y viens.

En fait, c’est ce que vous avez vécu, qui vous a impacté, qui vous a changé, parfois renfermé, et qui vous colle à l’esprit en permanence.

Parfois, en tache de fond, comme en informatique.
C’est là, discret, en dedans, mais présent dans toutes vos nouvelles histoires en cours ou à venir.

Et ça concerne quoi ?

La relation aux grands-parents.
La relation aux parents.
La relation à des proches.
Les premières histoires d’amour.
Les premières relations problématiques de l’adolescence en amitié, en amour.
Les études pas menées comme il aurait fallu.
Les expériences professionnelles affligeantes.
Les espoirs sportifs déçus.
Et le premier amour qui s’éloigne de vous.

On ajoute, histoire de vie après histoire de vie, un peu plus de poids dans le sac à dos.
Et même si tout paraît rouler cool, ce n’est qu’une couche de surface.
En profondeur, en vous, il y a toujours ces regrets.
Il y a toujours cette timidité.
Il y a toujours cette culpabilité.
Il y a toujours cette maladresse.
Il y a toujours cette injustice.

Ou plutôt cette idée que ce que vous avez mal fait, ou mal vécu, ou subi, vous impacte toujours dans vos actions et vos choix, quels qu’ils soient.

En ce sens, les histoires ne sont jamais achevées.
Vous les revivez tout le temps.
Il suffit d’un déclencheur.
C’est à dire une situation qui ressemble un tant soit peu à l’histoire vécue.

Et c’est ainsi que vous reproduisez les mêmes attitudes et les mêmes réponses à ces situations.
Situations nouvelles mais que vous évaluez comme celles du passé.
Et auxquelles vous allez souvent donner une réponse …du passé.

J’en ai vécu des histoires inachevées, quelques-unes, comme vous.
C’est normal.

En sortir, c’est remettre en question qui on est, et décider qui on veut être.

Donc, un job de tous les instants, à partir d’une méthode.
Mais, qui marche.

On se sent libéré et prêt pour de nouvelles aventures pour lesquelles on sera complètement présent.
La vie, c’est d’avancer vers de meilleures histoires de vie, toujours.

Alors, qu’est-ce qui fait qu’on a une histoire inachevée.
Et qu’est-ce qui construit la durée de cette histoire inachevée ?

On l’a déjà vu ensemble, il y a d’abord les conditionnements familiaux, culturels, cultuels, sociaux.
Ces conditionnements vous ont mis en tête une façon d’interpréter la vie et de réagir face au monde.
C’est difficile d’en sortir.
Et c’est pour cela que c’est un élément fort de mes méthodes de sortie de crise de la quarantaine et de création de la vie qui vous ressemble.

Votre environnement vous a conditionné.
Et vous a donné une identité.
Sauf que c’est, la plupart du temps, erroné.
Mais, vous le croyez et vous persistez, jusqu’à la crise de vie.

Bien entendu, cette situation va laminer votre image de vous.
Et si vous ne pensez pas mériter le meilleur …vous ne l’aurez pas.

Et si vous pensez qu’il n’y a qu’une façon de faire, et bien, vous ne ferez pas ce qui convient.
On va dire ce qui vous ressemble. C’est le terme que j’utilise dans ma thématique.
Et vous développerez des peurs.
Les peurs de mal faire…et même de bien faire.

Bon, là, on dépasse le ton du mail du jour.
Et on est dans la longueur et le détail de l’hebdo envoyé aux abonnés du Groupe Next Step chaque jeudi.

Donc, on va simplifier.

Quelle est l’histoire inachevée la plus gênante ?

A mon avis, la rupture amoureuse.
La première rupture d’abord, car elle conditionne beaucoup vos peurs futures.

Mais, disons que celle qui va avoir beaucoup d’impact c’est par exemple le divorce et la séparation.
Après un temps de vie commune, des projets menés ensemble, ou…des enfants.

C’est pour ça que j’ai consacré plusieurs formations au sujet :
crise de vie et couple en mars, crise de vie et rupture amoureuse en avril, et crise de vie et séparation ce mois-ci.

Quel est le problème de base de l’inachevé ?
On en a cités certains ci-dessus.
Mais, il y en a un autre qui nuit à votre épanouissement.
C’est que, souvent, vous êtes coincé dans une idéalisation de la relation aux autres et de ce que vous avez vécu avec eux.

Et que ce soit au sens large de l’aspect des relations aux autres, ou au niveau professionnel, amical, familial ou amoureux.
Vous avez idéalisé.

En couple, c’est fréquent.

Cela entraîne des attentes irréalistes ; et en dehors de la nature humaine et des rapports habituels en société.

Donc vous avez un manque de lucidité pour vivre votre relation à l’autre et pour évoluer dans votre environnement.

Et aussi vous ressentez des souffrances, car vous êtes blessé et incompris.
Autant que, sans le vouloir, vous pouvez blesser et ne pas comprendre l’autre.

Les histoires sont inachevées au niveau professionnel ou personnel parce que vous ne tirez pas opportunité de toute situation compliquée pour évoluer dans votre façon d’interpréter le monde.

Et tout autant dans votre façon d’interpréter votre vie et ce que vous voulez vivre.

Cela empêche d’avancer vers une nouvelle vie.

Ce qui compte c’est d’avoir conclu tous ces apprentissages de la vie.
Car ce sont des apprentissages.
Il faut le comprendre pour accepter que ce soit derrière vous.

Et que vous allez enfin faire mieux, comme vous le voulez, et comme vous avez envie de le vivre.
Your way of life.

Ce qui n’est pas terminé, va continuer à vous polluer l’esprit, votre concentration et vos envies de vivre pleinement votre vie.

Il est essentiel de terminer vos inachevés.

Dans la formation « Le booster » j’en parle parce que c’est l’atout du changement positif de votre vie que d’arriver à laisser le passé derrière vous.

En comprenant que ruminer n’a aucun intérêt.
En comprenant que vous avez appris.
En comprenant que nobody is perfect.
En comprenant que le monde n’est pas parfait.
En comprenant que vous ne devez pas rester coincé dans le temps et dans vos émotions, sinon vous ne vivrez pas les belles histoires qui vous n’attendent que vous.
En comprenant que vous avez d’autres modes de réponses maintenant.

Et pour finir :

Les regrets n’ont jamais rien changé au passé, alors avancez.

Wow, tout ce que j’ai découvert depuis que j’ai avancé !

C’était Didier de www.changementspositifs.fr

Vivez bien votre envie d’être vous.

Quelquefois le ciel m’est tombé sur la tête…

28-05-2020

Bonjour lecteur,

Alors c’est exact que j’ai vécu des événements assez impactant dans ma vie.

Et je suppose que vous aussi.

Des évènements impactant, c’est quoi ?
Ce sont des évènements qui bouleversent votre vie.
Ce sont des évènements qui changent le cours de votre vie.

Heureusement, il y a des moments fabuleux qui vous surprennent.
Ils vous amènent à ressentir tout le bonheur qu’ils procurent.
Et malgré le fait qu’ils apportent du changement dans votre vie, vous êtes heureux de les accueillir.
Ce sont par exemple les rencontres qui vous chamboulent et vous amènent à des situations nouvelles.
Des rencontres amicales, professionnelles, et bien entendu des rencontres amoureuses.
Votre vie change, mais c’est a priori pour un mieux.
Donc, c’est plus facile à accepter.
Même si parfois cela reste difficile.
Quand il faut quitter sa région et son cercle proche pour vivre ailleurs, par amour ou pour un super job.

Et puis, il y a les autres événements impactant votre vie.
Vous savez bien.
Ce sont ceux que vous souhaiteriez éviter.
Du genre, passer entre les gouttes.
Et parfois même ce sont des peurs très ancrées qui vous hantent (depuis l’enfance ?) et que vous espérez ne pas voir se produire.
Franchement, jamais ressenti ça ?
J’en doute.

En tout cas, moi, j’assume.
Ces peurs m’ont accompagné longtemps.
Et parfois, mes peurs se sont réalisées.

C’est ça, avoir le ciel qui vous tombe sur la tête.

Alors quelles peurs ?
Des peurs souvent irrationnelles qui n’ont pas de raison de vous surprendre.
Si vous avez pris les bonnes décisions.
Si vous êtes apaisé, épanoui et certain de vivre une vie en accord avec qui vous êtes vraiment.
D’une manière générale, c’est quand vous avez peur de perdre ce que vous avez.
D’ailleurs, même si ce que vous avez n’est pas satisfaisant, vous avez peur de le perdre.
Plutôt que de chercher à créer ce qui sera satisfaisant.

Mes peurs étaient aussi, tout de même, un peu rationnelles.
Un projet pro en cours, mon job en général, l’équilibre de ma famille, l’équilibre de mon couple.
Mais quand ça vire à l’obsession, c’est qu’il y a aussi de l’irrationnel.

Parce que cela impacte votre vie tout le temps.
Et enfin, parce que vous avez peur tout le temps.
C’est quasi névrotique.
Et vous ruminez.
Nuit …et jour.
C’est peut-être aussi parce que je ne maîtrisais pas mon environnement.

Peut-être que je n’avais pas assez décidé de moi-même ce que je vivais personnellement et professionnellement.

Cela mène au stress, à la frustration, à l’insatisfaction, et à la crise de la quarantaine.

Et des peurs qui se sont réalisées, j’en ai eu mon lot, comme on dit.
Problèmes pro et problèmes perso.
Maladie, divorce, projet pro non achevé, …

Et tout peut arriver…ou pas.
C’est la vie.
C’est ainsi.
Tout peut arriver de bien et de moins bien.
Et C’EST NORMAL.

Donc, on fait quoi ?
On en a parlé mardi.
C’est d’être responsable.
Et être responsable c’est quoi ?
C’est savoir qu’il y a une solution à trouver.
Et que cette solution sera bienveillante et apaisante.

Et quand on est en crise du milieu de vie, à cause de tout ce qu’on n’a pas décidé vraiment, et bien, on va affronter des moments difficiles.

Et ensuite, il y a des fois où le ciel vous tombe sur la tête.

Et là, ce sera à vous de transformer ces problèmes en opportunité de réussir votre vie.

Acceptez, assumez, comprenez, construisez, et vous vous en sortirez.
Et mieux, vous ferez la découverte d’une vie bien plus en accord avec vous.
Et bien plus enrichissante, à tous les niveaux.
Tout est opportunité !

Un rappel :
je renvoie la dernière formation de mai aux abonnés du Groupe Next Stepce vendredi 29 à 18h00 ; en format pdf (90 pages)
Il s’agit de la formation : https://changementspositifs.fr/crise-de-vie-et-separation/

Si vous voulez la recevoir, vous avez donc encore la possibilité de vous abonner à Next Step jusqu’à demain …ou dès maintenant.

C’était Didier de www.changementspositifs.fr
Vivez bien votre envie d’être vous.

Quand on te demande « C’est quoi être responsable ? »

26-05-2020

Salut, salut,

Alors, c’est vrai qu’il y a pas mal de situations pas évidentes à gérer dans une vie.
Et cela, à différentes époques de votre vie.
Logiquement, dès l’adolescence, vous êtes en mesure de prendre quelques décisions pour régler certaines situations.
Mais, il faut reconnaitre que, heureusement, elles ne sont pas trop délicates, en général.

Ensuite, les situations vont devenir plus complexes.
Et les solutions seront plus difficiles à trouver.
Et aussi, elles feront appel à de nouvelles ressources et à de nouvelles idées.

Et la question des ressources est intéressante.
A partir de quoi, pouvez-vous prendre vos décisions ?

Et bien, en premier lieu, c’est grâce à ce que l’on vous a transmis.
C’est-à-dire tout ce qui relève de l’éducation au sein de la famille.
La majeure partie de vos comportements vient de là.
Hé oui !
Et donc, cela dépend de la culture familiale.
Et donc, cela dépend aussi de l’ouverture d’esprit de votre environnement initial.
Selon qu’il est ouvert, expérimenté et créatif, vous aurez plus ou moins de ressources pour décider et faire face aux évènements de votre vie.

Bien entendu, il y a tout ce que vous apprenez au cours de votre vie.
Et ce, au travers de vos expériences diverses.
Qu’elles soient personnelles ou professionnelles.
Et bien sûr, qu’elles soient ludiques, sportives, intellectuelles, spirituelles, culturelles, techniques, ou autres.

Et là aussi, cela va dépendre de votre ouverture d’esprit.
Êtes-vous dans une utilisation large des ressources à votre disposition ?
Utilisez-vous votre expérience, vos savoir-faire, votre ressenti ?
Utilisez-vous vos valeurs ?
Utilisez-vous vos envies ?

C’est ce qui explique que parfois, vous vous sentez bloqué.
Soit parce que vous n’avez pas assez vécu d’expériences.
Soit parce que vous êtes limité dans votre champ de réponse, culturellement, familialement, cultuellement aussi.
Et que vous vivez sur vos conditionnements depuis longtemps, sans les remettre en question.

Mais, la crise de la quarantaine, qui est la remise en question de votre vie parce que votre vie ne vous correspond pas, va vous aider à y voir plus clair.
Et donc, à évoluer vers de nouveaux horizons.
C’est à dire de nouvelles interprétations de la vie et de nouveaux modes de fonctionnement.

Et plus les situations seront difficiles et nouvelles, et plus vous devrez accéder à de nouvelles formes de réponses.
En ce sens, vous augmentez vos ressources d’évaluation et de résolution.

Ce qui explique que votre vie soit bloquée, c’est le fait de faire la même chose et d’espérer que le résultat soit différent.

Quand vous êtes bloqué face à un problème à régler, c’est que vous ne cherchez pas à utiliser d’autres modes de réflexion.
C’est que vous restez figé sur votre fonctionnement habituel.
Y compris face aux situations de crise personnelle ou professionnelle.

Alors, comment faire face aux situations un peu exceptionnelles de votre vie ?
On entre ici dans la notion de responsabilité de votre vie.
Vous êtes responsable de votre vie.
Quand elle va bien.
Et quand elle va mal.
C’est vous qui en êtes responsable.
En très grande partie.

Et donc, face aux situations complexes et difficiles de votre vie, vous êtes démuni.
C’est à dire les situations exceptionnelles qui requiert d’avoir un principe de base avant d’avancer.

Et quel est ce principe de base ?
Et bien il se décompose en trois étapes.

D’abord que vous devez vous sentir responsable non pas de la situation, mais au sein de la situation, responsable de son règlement.
Si vous préférez : en responsabilité

Ensuite, c’est de savoir qu’il y a une solution.
Toujours. Puisque vous n’avez pas le choix. Il faut la trouver.
Et comme on dit, il n’y a pas de problèmes, il n’y a que des solutions.
Et…ce n’est pas faux.

Enfin, être responsable, c’est accepter qu’il y a une solution bienveillante à trouver au problème.
Et ça, c’est primordial.
Dans votre recherche de solutions, il y a toujours le calme de savoir que vous allez trouver une solution.
Mais aussi, la responsabilité envers vous et les autres, d’être bienveillant.
Cela signifie être en respect des autres et de soi-même.

Toute solution bienveillante amène un meilleur résultat global.
Et de l’apaisement.
Alors, tenez-bon, quoiqu’il arrive.

Y compris dans la crise du couple et la séparation, qui est le sujet de la formation du mois de mai pour les abonnés du Groupe Next Step.

Elle sera envoyée une dernière fois aux abonnés ce vendredi 29 à 18h00 suite à un bug lors de l’envoi précédent.

Si vous voulez la recevoir, vous avez donc encore la possibilité de vous abonner à Next Step jusqu’à ce vendredi …ou dès maintenant.

Il s’agit de la formation : https://changementspositifs.fr/crise-de-vie-et-separation/

Et là aussi, il faut être responsable.

C’était Didier de www.changementspositifs.fr

Ce qu’on me demande le plus en ce moment … et qui vous tracasse aussi

25-05-2020

Salut, salut,

En ce moment, je reçois une question, avec ses variantes bien sûr.

Essentiellement, sur mon site, à travers l’outil « Une question ? » qui se trouve sur la gauche en bas. D’ailleurs, je suis parfois en live, en direct si vous préférez, et je réponds donc en direct à la question.

Donc, quelle est cette question fréquente ?
Hé bien, c’est « Comment savoir ce que je veux ? »

Vaste question.
Déjà pour la définir.

Est-ce que ça signifie savoir qui je veux être ?
Est-ce que ça signifie savoir ce que je veux faire ?
Est-ce que ça signifie savoir ce que je veux avoir ?
Est-ce que ça signifie que ce que l’on a n’est pas assez ?
Est-ce que ça signifie que l’on vit quelque chose de troublant en ce moment ?

Ensuite, elle dépend de la situation du questionnant.

Quel âge a-t-il ?
Quelle est sa vie actuellement ?
Que ressent-il qui le pousse à me poser cette question ?
Est-ce qu’il y a des éléments déclencheurs de cette question ?

La question est souvent complétée par un :
« je me sens vide ».
« je me sens perdu ».
« parfois, je déteste ma vie ».
« je veux changer ma vie ».

Quel constat ?
C’est qu’il y a prise de conscience que votre vie ne vous ressemble pas.
Si ce que vous faites ou devenez n’est pas vous, et bien, cela crée du mal-être.

Parce que cela revient à vous demander si vous avez décidé de votre vie.
Qu’est-ce que vous n’avez pas choisi, ou pas vraiment décidé ?
Qu’est-ce vous pensez avoir décidé mais ce n’est pas tout à fait la réalité ?
Est-ce que mes projets sont moi, et est-ce que c’est ce que j’ai à réaliser dans ma vie ?

Que faire ?
Savoir qui vous êtes et le devenir.
Vous devez faire le point pour savoir qui vous êtes ; et ensuite vous pourrez donner un sens à votre vie.
Savoir ce que vous voulez repose sur la question de savoir ce que vous voulez être dans votre existence, et non pas de ce que vous voulez avoir dans cette existence.

Commencez par établir le diagnostic.
En partant de qui vous êtes depuis votre naissance.
Vous, physiquement et psychologiquement, vos émotions, vos forces, vos faiblesses, vos conditionnements, vos réalisations, qui ont marché ou pas ; vous en faîtes quoi de tout ça ?

Ensuite, vous devez admettre que savoir ce que vous voulez ne peut reposer sur le fait d’avoir, de posséder.
Sinon vous serez toujours dans la quête de savoir ce que vous voulez ; car en fait ce sera de savoir ce que vous voulez avoir.

C’est la confusion fondamentale de beaucoup de personnes, jusqu’à ce que ce soit insupportable et que la crise se révèle.

Il est important de comprendre que votre place dans le monde n’est pas claire ;
Et surtout que cette place ne vous convient pas.
Il est impératif de faire le point sur ce que vous avez été jusqu’à présent et de découvrir qui vous êtes vraiment.
Et souvent la question est plutôt :
Qui êtes-vous en dehors des modèles conditionnés par les autres ?

Ensuite, pour partir à la découverte de vous-même, commencez par faire des choses nouvelles, pas à pas, pour voir ce qui va se découvrir en vous, chez vous, par vous, pour vous.

Alors, généralement, j’envoie une réponse plus complète avec une idée de programme à mettre en œuvre et la durée qui convient pour savoir ce qu’on veut et le réaliser.
Mais, ce n’est pas le lieu ici.
Je vais l’envoyer aux abonnés de Next Step, tout de même. Ce sera un bon outil complémentaire.

Sinon, je vous rappelle que pour savoir qui vous voulez être et décider de votre vie, il y a ma formation « Le booster » en 21 étapes audio (4h au total) ; 1 audio/1action à mettre en œuvre.
C’est ici : https://changementspositifs.fr/le-booster-de-votre-vie/

C’était Didier de www.changementspositifs.fr
Vivez bien votre envie d’être vous.

Très agréable…mais le soleil ne suffit pas

18-05-2020

Belle journée à vous,

Oui ça fait du bien !
Ça fait du bien de pouvoir enfin sortir librement ou presque.
Et ça fait du bien d’aller au vert, au bord de mer, ou simplement flâner n’importe où en ville ou sur les bords de rivière.

Et puis le soleil est de la partie.
Et la chaleur revient.

Coup de soleil pour moi (bras, crâne) après une journée à accompagner mon fils sur le terrain de motocross pour la reprise de l’activité.
Personne ne se rapproche, finis les papotages, les réunions, les serrements de main, et masques pour certains, malgré l’étendue des champs autour du terrain et du peu de monde à rouler.
Bref, comme vous, je savoure cette reprise de la vie.

En sachant que bientôt tout va redevenir comme avant.
Et que les comportements et attitudes n’auront pas évolué.
Vous serez toujours en train de courir après le temps.
Toujours en train de ruminer ce qui ne va pas.
Et toujours en train de renouveler les mauvais schémas et modes relationnels …qui ne vous rendent pas heureux.

Ok, c’est brutal.
Vous étiez tranquillou en train de prendre le soleil, de vous dire que la vie est belle…
Et moi, je rapplique en vous disant que la solution n’est pas là.

Bien entendu la solution existe.
Et ce n’est pas le rayon de soleil du jour qui vous rendra heureux.

Comme ce n’est pas la pluie de demain qui vous rendra malheureux.

De même que vous focaliser sur vos prochaines, éventuelles vacances, de une semaine ou quinze jours, de cet été, n’est pas la solution.
Parce que vous aurez investi sur un séjour coûteux, pas forcément si agréable que ça, et en bain de foule sur les lieux de vacances, et aussi la route des vacances.
Et ensuite, il faudra rentrer et vous replonger dans la routine, en pensant aux prochaines vacances.

Hé, ho Didier, là tu nous fais quoi ?
Rassurez-vous, rien de terrible.

Juste vous alerter sur une démarche claire pour être heureux.

Vous voulez juste apprécier le soleil du jour, et pleurer sur la pluie de demain ?
Vous voulez juste apprécier des vacances auxquelles vous pensez pendant un an et rester dans un manque d’énergie toute l’année ?
Non.

Alors, réfléchissez.
Quand le soleil vous rend heureux, vous avez envie de quoi ?

C’est quoi ce qui vous rend vivant ?
C’est quoi ce qui vous fait penser que vous allez réussir votre vie ?
C’est quoi ce qui vous motive à réaliser la meilleure version de vous-même ?

Vous le voyez cet horizon qui apparaît quand vous avez l’énergie ?

Alors, vous allez en faire quoi ?

Comme d’habitude ?
Rien.

Ou enfin, prendre une décision.

Alors, commencez maintenant !

Dites-vous : je me tiens comment ? Droit ? Oui ? Non ? Pas bien ? J’ai le ventre relâché, ce n’est pas bon. 
Ma respiration est comment ?
C’est comment ma façon de m’exprimer ?
Est-ce que j’ai rencontré quelqu’un aujourd’hui ?
Est-ce que je suis resté enfermé dans mon bureau ?
Est-ce que je suis resté enfermé chez moi ?
Est-ce que je me suis affalé devant la télé à regarder un truc débile qui m’a amoindri dans ma capacité à aller vers les autres, dans ma relation aux autres ? Donc, qui m’a en fait éteint à ma propre envie d’avoir de l’énergie ?
Comment je suis dans le miroir ? Est-ce que je suis en vie ou est-ce que je ne suis pas vivant ?

Tout ça, ce sont les bonnes questions à vous poser.

Et vous devez trouver en vous la solution.

Alors, commencez par votre corps, commencez par votre « (bonne) mine », commencez par votre expression, commencez par votre voix, commencez par les mots que vous devez pratiquer, commencez par aller vers les autres.

Et ensuite, vous devez agir.
Vous devez décider.

Donc, le soleil, c’est à vous de l’avoir tout au long de l’année et de votre vie.
Profitez de ce renouveau actuel pour ancrer cela en vous.
Et avancez vers la vie qui vous ressemble.

Bon, un coup de main avec un vrai coaching pour vous dans ma formation « Le booster » en 21 étapes audio (4 h au total),

1 audio/1action à mettre en œuvre.
C’est ici : https://changementspositifs.fr/le-booster-de-votre-vie/

Efficace, complet, mais réservé à ceux qui sont prêts à s’impliquer chaque jour pour changer leur vie… maintenant.

C’était Didier de www.changementspositifs.fr
Vivez bien votre envie d’être vous.

Le reproche que l’on m’a fait souvent

15-05-2020

Salut, salut,

On se retrouve aujourd’hui autour d’une réflexion qui m’a trotté dans la tête hier.
Bon, ça arrive souvent qu’il y ait quelque chose qui me trotte dans la tête.
En gros, au moins une fois par jour pour vous envoyer ce mail quotidien.

Et tout ça, bien sûr, en restant dans la thématique de www.changementspositifs.fr, la crise de la quarantaine et le changement de vie pour construire la vie qui vous ressemble.

Donc, l’idée d’hier c’était ce qu’on m’a le plus reproché dans ma vie…déjà longue.
Et pendant que vous me lisez, faîtes donc la même chose.
Vous rappeler le reproche qu’on vous a pendu au nez de temps en temps dans votre vie.
Vous pouvez faire les deux, me lire et y réfléchir ; je pense que vous avez aussi plusieurs loustics qui discutent dans votre cerveau.

Un conseil : gérez bien ces loustics pour garder le contrôle de qui vous êtes vraiment.

Et puis, développez vos potentiels sans trop vous préoccuper de ce que disent les autres en général et vos loustics négatifs dans votre tête.
Soyez autonome et impliqué.
Comme je le propose dans la formation « Le booster » : https://changementspositifs.fr/le-booster-de-votre-vie/


Alors, on y vient ? (me dit un de mes loustics qui est du genre impatient)
Oui, oui réponds-je (moi, en fait loustic chef).

Et donc, j’ai listé rapidement ce que j’avais entendu dans ma vie à mon sujet directement ou parfois indirectement.

Impulsif, casse-cou, nerveux.
Mais aussi réfléchi, prudent, calme.

Désordonné, extraverti, fêtard.
Mais aussi organisé, discret, casanier.

Indolent, approximatif, provocateur.
Mais aussi hyperactif, perfectionniste, humble.

Doutant, hésitant.
Mais aussi sûr de soi, combattif.

Et ceux qui m’ont le plus été dits c’est :
Très carré (cartésien), intransigeant.
Mais aussi, pas le sens des réalités, rêveur, et trop gentil.

Donc, vous le voyez c’est tout et son contraire.

Et ça ne signifie pas que je varie tous les jours.
Et pour vous c’est pareil.

C’est juste que vous avez des époques de la vie où vous avez une interprétation de la vie, et qui peut ensuite évoluer.
C’est juste que des évènements de votre vie vous apprennent de nouveaux comportements et vous poussent à trouver de nouvelles réponses.
C’est juste que certains contextes vous obligent à vous adapter pour survivre, ne pas blesser les autres ou limiter l’impact d’une situation.
C’est juste aussi que cela dépend dans quel environnement vous vous trouvez : sport, perso, pro.

Et puis, il y a aussi les grands changements !

Je pense aux séparation, divorce, maladie, perte d’emploi, difficulté financière, autres.
Souvent cela entraîne également la crise de vie ; ou cela en découle.
Il en sortira du bon et du très bon si vous le souhaitez.
Mais il y aura un changement important de votre vie.
Disons plutôt de votre chemin de vie.
Et prendre un chemin différent c’est souvent arriver à bon port.

Alors, votre bilan des reproches à votre encontre, c’est quoi ?

Et la solution pour être enfin vous-même, c’est quoi ?

Bon, un coup de main avec un vrai coaching pour vous dans ma formation « Le booster » en 21 étapes audio (4 h au total),

1 audio/1action à mettre en œuvre.

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C’était Didier de www.changementspositifs.fr
Vivez bien votre envie d’être vous.

Comment réaliser votre destin ?

13-05-2020

Salut, salut,

Ok, ce n’est pas forcément la question qui vous taraude nuit et jour.
Mais, c’est tout de même un sujet pour vous de temps en temps.

D’abord, il faut déjà définir par ce qu’on entend par « destin ».

J’en ai une idée multiple en réalité.
Franchement, pas une idée simple et basique.
Pas une seule vision évidente de ce mot et de sa signification.
Est-ce que ma vie est tracée au départ ?
Est-ce que cela signifie que j’ai quelque chose à réaliser et que je doive le découvrir et m’y accrocher pour le réaliser ?
Est-ce qu’attendre suffit ?
Est-ce que je dois travailler à fond dans tous les domaines pour pouvoir trouver mon destin ?
Quelle méthode par rapport à cette notion de destin ?


Mais qu’en dit le dictionnaire.
A priori, il en donne deux définitions concernant l’être humain, car la troisième définition est relative aux choses (exemple : destin d’une civilisation) :
Puissance qui, selon certaines croyances, fixerait de façon irrévocable le cours des événements.
Ensemble des événements qui composent la vie d’un être humain (souvent considérés comme résultant de causes distinctes de sa volonté).

En gros, les deux définitions nous disent qu’il s’agit de votre vie …mais sans que vous en ayez décidé.

Et là, ça me gêne !
Parce que cela signifie que quoi qu’on fasse, et bien, cela ne sert à rien puisque tout est décidé d’avance.
Et donc, que tout est tracé à votre arrivée dans la vie.

Franchement, ça coince grave !
Car il y a tant d’exemples de personnes qui ont complètement bouleversé leur vie.
Tant de personnes qui sont des exemples d’adaptation, de changement et de réussite.
Quel que soit le pays d‘origine, le milieu d’origine et leur aspect physique.

Pour moi, qu’est-ce qui fait partie du « destin » !
C’est tout ce que vous recevez à la naissance.
Parce que vous ne l’avez pas choisi.
Vous n’avez pas choisi votre lieu de naissance, votre cadre familial, votre milieu social, culturel et cultuel, vos parents, vos traits physiques.
Et ensuite, pendant un certain temps, vous ne choisissez pas vos conditions de vie et votre façon de vivre.
Au moins tant que vous n’êtes pas assez âgé pour décider de votre vie.

Alors, je sais que pour certains ce sera plus difficile selon leur milieu d’origine et leur pays d’origine.
Les francophones d’Afrique me suivent aussi, car leur problématique globale est la même que celle des occidentaux, c’est réussir leur vie et se sentir libre et heureux.

Mais, aussi, la question est de savoir quelle vie vous souhaitez avoir.
Et là, surtout si vous arrivez à une période de questionnements liée à la crise du milieu de vie.
La crise si bénéfique pour comprendre qu’il y a plus et mieux en faisant…autrement tous les jours.
Comprendre que cela ne va pas est un grand pas en avant.
Ensuite, il faut mettre en place les comportements et interprétation de la vie qui vous font avancer vers une nouvelle vie qui vous ressemble.

Comment réaliser ce destin ?
Considérez que vous pouvez devenir qui vous voulez, à une condition.
La condition c’est que cela doit vous ressembler.
Sinon vous serez dans l’imposture et vous ne serez pas heureux. Et de toute façon, cela amène à ne rien apprécier vraiment puisque ce n’est pas…vous.

A notre époque, vous pouvez tout changer.
Votre aspect, votre physique même, vos relations, vos qualifications, vos relations, votre job.
On peut tout faire si on le veut et si on s’y met.
Et surtout changer son mindset car tout est là pour changer le reste.
Sans oublier que sans investissement tout reste un rêve et c’est là qu’on s’en remet au destin.
Le premier effort coûte, le deuxième encore plus, puis le troisième devient plus simple.
Refuser le premier verre de soda est facile, le second difficile, le troisième ancre déjà la volonté de maigrir, et d’avoir une meilleure hygiène de vie.
Et ça c’est valable pour tout ce que vous voulez changer.

Alors, je ne nie pas que, dans ma tête, il y a comme l’idée qu’une bonne étoile envoie son énergie sur moi pour me soutenir.
Mais, je compte sur mes envies et mes actions pour avancer et réussir mon destin.

On y revient à ce fameux destin.
Choisissez qui vous voulez révéler en vous.
Et mettez en œuvre les actions pour y arriver.
C’est ça réussir votre destin.
Et c’est tous les jours, surtout les jours où vous procrastinez et où vous vous sentez impuissant.

Et pour mener les actions du changement de vie, il y a ma formation pour vous coacher en 21 étapes audio (4 h au total).
C’est ici : https://changementspositifs.fr/le-booster-de-votre-vie/
Cette formation est facile à suivre, facile à appliquer. C’est un coaching du concret.
Êtes-vous prêt à prendre votre destin en main en 4h découpés en 21 séances ?

C’était Didier de www.changementspositifs.fr
Vivez votre envie d’être vous-même.

Comment savoir ce que je veux ?

05-05-2020

Hello,

J’en entends pas mal des personnes me disant qu’elles veulent une nouvelle vie… mais qu’elles ne savent pas ce qu’elles veulent vraiment.
Et ce quelle que soit leur vie actuelle.
En dehors du confinement qui plombe beaucoup l’esprit de tous mais qui est aussi une opportunité de vous poser et de bien réfléchir à votre vie.
Et donc, je disais, les gens veulent une nouvelle vie quelle que soit leur vie actuelle.
Qui pour d’autres serait appréciée…au moins pour les signes extérieurs de cette vie-là.

C’est donc que chacun a ses propres envies.
Alors, je vous rappelle ce que j’entends par envie, c’est se sentir « en vie ».
Et pour se sentir en vie il faut vivre une vie qui vous ressemble.
C’est-à-dire une vie qui vous correspond.
Et ça autant dans certains aspects exceptionnels que dans votre quotidien.
Parce que vivre une vie sympa et qui nous fait plaisir ça doit être tous les jours.
Et pas uniquement une semaine par an.

Mais, donc, notre question du jour ?
Comment savoir si je suis heureux ?

Pour vous donner un point de départ, peut-être pourriez-vous vous poser une autre question :
Comment savoir qui je veux être dans ma vie ?

Pour cela, il vous faut comprendre où vous en êtes maintenant.
Qu’est-ce qui vous a amené à aujourd’hui ?
Quelles décisions ou non décisions ?
Quels conditionnements ?
Quels projets ?
Quels projets émanant vraiment de vous et pour vous ?
Est-ce que c’est ce que j’ai à réaliser dans ma vie ?

Vous devez faire le point pour savoir qui vous êtes ; et ensuite vous pourrez donner un sens à votre vie.

Construisez votre vie à partir d’un diagnostic.
En partant de qui vous êtes depuis votre naissance.
Vous, physiquement et psychologiquement, vos émotions, vos forces, vos faiblesses ; vous en faîtes quoi de tout ça ?
Ensuite vous aurez des pistes.

Car, savoir ce que vous voulez, repose sur la question de savoir ce que vous voulez être dans votre existence, et non pas de ce que voulez avoir dans cette existence.
C’est la confusion fondamentale de beaucoup de personnes.
Et cette confusion amène beaucoup d’entre vous à se tromper, jusqu’à ce que ce soit insupportable et que la crise se révèle.

Ensuite, pour partir à la découverte de vous-même, commencez par faire des choses nouvelles, pas à pas, pour voir ce qui va se découvrir en vous, chez vous, par vous, pour vous.
Cette réflexion englobera tous les aspects de votre vie, y compris le couple.

Et pour ne pas louper la prochaine formation de mai, « Crise de vie et Séparation », il faut être abonné avant le 7 mai 18h00.
C’est ici : Groupe Next Step.
N’oubliez-pas que pour changer votre vie, il suffit toujours d’une première décision.
C’était Didier
Vivez votre envie d’être vous.
A bientôt.
changementspositifs.fr

Est-ce qu’amour rime avec toujours ?

04-05-2020

Hello, hello,

En voilà une question qui revient souvent !
Sous diverses formes.
Est-ce que l’amour peut durer une vie ?
Est-ce qu’on peut aimer la même personne une vie ?
Est-ce qu’on peut réussir à aimer autant une personne sur une vie ?

Ensuite, il en découle d’autres questions.
Est-ce que je peux sauver mon couple ?
Est-ce que je dois quitter mon conjoint ?
Est-ce que je peux vivre une vie de couple meilleure ?
Est-ce que je dois m’investir pour mon couple actuel ?

Hé oui, beaucoup de questions sur le couple et la durée de vie du couple.
Je pourrais en lister des pages en relisant vos mails ou mes notes de coaching.
Et bien entendu, au centre de tout cela, il y a la notion d’amour.
Parce que définir l’amour est nécessaire avant d’en parler.

On en avait déjà parlé dans un mail précédent.
L’amour est un sentiment qui se construit.
Il est basé sur une impression, une intuition et une attirance de l’autre.
Mais, il faut une construction pour qu’il existe et ensuite pour qu’il dure.


Alors, l’amour a besoin de quoi pour se concrétiser, au-delà de ce qu’on vient de dire ?
Pour exister l’amour entre deux personnes a certaines exigences.
Il faut que chacun soit libre de tout lien précédent, quel qu’il soit.
Vous devez vous sentir sans passé auquel vous donnez de l’attention et des engagements (mêmes imaginés dans votre tête).
Ensuite, chacun doit être autonome.
C’est-à-dire que l’un ne peut pas être en dépendance de l’autre. Sinon, il n’aura pas la liberté d’exister dans le couple et d’évoluer comme il le devrait.
Enfin, vous devez avoir un projet commun.
Il est normal et nécessaire d’avoir envie de partager un projet de vie à long terme dont les contours soient agréés par les deux conjoints.

Et quoi d’autre pour que ça dure ?

Et bien, plein de choses.
Oui, il y a beaucoup de conditions.
Il faut un lien physique évident ou facile à entretenir.
La sexualité est importante dans le couple.
Sans sexualité le couple n’existe plus vraiment.
Le désir réciproque est un atout.
Sans oublier, l’intimité dont je vous ai déjà parlé.
Être soi et le proposer à l’autre. Et accueillir la proposition qu’est l’autre.
Être en confiance.
Il est évident qu’on ne peut pas vivre en ayant pas confiance en la personne avec laquelle on vit.
Si on croit qu’il y a risque de mensonges et de trahison, ce n’est pas la peine.
Sachant que ces craintes, si elles ne sont pas réelles, correspondent à un problème d’image de soi, que vous avez…vous.


Comment entretenir le couple ?
La sexualité comme on vient de le dire.
L’intimité qui est essentielle.
Des projets régulièrement. Des projets réellement partagés.
Être en lien et se le témoigner.
Passer du temps à deux.
Être dans un climat de douceur et de bonne humeur.


Alors, il est vrai que les couples durent moins de temps, d’après les statistiques.

On vit plus vieux donc la durée des couples est aussi longue qu’avant où c’était 25 ans maxi, mais on mourait avant d’aller au bout.
Et il y aussi tout ce qui dépend de la culture d’origine, de ce qui est acquis dès le départ et qui ne bouge plus, et de ce qui est acquis pendant le couple et qui le conforte…ou pas.

Enfin, notre société nous propose tant de possibles que l’on craint de ne pas avoir assez exploré nos solutions personnelles.
On peut également reconnaître qu’il y a de plus en plus de ménages d’une personne ; c’est-à-dire de personnes vivant seules.

Et pour terminer ce mot du jour, n’oubliez-pas que si vos attentes sont irréalistes, votre couple sera fichu, à plus ou moins long terme.
D’autant plus que ces attentes proviennent de vos conditionnements et manques …à vous.

On en reste là pour aujourd’hui.
Et pour ne pas louper la prochaine formation de mai, « Crise de vie et Séparation », il faut être abonné avant le 7 mai.
Cette formation sera envoyée aux abonnés au Groupe Next Step qui reçoivent :
– deux formations à l’inscription,
– chaque début de mois (le 7), une formation (audio ou autre format),
– chaque jeudi, un coaching (pdf ou autre format),
– chaque jour, une phrase inspirante (mail).

Pour ne rien manquer, vous pouvez vous abonner ici : Groupe Next Step.
N’oubliez-pas que pour changer votre vie, il suffit toujours d’une première décision.
C’était Didier
Vivez votre envie d’être vous.
A bientôt.
changementspositifs.fr

Ça vaut le coup d’attendre pour lui faire un geste affectueux ?

01-05-2020

Hello everybody today,

Bon, mon premier titre ce n’était pas « geste » mais « bisou ».

Mais, avec cette situation d’épidémie, je me suis dit que cela allait en faire bondir certains.
Donc, adieu bisou et bonjour geste.

Une fois cette restriction faite, il y a notre sujet du jour.
Le lien affectif, amoureux et les attentions simples et pourtant si importantes de chaque jour.

Parce que bien entendu, je parle de couple là.
De couples qui vivent ensemble, dans le même espace de vie.
Nouvelle restriction pour être bien clair.
Donc, le couple, les relations à l’autre dans le quotidien.
Mais, vous connaissez mon propos si vous êtes abonné à cette newsletter sur la crise de vie, qui est un outil pour vous aider à prendre des décisions pour améliorer votre existence.

Alors, donc ?
Je parle des petits gestes de tendresse qui sont naturels quand on aime quelqu’un.

Il y a par exemple les bisous aux enfants.
Ça leur fait du bien. Sauf à la sortie du collège devant les copains.
Ça nous fait du bien puisque ça conforte notre sentiment qu’on a fait quelque chose dans notre vie. Et puis, c’est ressentir et témoigner qu’ils comptent pour nous.

Et il y a aussi les gestes d’affection envers le conjoint.
Pareil. Le bisou sur la joue. Le bisou sur les lèvres.
La caresse sur la joue. Ou ailleurs.
Mais sans sexualité (autant que possible). De l’affection, de la tendresse.

Il me semble que c’est normal dans un couple d’avoir ces gestes-là.
Et aussi les regards complices, de gratitude ou de confiance.
Enfin, les sourires.
Juste se regarder, être proche l’un de l’autre, passer à côté de l’autre peuvent déclencher ce type de gestes et d’attitude.

Ça fait partie de l’amour entre deux personnes qui sont contentes de prouver à l’autre, et de réaliser pour elles-mêmes, qu’elles sont bien là où elles sont et avec qui elles sont.
On compte l’un pour l’autre.
L’autre apporte de la douceur, de la présence, rassure et apaise.

Alors bien sûr, il y a la situation où ce n’est plus ça.
C’est un classique que la durée et la façon de vivre puissent éloigner les conjoints de ces petites gestes amoureux, qui sont pourtant autant de preuves que l’autre est important.
Vous le savez, la vie use.
D’autant plus que l’on n’a pas fait ce qu’il fallait pour vivre une vie épanouie.
C’est-à-dire une vie conforme à ce qui vous fait du bien.

Et quand ça n’a jamais été ça ?
Là, c’est différent.
Bien entendu, cela peut être lié au format culturel, cultuel et social des conjoints.
Et cela peut aussi venir de l’expérience familiale de chacun. De la culture familiale si vous préférez.
Ainsi, cela fonctionne avec moins de tendresse spontanée.

C’est sans doute dommage de passer à côté de cela.
Mais, comme vous le savez depuis que vous regardez mes contenus sur changemenstpositifs.fr , les conditionnements sont puissants. Et sont le frein principal à votre réalisation personnelle.

Enfin, il y a également les couples qui vivent en distanciation physique sans qu’une épidémie soit engagée dans ce comportement.
Il y en a beaucoup de ces couples distants physiquement.
Sans doute, une usure du lien, et un maintien du couple lié à la société, mais pas à l’amour.
N’oubliez-pas que le couple c’est être mieux à deux.

Et, est-ce que ça peut devenir tendre comme ça ?
Oui.
Sans hésitation.
Mais, il faut ressentir cette envie.
C’est-à-dire ressentir que vous êtes bien plus vivant en étant tendre.
C’est un parcours. A deux.
Mais quand l’essentiel est là, pas de souci, la relation peut évoluer vers plus de proximité.


Enfin, dans la crise de vie, il y a souvent le facteur de l’éloignement du couple.
Au moins un des partenaires ne ressent plus cette proximité et cette tendresse qui rapprochent.
Et donc il y a questionnement, rumination et distance.
Le couple n’est plus la zone de protection ultime où on se sent à l’aise, en confiance et en sécurité.
Il faut chercher bien plus en arrière ce qui a fondé la réalité de cette vie et de ce couple.
Ensuite, il faut chercher à avancer en travaillant sur soi.
Ne pas chercher à faire changer l’autre.
Il faut changer soi et trouver les clés pour se sentir bien, en vie, en paix, et prêt à vivre ce qu’il y a de mieux.

Et pour ne pas louper la prochaine formation de mai il faut être abonné avant le 7 mai.
La prochaine formation sera envoyée aux abonnés au Groupe Next Step qui reçoivent :
– deux formations à l’inscription,
– chaque début de mois (le 7), une formation (audio ou autre format), (en mai ce sera « Crise de vie et Séparation »)
– chaque jeudi, un coaching (pdf ou autre format),
– chaque jour, une phrase inspirante (mail).

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Créer et recréer du lien dans le couple, pas si facile

29-04-2020

Hello everybody today,

Dans mon mail d’hier, je vous parlais de la relation de couple et de toute la complexité du lien.
On peut parler de lien amoureux bien entendu.
Mais, il peut avoir plusieurs aspects.

Il peut être centré sur le rendez-vous des corps.
(Vous : comme c’est bien dit Didier.
Moi : merci).
Il peut être centré sur la confiance réciproque.
Il peut être centré sur la facilité de la relation. On pourrait dire son évidente simplicité.
(Vous : là encore jolie expression Didier.
Moi : merci, ça me vient comme ça !).
Il peut être centré sur l’ancienneté de la relation.
Il peut centré sur la concordance des éducations.
(Vous : pas mal non plus celui-là.
Moi : c’est trop, je suis gêné)

Mais ce lien, quel qu’il soit, doit s’entretenir, même s’il paraît facile dès le début de la relation.

Pourquoi ?
Ben, évident, non ?
Parce que la vie use.
Oui, la vie use tout le monde.
Et elle peut banaliser la plus belle des relations amoureuses.
Triste ?
Non, normal, logique.
C’est la nature humaine.
On regarde de moins en moins ce que l’on a.
On critique plus facilement qui on a à ses côtés.
Et on peut s’en lasser.
L’être humain cherche toujours une herbe plus verte ailleurs.

Mais, il n’y a pas que ça !
Il y a aussi tout ce que l’on vit avec l’autre.

Donc, tout ce qui est vécu peut nous user, nous contrarier, nous donner l’illusion que rien n’est assez bien, et nous détourner du lien amoureux.
Et même si ce qu’on vit est stimulant, cela peut nous éloigner de cette réalité avec l’autre.
Et donc, user ce lien amoureux.
On en parle dans la formation « Crise de vie et rupture amoureuse », à voir sur le site).

Et aussi, il y a tout ce que l’on ne vit pas.

Hé oui, manque de temps, d’argent, et trop de rêves compliqués plutôt que de rêves simples à réaliser.
Et trop d’attentes irréalistes de l’un ou de l’autre, ou des deux conjoints.
Par fuite en avant, emporté par le temps que l’on ne sait plus mettre à sa disposition.
Parce qu’on se dit que c’est acquis et que cela ne demande plus d’effort.

Donc, il faut entretenir le lien amoureux, la relation à l’autre et le contexte qui permet une relation épanouie.

Je vous parle souvent de l’intimité dans le couple.
Je vous le rappelle cela ne signifie pas la sexualité. Même si elle est indispensable.
Et doit être un moment de partage et d’affection exprimé par les corps.

L’intimité c’est dire « voilà qui je suis » et « je reçois qui tu es ».
Cela fait le cœur d’une vraie relation amoureuse durable.

Alors, avec le chamboulement de la « middle life crisis », il y a un gros job pour trouver et retrouver vos repères.
C’est également l’opportunité pour se recentrer sur le lien amoureux et l’évaluer.
A vous de jouer !

Pour vous aider à vous poser les bonnes questions, sur vous et votre couple, il y a tous mes contenus et mes formations.
Et pour ne pas louper la prochaine formation de mai il faut être abonné avant le 7 mai.
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– deux formations à l’inscription,
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Comment situer où en est votre histoire d’amour ?

28-04-2020

Hello everybody today,

La relation à l’autre est sans doute la formule alchimique la plus compliquée.

Dans le temps, cette relation a aussi toute une formulation qui s’écrit à travers les composantes du couple.

Qui je suis.
Qui le conjoint est.
Quels évènements ont impacté, en bien ou en mal, le couple.
Quels tiers ont impacté, en bien ou en mal, le couple.
Quelles expériences ont impacté, en bien ou en mal, le couple.
Quels projets communs ont été partagés.
Quelles conséquences de ces projets sur le couple à terme.
Qu’est-ce qui nous rapprochait au début ?
Qu’est-ce qui nous rapproche encore ?
Quelles sont les attentes de l’un et de l’autre ?
A partir de là, vous pouvez situer en partie votre couple.
Et savoir où vous en êtes.

Mais, quand votre histoire d’amour n’est toujours pas devenue une vraie histoire d’amour… c’est que c’est râpé.

En gros, si vos espoirs et vos attentes ne deviennent pas bien concrets et bien tangibles après quelques années, et bien, ils n’arriveront plus.

Bien entendu, il faut aussi mesurer le réalisme de vos attentes.
Mais si elles vous paraissent réalistes, il est quasi certain que rien n’arrivera plus.
Quel que soit votre attachement à l’autre, vous devrez vous contenter de ce qu’il vous donne et rien de plus.

Mon conseil.
C’est de changer vous.


De devenir la personne la plus attirante, créative et intéressante que vous pouvez devenir.
Mais sans jouer un rôle.
Juste en devenant qui vous êtes vraiment.
Bien sûr, la meilleure version de vous.

Ensuite, votre façon d’interpréter la vie et de vouloir faire évoluer la vôtre, de vie, va se proposer, va se dessiner.
Et l’autre va sans doute évoluer…ou pas.

Mais ce qui est certain c’est que, vous, vous allez évoluer et mieux comprendre ce qui vous fait du bien et quelles sont vos attentes réalistes pour vivre votre histoire d’amour avec l’autre…ou quelqu’un d’autre.

Dans ma thématique, la crise de la quarantaine, il y a presque toujours la crise du couple.
Puisque la crise du milieu de vie intervient sur fond d’usure et de choix pas vraiment assumés, et marqués par les conditionnements, et bien, le couple est presque toujours remis en question.
C’est une constante.
On ne peut pas s’interroger sur soi, sans s’interroger sur ceux qui nous entourent ; proches et moins proches.

On s’interroge sur la vie que l’on mène et sur le sens qu’elle a pour nous maintenant.
Et cette perte de sens est le moteur de l’émergence de votre crise de vie.

Pourquoi je n’aime plus ce que je vis ?
Pourquoi je n’aime plus qui je suis ?
Pourquoi je ne vis plus ce qui m’amuse, me rend vivant et créatif ?
Pourquoi je me sens loin de mes proches ?
Qu’est-ce que c’est qu’aimer et être aimé ?
Où est ma place ?

Alors, posez-vous la question de savoir où en est votre histoire d’amour à partir de ces questions.

Pour vous aider à vous poser les bonnes questions, sur vous et votre couple, il y a tous mes contenus et mes formations.
Et pour ne pas louper la prochaine formation de mai il faut être abonné avant le 7 mai.
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N’oubliez-pas que pour changer votre vie, il suffit toujours d’une première décision.

C’était Didier
Vivez votre envie d’être vous.
A bientôt.
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Être ensemble pour de bonnes raisons. Lesquelles ?

24-04-2020

Bonjour everybody,
 
C’est une réflexion que je me faisais hier.
A propos de situations réelles.
Du genre, les couples de colocataires qui se formaient pendant le confinement.
Et puis, par extension les couples, tout court.
 
C’est à dire le pourquoi des couples ?
Pourquoi les personnes sont ensemble ?
Pourquoi acceptent-elles de vivre ensemble ?
Pourquoi restent-elles ensemble ?
 
Alors, bien sûr, il y a aussi, avant ce pourquoi, la question du comment ?
Dans quel contexte le couple s’est-il rencontré ?
Combien a duré la période de connaissance de l’autre ?
Quelles sont les conditions réunies pour que le couple ait pu exister ?
A quel moment, le couple s’est-il imposé comme la bonne avancée pour chacun ?
Comment chacun a-t-il ressenti et affirmé que l’autre devait faire partie de sa vie ?
 
C’est toujours intéressant de savoir quelles raisons ont conduit au couple.
Mais quand on y réfléchit, ce doit toujours être les mêmes raisons.
A savoir, les bonnes raisons !

Donc, si je parle de bonnes raisons, c’est qu’il y en a de mauvaises.
Ok ?
 
On va parler de ces mauvaises raisons.
Les mauvaises raisons principales sont les suivantes :

  • Se sentir seul et chercher à ne plus l’être quel que soit le partenaire : fréquent, très fréquent.

Du style, ouf j’ai quelqu’un. Je m’accroche.
Donc, c’est un peu jouer à « pile ou face ». Mais, ça peut marcher…avec beaucoup de bol.

  • Envie d’être aimé : oui, c’est un gros moteur de la relation.

Ressentir l’affection de l’autre et l’amour de l’autre.
C’est normal de le vouloir.
Mais, c’est souvent au détriment de votre estime de soi.
Être aimé par la bonne personne fait du bien.
On est aimé parce qu’on le mérite. Parce qu’on est quelqu’un de bien, qui a de la valeur, et qui mérite d’être aimé vraiment, sincèrement.
Si on accepte l’amour de l’autre quel qu’il soit avec peu de respect et d’attention, c’est qu’on pense ne pas valoir mieux que cet autre-là.

  • Aimer   : la motivation du couple est aussi celle-là.

Donner de l’amour à un autre.
On en a plein en soi de l’amour, et c’est normal de vouloir en faire un gros cadeau à l’autre. C’est aussi vrai dans le cadre de l’amour à ses enfants.
Donner de l’amour nourrit l’amour. Et c’est une bonne chose.
Sauf que cela ne doit pas aveugler.
Et donc conduire à donner tout à un autre qui ne vous mérite pas et ne mérite pas l’amour que vous lui donnez.
Enfin, aimer ne doit pas conduire à étouffer l’autre par une illusion d’amour irréaliste. Et non plus conduire à des attentes impossibles à satisfaire par l’autre.
Sinon, vous serez dans l’amertume et dans la rancune.

  • L’autre est là : cette situation n’est pas liée qu’au confinement. Il y a des situations où l’autre est là, dispo, à portée.

Et donc, on trouve un contexte facile.
Et la facilité est bien le plus gros défaut de l’être humain.
Ce qui est facile aujourd’hui représente souvent une difficulté ensuite.


Alors, bien entendu, on peut nuancer toutes ces raisons et dire qu’elles font partie de tout être humain à un moment donné.
C’est exact.
Mais, je reste convaincu que ces mauvaises raisons sont trop puissantes pour être anodines.
Elles conditionnent le couple dans un mauvais contexte.

Et avec toutes les dérives que l’on peut imaginer.
La dépendance à l’autre.
L’acceptation de l’autre alors qu’il ne correspond pas à ce qui vous fait du bien.
La stagnation de vos potentiels de vie car vous êtes limités par l’autre et par votre choix.
Hé oui, votre choix de ce couple vous a amené à vous installer dans une vie qui ne vous correspond pas.
Et vous savez à quel point le critère principal d’une vie réussie est le fait de vivre une vie qui vous ressemble.
Et cette vie est à votre portée.
Surtout que la crise de vie venant taper à votre porte, elle vous interroge en profondeur et remet en question vos acquis.
Acquis qui vont s’écrouler d’autant plus aisément qu’ils reposent sur des faiblesses, des conditionnements, et des facilités du moment.

L’amour et l’engagement amoureux, c’est une décision que l’on prend.

Pour vous aider à réfléchir à votre couple et à le conforter, regardez du côté de ma formation : https://changementspositifs.fr/votre-crise-de-vie-et-votre-couple/

Et n’oubliez-pas que pour changer votre vie, il suffit toujours d’une première décision.
C’était Didier
Vivez votre envie d’être vous.
A bientôt.
changementspositifs.fr

Être plus cool à deux que seul ?

23-04-2020

Hello, hello,

Alors c’est vrai que dit comme ça, c’est pas forcément évident.
D’habitude, on dit qu’on est cool parce qu’on est tranquillou, sans personne pour nous dire ce qu’on a à faire.
On vaque à nos activités ou à rien du tout, en grosse procrastination, ou flemme comme on dit dans le sud, et on se délasse, prélasse sans objectif.
C’est une des versions de la coolitude.
Il y en a d’autres.

On peut juste être détendu la plupart du temps parce qu’on a une routine qui nous calme, une vie professionnelle qui nous comble, une vie perso qui nous rend souriant.
Bon là c’est pas toujours le tout en même temps.
Mais, bref, être cool, c’est mieux.

Alors donnons une définition plus en lien avec notre sujet, c’est-à-dire la crise de vie, et avec notre slogan, vivre une vie qui vous ressemble.
Être cool c’est ne pas être dans la rumination permanente.

Hé oui, bref, mais qui condense tout ce que représente la bonne attitude et la bonne perception de la vie.
En effet, quand on ne rumine pas tout le temps sa vie, et bien, on est apaisé.
Et être apaisé c’est le but de la vie.

Attention, cela ne veut pas dire qu’on ne fait rien !
On peut être en challenge perso, prof, sportif.
S’engager dans des actions qui correspondent à ce qui nous convient le mieux et nous rend heureux.
Heureux c’est-à-dire content d’être qui l’on est.

Donc, on est apaisé par ce que l’on vit et qui nous semble être le naturel de notre vie.
Cela signifie qu’on n’est plus en attente de ce qui nous rend content de vivre ce que l’on vit.

C’est ça être cool.
C’est de ne plus ruminer, ressasser sur ce qui aurait pu/dû être fait, ou sur ce qui devrait être mais n’est pas.

Surtout que dans cet état de rumination on culpabilise.
Et ça c’est pas un bon moteur parce que cela nous emmène dans la mauvaise direction.

Par ailleurs, on cherche des coupables autres que soi.
Et c’est pas mieux.
Les autres ne peuvent être responsables de notre mal-être.
Car ce mal-être dépend de nos choix …et de nos non-choix.
En plus des conditionnements qui vous ont menés à vivre une vie qui ne vous est pas naturelle.

Donc, réfléchissez à cette notion d’être détendu, apaisé, cool.

D’abord, quand vous étiez seul.
Ou si vous l’êtes actuellement.

Est-ce que vous ruminez souvent ?
Est-ce que vous êtes détendu souvent ?
Est-ce que vous sentez que vous êtes bien, sans personne à vos côtés ?
Avez-vous des projets ou des projections de votre vie ?
Etes-vous satisfait d’avoir des projets pour vous seul ?

Ensuite, imaginez l’apaisement en étant en couple (et aussi avec enfants).
C’est un peu les mêmes questions.
Ruminations ?
Détendu ou pas ?
Des projets ou pas ?
Pour vous ?
Et d’autres questions.
Etes-vous détendu d’avoir l’autre à vos côtés ?
Vous sentez vous dans le partage ?
Vous sentez vous autonome et en même temps profondément lié ?
Avez-vous une intimité qui vous rapproche dans laquelle vous donnez à l’autre qui vous êtes et où vous recevez qui il est ?

C’est important de comprendre ce qu’est votre situation par rapport à vos ruminations car elle ouvre sur ce qui ne va pas dans votre vie…depuis très longtemps.

Ensuite, il est utile de travailler sur ces causes pour accéder à l’apaisement.

Enfin, être avec l’autre doit vous apaiser, et vous rendre plus fort, car vous êtes heureux d’être qui vous êtes.

Parce que si vous êtes moins cool à deux que seul, c’est qu’il y a un problème.

Chacun a besoin de son espace privé bien entendu.
Mais être à deux doit être un plus dans une vie.
Et donc, vous rendre plus cool.

Pour vous aider à réfléchir à votre couple et à le conforter, regardez du côté de ma formation : https://changementspositifs.fr/votre-crise-de-vie-et-votre-couple/

Et n’oubliez-pas que pour changer votre vie, il suffit toujours d’une première décision.
C’était Didier
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Comment se regarder dans le miroir et apprécier ce que l’on voit !

20-04-2020

Salut, salut,

Et une nouvelle semaine qui démarre.
Boulot (télétravail), nouveaux objectifs, nouveaux comportements ?

Selon votre vie.
Et selon vos choix.

Vos décisions, quoi !
Enfin, si vous en prenez.

D’abord, les décisions, celles qui comptent, ne sont pas si nombreuses.
Ensuite, il faut une certaine assurance pour pouvoir en prendre. Et des bonnes, pas des mauvaises.

Aujourd’hui, je me dis que ce qui compte c’est le regard qu’on a sur soi.
Alors, vous, c’est quoi le regard que vous portez sur vous-même ?

Bien entendu, la notion de regard sur soi est une notion large.
C’est-à-dire que ce regard s’entend au sens large du terme.
Donc, pas seulement physique.

Mais, ce qui est certain, c’est que si vous avez pris les bonnes décisions dans votre vie et pour votre vie, et bien, vous devez apprécier ce que vous regardez dans le miroir quand vous vous y regardez.

Bein oui, vous devez pouvoir vous regarder dans le miroir et vous dire que vous êtes satisfait.
Et cela n’a rien à voir avec le fait d’avoir un physique de mannequin…même si ça aide, sauf si c’est au sacrifice de votre santé.

Là, j’ai une petite pensée pour ces femmes, dont certaines de mes clientes en coaching, qui sont anorexiques. Une pensée sincère, pleine de compassion pour la souffrance qu’elles ressentent chaque jour de leur vie. Mais, elles essaient d’en trouver les causes et les mécanismes, et de s’en sortir.
Elles ont pris des décisions pour améliorer leur vie, et celle de leurs proches.

On revient à notre sujet, se regarder dans le miroir et être content de soi.

On ne parle pas de la satisfaction arrogante de se sentir plus fort que les autres, ou fort d’avoir le dessus sur les autres.
Là, si vous êtes comme ça, vous ne pouvez pas être heureux, car c’est l’égo qui vous domine.
Et donc, vous passez à côté de la vraie vie, celle qui révèle le meilleur de soi.
Et vous n’êtes pas lecteur de cette newsletter.

Ce qui compte, c’est de savoir que quand vous aurez pris les bonnes décisions, vous vous trouverez…beau !
Oui, beau, belle, parce que vous vous sentirez bien.
Bien dans votre peau.
Certain de vivre la vie qui vous ressemble.

Et c’est vrai que c’est une évidence dans le miroir. On est beau parce qu’on est bien dans sa vie !

Et ce qui est étonnant, c’est que cette impression est une réalité.
Parce que les autres vous voient de la même façon ; beau !

Donc, le challenge est lancé, là, dès aujourd’hui.
Prenez des décisions pour vivre la vie qui vous correspond.

Prenez la décision pour avoir la vie qui vous plaît.

Pour ça, construisez votre vision de soi.

Qui vous voulez être ?
Quels physique, forme, santé, attitudes, posture, allure, style ?
Quel style de vie professionnelle ?
Quels moyens financiers, style de vie, lieu de vie ?
Quel conjoint ?
Quelle vie de famille ?
Quels voyages ?
Quels amis ?
Quelles activités de loisirs ?

Maintenant, définissez comment vous allez y arriver.

Il faudra vous investir.
Que ce soit pour avoir une meilleure forme physique ou un meilleur job, ou un conjoint.

Rassurez-vous, la vie va reprendre au fur et à mesure, et il sera temps de faire plus que de rêver votre vie.
Il faudra la réaliser cette vie rêvée.

Et il faudra tenir pour réussir.
Sans oublier que tout ce qui paraît facile semble plutôt une forme de lâcheté qui vous rend la vie plus difficile dans sa durée.

Alors, bonne transformation.

Et pour contribuer à votre transformation, j’ai une promo pour vous, lecteur de la newsletter quotidienne. (oui je prolonge parce que je sais l’utilité de cette formation, et je veux la mettre à la portée de tous ceux qui ont la volonté de changer leur vie maintenant).
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Pour avoir ce prix-là, il faut me demander par mail le lien vers le paiement avec la réduction. Car c’est réservé aux lecteurs de la newsletter.

Pour en savoir plus sur cette formation c’est ici :
(https://changementspositifs.fr/le-booster-de-votre-vie/)

N’oubliez-pas que pour changer votre vie, il suffit toujours d’une première décision.

C’était Didier
Vivez votre envie d’être vous.
A bientôt.
changementspositifs.fr

Comment faire votre propre horoscope qui vous procure la vie de vos rêves ?

17-04-2020

Hello everybody today,

Bon, je ne suis pas astrologue.
Je ne tire pas les cartes non plus.
Et je ne lis pas dans le marc de café.
Bon, ça, c’est dit, pour poser le cadre du mail du jour.

Pourtant, je parle d’horoscope.
Les statistiques ne sont pas forcément très fiables.
Mais, il semble que 65 % des français consultent leur horoscope quotidiennement.
C’est énorme.

Chaque jour, vous êtes de millions à essayer de savoir si votre journée va être bonne.
Et pareil pour les horoscopes hebdo ou mensuels.

C’est-à-dire que vous comptez sur les astres et les astrologues pour définir si vous allez vivre une vie qui vous convient.
Ok, pourquoi pas !

J’ai aussi une part de moi qui croit en sa bonne étoile.
Une part de moi qui pense avoir un destin.
Une part de moi qui sent comme un monde mystique autour d’elle.
Une part de moi qui pense que je compte pour les planètes qui nous entourent.
Une part de moi qui pense que je suis assez unique pour être intéressant pour une entité invisible et généreuse qui « gouverne » l’univers.
Bon, ok, c’est dit.
Et vous, c’est pareil ?

Le scoop c’est qu’on est nombreux à avoir une perception complexe du monde et de la vie.
Parce que la vie ça doit avoir du sens pour pouvoir être enrichissante, épanouissante, et apaisante.
On cherche du sens. On cherche à se rassurer.


Alors, j’ai un tuyau.
Mais, il faut vous y mettre tout de suite.
Non, non, pas de regarder votre horoscope.
Non, non. De toute façon, vous êtes bloqué à la maison.
Alors, la rencontre de votre vie, le job par hasard, le coup de bol, etc… c’est pas l’horoscope qui va vous l’amener tout simplement dans votre escarcelle.

De toute façon, rien n’est écrit !
C’est à vous d’écrire l’histoire de votre vie.

Et j’ai une solution.
C’est celle que j’ai adoptée pour moi, et que je fais adopter à mes clients en coaching quand ils sont trop déroutés par leur vie, ce qui est normal, vu que ma spécialité c’est la crise de la quarantaine, quel que soit l’âge auquel elle arrive.
Hé bien, ma solution c’est de tracer votre horoscope.
Oui, oui, tracer votre horoscope.
Je m’explique.
Il s’agit d’enchaîner bien les étapes.

D’abord, définir qui vous voulez être.
Et visualiser la personne que vous voyez dans six mois, un an maxi. C’est vous, mais un autre vous. En mieux.
Pensez à la personne qui vous ressemble au fond de vous.
Reposée, apaisée, en forme, souriante, bienveillante, énergique, active, déterminée.
Ecrivez le et mettez une date d’achèvement.

Ensuite, fixez les étapes pour arriver à devenir cette personne.
Moyens, formations, rencontres, activités.
Toujours sur votre planning.

Enfin, entrez dans le détail de ce que vous allez mettre en place semaine après semaine.
Décrivez toutes les actions à mener.
Sans charger le planning.
Ce qui compte c’est d’avancer …ET DE CONFORTER.
Voilà, vous avez votre horoscope.

Et puis, dès aujourd’hui, commencez le changement de vie.
Oui, là, maintenant, confiné.
Commencez le changement de vous pour devenir une meilleure version de vous.

Et pour contribuer à votre transformation, j’ai une promo pour vous, lecteur de la newsletter quotidienne.
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Pour en savoir plus sur cette formation c’est ici :
(https://changementspositifs.fr/le-booster-de-votre-vie/)

N’oubliez-pas que pour changer votre vie, il suffit toujours d’une première décision.

C’était Didier
Vivez votre envie d’être vous.
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Confinement, sexe, et rock’n roll

15-04-2020

Hello everybody today,

Et oui, la vie confinée intéresse tout le monde, bien entendu.
Car c’est une nouvelle façon de vivre.
On ne peut pas décider de ce que sera notre journée.
On ne peut pas décider de nos mouvements.
On ne peut pas décider quoi !

Bon, comme je connais assez bien l’humain, je dirai que quand il a toute latitude de décider, et bien,…il décide de pas grand chose.
He, ho, pas la peine de se sentir agacé, c’est juste vrai.
Et si ça vous agace, c’est que…c’est encore plus vrai.
He oui, décider c’est dur.
Alors là, confiné, on a des excuses.

Et au centre de tout ça, le couple est là, confiné.
Avec ses bons et mauvais côtés.
Cela dépend aussi de l’ancienneté du couple, de ce qu’il a déjà mis en place comme rapports, de la situation dans laquelle il était au moment d’être confiné.
Surtout que là, tout devient plus lourd.
On n’a plus le job, le sport, les courses, les copains, la famille au sens large.
On est en tête à tête.

Alors, d’après ce qu’on en sait, la sexualité des couples confinés a été exacerbée pendant les deux premières semaines.
Tant mieux.
C’est bien d’être en rapport physique à l’autre de façon intense, si c’est complètement partagé.
C’est le cas pour vous ?

Il semble qu’ensuite cette frénésie sexuelle se soit tassée.
C’est le cas pour vous ?
C’est normal.
Dans les premiers temps, on est entré dans l’inconnu.
Et dans la peur du manque.
On a fait des stocks de pâtes, de farine, de papier toilette.
Et on a aussi assumé le manque potentiel de sexe. En augmentant les rapports sexuels.
Puis, ensuite, cette pression est retombée.
C’est normal.
Donc, pas de souci.
Cela ne signifie pas que c’est mort au niveau libido !
C’est juste que vous retrouvez un rythme normal sans peur de manquer.
Le désir est un peu tombé. (Gros dossier la notion de désir).
Rien de grave.

Mais ça dépend de la situation de votre couple avant le confinement.
Et de vos questionnements jusque-là.

Que propose le confinement ?
Se retrouver avec l’autre autour de valeurs communes.
Se caler avec l’autre sur les attitudes du quotidien.
Essayer de proposer la meilleure version de soi pour que tout soit plus facile à vivre au présent.
Essayer de se séduire à nouveau grâce à ce meilleur proposé.
Mettre en place, au sein du couple et de la famille, des routines dé-stressantes, et un langage porté sur l’écoute et l’apaisement.
Et aussi des amusements : apprenez la salsa, le yoga, la méditation.
Et aussi des formations : développement personnel à tout va pour enfin comprendre qui vous êtes.

Précision : moi, je propose de l’accomplissement de soi, je préfère ce terme.

Voilà pour l’essentiel des comportements utiles en confinement.

Et que propose donc aussi le confinement ?
S’apaiser et se motiver par un travail sur soi (https://changementspositifs.fr/le-booster-de-votre-vie/).
Clarifier les choix, fixer des solutions et un planning pour évoluer étape par étape.
Et éventuellement confirmer la rupture amoureuse.

Et pour vous aider à y voir plus clair, regardez du côté de ma dernière formation : https://changementspositifs.fr/crise-de-vie-et-rupture-amoureuse/

C’était Didier
Vivez votre envie d’être vous.
A bientôt.
changementspositifs.fr

Avez-vous en vous quelque chose de Walter Mitty ?

14-04-2020

Hello everybody today,

J’adore le cinéma.
J’adore les belles histoires en fait.
Qu’elles soient en livres ou en images.

Et puis, j’adore les histoires qui sont initiatiques.

Du genre, le livre « L’alchimiste » de Paulo Coelho.
Oui, c’est devenu un classique.

Je l’ai lu une première fois, il y a 25 ans et ça a été une révélation.
Je me suis dit, comme des millions d’autres, que ma légende personnelle était devant moi et qu’il fallait la créer et l’enrichir.
Puis, j’ai peut-être un peu oublié tout ça.
J’ai eu beaucoup à faire, même si ce n’est pas une excuse.

Puis, je l’ai relu il y a 8 ans. J’y ai retrouvé ce qui m’avait enthousiasmé, dans une moindre mesure.
Mais, surtout, j’ai trouvé une sagesse simple qui incite à regarder le monde comme un cadeau et la vie comme une exception dont il faut prendre soin.
Je vous engage à lire et relire ce livre si particulier et impactant, car il propose un apaisement rassurant.

Et dans la série des récits initiatiques, il y a en un qui me paraît intéressant, c’est le film de Ben Stiller « La vie rêvée de Walter Mitty » (ou « La vie secrète de Walter Mitty » au Québec).
Ce film sorti en janvier 2014 est un petit bijou.

Je l’ai vu au cinéma et j’en suis sorti avec une envie de vivre démultipliée.
Ce récit cadre bien à ma thématique qui est la crise de la quarantaine (crise de vie).

Il parle très bien du fait que l’on peut passer à côté de sa vie.
Parce qu’on n’ose pas.
On n’ose pas accepter de changer.
On n’ose pas accepter le lien aux autres.
On n’ose pas prendre certains risques.
On n’ose pas révéler tous nos potentiels.
On n’ose pas faire.
Car on préfère subir plutôt qu’agir.
Heureusement, jusqu’à un certain point !

Bon, je ne vais pas vous spoiler le film.
Je préfère vous encourager à le voir.
Il paraît que vous avez un peu plus de temps en ce moment.

Une note à ce sujet : pour vos demandes de premier rendez-vous coaching (à voir sur mon site) ne faites pas comme certains qui me demandent un rendez-vous pour le lendemain car ce n’est pas évident. Donc, soyez patient, un peu.

On revient à notre film.

Il montre comment les éléments extérieurs influencent la vie de notre personnage principal.
Mais, c’est en agissant et en acceptant de repousser ses limites qu’il va se découvrir.
Et c’est en agissant, plutôt qu’en rêvant.
Le principe de réalité est primordial pour avancer.
C’est un principe que je rappelle souvent car il est seul moteur de votre changement de vie.
Restez dans les nuages et vous ne verrez aucun changement.

Et bien entendu, il ne faut pas attendre que l’environnement vous y oblige pour choisir ce qui est le mieux pour votre vie.

En tout cas, si vous sentez que votre vie n’a pas atteint ses limites et que vous vous sentez enfermé dans une routine qui vous use, c’est que votre crise de la quarantaine est bien implantée.
Et qu’il faut décider de ce qui est le mieux pour vous.
Sans attendre.
Pour mieux réfléchir à votre crise de vie, votre vie rêvée, votre couple, et aux décisions à prendre, il y a depuis cette année 2020 mes formations.

Et pour votre couple, si vous êtes en pleine réflexion, la nouvelle formation traite de « la crise de vie et de la rupture amoureuse (rupture du couple) » (comprise dans l’abonnement mensuel Next step).
Elle est ici : https://changementspositifs.fr/formations/ avec les autres formations qui vous permettent de choisir une vie qui vous ressemble.

C’était Didier
Vivez votre envie d’être vous.
A bientôt.
changementspositifs.fr

Heu désolé, mais, confiné ou pas, le prince charmant n’existe pas. Les princesses non plus !

10-04-2020

Hello everybody today,

Donc, salut à tous aujourd’hui, pour les non anglophones.

D’abord, ce mail est destiné aux filles autant qu’aux gars.

Bon, il faut en parler là, non ?
De quoi ?
Bein, du mythe qui pollue touts les esprits de nos belles !
Le prince charmant !

Elles en ont rêvé depuis toute petiote (gamine quoi).
De ce beau gosse au sourire éclatant, bien élevé qui les emmènerait sur son puissant cheval blanc.
Et là, surtout après quelques années de vie commune (il ne faut pas trop se relâcher les premiers temps sinon elle repart chez ses parents), et en plus confiné, la réalité dépasse la fiction.

OU EST-IL MON PRINCE CHARMANT ?

He, ho, les filles ont se réveillent !
Il n’a jamais existé.
C’est un conditionnement de la société sinon jamais vous ne vous seriez mariée.

Alors, on précise que ce mythe est une calamité pour trouver le bon conjoint.
car cela stéréotype le candidat.
Qui est recherché pendant des années…souvent sans succès.
Et un jour, vous en choisissez un qui est…pas trop mal…et qui pourra vous donner des enfants.
De là, à dire qu’il a toutes les qualités requises, c’est pas sûr…du tout.

Et donc, je vous le dis votre prince charmant, et bien ,
il transpire, sent de pieds, rote, pète, mange avec les doigts, ne range pas ses chaussettes sales, ne participe pas aux tâches ménagères, ne s’occupe pas des enfants, surtout le week-end car il a foot, et il adore regarder la télé avachi sur le canapé en bouffant des cacahouètes et en buvant de la bière , si possible entouré de ses meilleurs potes, qui ont douze ans de maturité à eux tous réunis.

Bon, le portrait est extrême.
Et je comprends que si votre prince charmant est pile dans ma description, ce soit plutôt un boulet.
Mais, bon, il a pû se relâcher un peu…beaucoup.

Sauf que les filles, he ho (je sais je me répète mais c’est ma façon de dire qu’il y a un hic), vous n’êtes pas non plus des princesses !

Donc, on revient à la réalité ?

La réalité c’est que l’amour c’est de rencontrer une personne avec laquelle on sent que l’on a de l’attrait, qui nous plait physiquement et charnellement, c’est mieux, et aussi qui soit libre de tout lien antérieur, autonome en tout, et prêt à un projet commun.
Donc, ça c’est important ! Et c’est l’amour.

Surtout quand on arrive à partager une intimité sincère (je vous le répète ce n’est pas la sexualité) et que la confiance règne.
Donc, là, vous pouvez tout surpasser ensemble.

Sauf que ce n’est pas toujours le cas.

De toute façon, si votre conjoint vous irrite pour quelque aspect de ma description assez négative du dessus, c’est que c’était déjà là, mais que vous aviez passé sur cet aspect pendant longtemps.

Et si vous vous posez des questions c’est que vous n’allez pas bien.

Ok, filles ou garçons, c’est le même constat.

Donc, si vous n’allez pas bien, il faut trouver pourquoi sans commencer par vous en prendre au conjoint.

Mais, commencez par vous !
Cherchez ce qui ne va pas dans votre passé.
Demandez-vous pourquoi le présent est si lourd à vivre (au-delà du confinement).
Et voyez comment avancer dans votre crise de vie, car il s’agit bien de cela.
En tout cas c’est ce que je rencontre tout le temps dans mes coachings.

Donc, les filles, les gars, pas de panique, l’amour c’est un tout qui est génial, à condition d’y travailler tous les jours, et de sortir du mythe et des attentes irréalistes.

Et pour mieux réfléchir à votre crise de vie, votre vie rêvée, votre couple, et aux décisions à prendre, il y a depuis cette année 2020 mes formations.

Et pour votre couple, si vous êtes en pleine réflexion, la nouvelle formation traite de « la crise de vie et de la rupture amoureuse (rupture du couple) ».
Elle est ici : https://changementspositifs.fr/formations/ avec les autres formations qui vous permettent de choisir une vie qui vous ressemble.

C’était Didier
Vivez votre envie d’être vous.
A bientôt.
changementspositifs.fr

Avoir une vie sympa c’est comment ?

07-04-2020

Hello everybody today,

En voilà une question quelle est bonne ! 😊
Et franchement c’est vraiment la question à vous poser.
C’est comment d’avoir une vie sympa ?
Allez-y, faites-le, là, maintenant !

C’est quoi pour vous ?
Une vie avec quoi ?
Houla, ça y est vous êtes parti à fond.
Voitures, bateau, …avion ?
Bon, ça y est vous vous êtes égaré.
On reprend.
C’est quoi d’avoir une vie sympa ?

D’abord, vous vous voyez comment dans cette vie ?
Oui, vous.
Vous visualisez la personne que vous êtes dans cette vie sympa ?
Parce que c’est essentiel.
De vous voir en chair et en os dans cette vie.
Vous êtes en forme ?
Vous êtes souriant ?
Vous êtes bienveillant ?
Vous êtes créatif ?
Vous êtes heureux de vous lever chaque matin ?
Vous rencontrez des personnes intéressantes ?
Vous faites un job qui vous plait ?
Vous êtes reconnu pour ce job ?
Vous êtes bien payé ?
Vous êtes entouré de personnes détendues et souriantes ?
Vous voyagez ?
Vous faites des activités qui vous apaisent ?
Vous pratiquez des activités qui vous ressourcent et vous énergisent ?


Bon, allez, on va aussi parler du reste !
Vous avez une jolie maison ?
Une belle voiture ?
Une moto ?
Et tout ça c’est beau, blanc, lumineux ?

Et on aborde un dernier aspect !
Qui est à vos côtés ?
Elle est comment celle ou celui que vous regardez avec amour tous les jours, et qui vous regarde de la même façon ?

Alors, vous voyez un peu mieux ce qu’est une vie sympa ?
C’est une vie qui vous correspond.
Comme je dis depuis longtemps, c’est-à-dire depuis que je m’en suis rendu compte et que je l’ai appliqué pour moi, c’est une vie qui vous ressemble. Crise de la quarantaine, merci !

Alors, à vous de ressembler à votre vie.
Car le changement commence par vous.


Et au cas où votre réflexion vous y mènerait, la nouvelle formation est disponible.
Elle traite de « la crise de vie et de la rupture amoureuse (rupture du couple) ».
Elle est ici : https://changementspositifs.fr/formations/


Alors, mettez une bonne playlist cool …et gaie aussi.
Et tracez d’abord qui vous êtes dans cette nouvelle vie.
Ecrivez-le !
Et ensuite, prenez la décision d’avancer.
Comme je vous conduis à le faire dans ma grosse formation « Le booster de votre vie » (à retrouver aussi sur mon site dans « formations »).

Mais là, essayez de travailler sur vous.
Malgré le confinement.
Parce que le changement de votre vie, c’est maintenant.
C’est toujours maintenant, et pas demain ou après-demain.
Et ainsi, bientôt, vous exprimerez pleinement qui vous êtes.

Et là, votre vie sera sympa.
Ça se verra, juste sur votre visage, votre posture, et vos attitudes.
Dès aujourd’hui, ça se verra !
Vous le verrez dans votre miroir, dans la façon de vous mouvoir, dans le regard des autres qui partagent votre espace.
Et ensuite, ce sera tout le temps, pour tous et partout.
Et…ça vaut le coup.

N’oubliez-pas que pour changer votre vie, il suffit toujours d’une première décision.
C’était Didier
Vivez votre envie d’être vous.
A bientôt.
changementspositifs.fr

Ce que tu peux changer, là, et comment !

3-04-2020

Bonjour,

Toujours entre quatre murs à essayer de comprendre ce qui arrive à la planète ?
A mon avis, du temps perdu de réfléchir comme ça.
Intéressant bien sûr, mais pas forcément efficace pour changer votre vie, à vous.
Parce que, ce qui compte, c’est de comprendre déjà ce que chacun fait du monde qui l’entoure, et de comment il est prêt à l’améliorer.

Et cette amélioration, elle doit commencer par votre environnement IMMÉDIAT !

Et si je continue sur ce fil, et bien, le changement doit commencer par VOUS !

He, c’est logique non ?

C’est la solution de facilité, de contester, de se plaindre et de critiquer l’extérieur en le rendant responsable de ce qui ne va pas dans notre vie.
Mais, ce n’est pas la réalité. En partie, oui, mais pas dans sa majeure partie.

Pareil pour votre couple.
C’est à vous de changer pour l’améliorer.

En tout cas, c’est à vous de pratiquer le changement de comportement pour l’améliorer.

C’est une envie.
Celle de faire mieux, de vivre mieux, de ressentir mieux, de partager mieux, de s’aimer mieux ! Mais, ça commence par vous seul !

Avant d’en parler, un mot pour vous dire que vous pouvez vous abonner au Groupe Next Step.
Et ainsi recevoir la formation du mois de mars « Votre crise de vie et votre couple » jusqu’à dimanche soir.
Et dès lundi vous pourrez recevoir la nouvelle formation d’avril « Crise de vie et Rupture amoureuse » (je suis en cours d’enregistrement là, mais ce sera fini dimanche soir, promis).
En fait, deux formations d’un coup.

On revient à notre sujet du jour.

Alors, au niveau de la méthode, je dirais qu’il y a plusieurs phases pour y arriver.

D’abord, adopter une attitude bienveillante en tout.
C’est un effort au début mais c’est trop agréable ensuite de toujours prendre du recul et ne pas se sentir agressé par chaque chose extérieure.

Ensuite, c’est de comprendre…ce que tu ne peux pas changer !
Oui, on se tutoie. C’est parti comme ça, on verra si ça continue.

Je trouve ça bien de savoir ce qui ne dépend pas de nous.
Comme ça on ne se prend pas la tête pour des choses que l’on ne peut pas influencer.
C’est pour ça que je vous dis de commencer par changer vous.
Ha, on est reparti sur le vouvoiement.

Et donc, cela amène à se concentrer sur ce que tu peux changer.
Tu… à nouveau, je comprends plus rien à mes doigts qui tapent sur le clavier. Le confinement sans doute.

C’est à dire te concentrer sur ce qui relève de toi, de tes envies, de ta volonté.
Il te faut définir pourquoi cela compte pour toi.

Et ainsi déterminer ce que tu v e u x changer !
C’est donc ton choix. A toi. De vivre la vie qui te convient.
Et d’y faire participer ton environnement immédiat.

Donc, on est passé de pouvoir à vouloir parce que la décision doit faire partie du processus d’amélioration et du changement de soi.

Alors, est-ce que vous voulez changer ?
Comment allez-vous le faire ?
Comment y faire participer l’autre ?

Allez-y là, vous avez le week-end pour le commencer ce changement.
Et entre deux enregistrements de voix de la formation d’avril, je peux répondre à vos mails aussi.

N’oubliez-pas que pour changer votre vie, il suffit toujours d’une première décision.

C’était Didier
Vivez votre envie d’être vous.
A bientôt.
changementspositifs.fr

Le moment d’apprendre l’un de l’autre ?

02-04-2020

Bonjour,

Hier, je vous proposais de faire le point.
Ou du moins en partie.
Parce que faire le point c’est aller encore plus loin.
Pourquoi ?
Parce que le but c’est de prendre des décisions.
Et oui, de décider.
Et ça…c’est pas toujours votre fort.
Pas pour décider du repas de ce soir…encore que !
Pas pour décider des prochaines vacances …encore que !
Pas pour décider de votre prochain rendez-vous professionnel …encore que ! Bon, là vous avez une excuse … en ce moment.

Alors, de décider de quoi ?
Et bien, de ce qui importe vraiment.
Et c’est quoi ?
Vous la voulez la réponse ?
Et bien, c’est de ce que vous voulez partager avec l’autre.
Qu’il existe ou pas d’ailleurs !
S’il n’est pas encore entré dans votre vie, cela arrivera un jour.
Quand ?
Et bien, quand vous aurez fait le chemin.
Mais, vers où ?
Pas vers où, vers qui !
C’est-à-dire vers vous.
Vous connaître, vous accepter, vous bonifier et devenir le meilleur de vous-même.
C’est-à-dire une personne qui sait qui elle est, qui est toujours en moteur « bienveillance » et « apaisement », qui n’a pas peur de la solitude, et qui est prête à accueillir l’autre dans sa vie.
Et pour une relation de confiance, d’échange, de partage et de douceur sans négliger l’autre, sans lui imposer ses attentes, sans en attendre plus de lui et en lui permettant comme à soi-même d’évoluer encore vers ce qui est le meilleur de soi.
Beau programme !
Mais programme qui devrait être le terrain d’évolution normal du couple …qui va bien !

Alors, il me semble que quand tout fonctionne bien, on doit apprendre l’un de l’autre parce que l’échange et la confiance font que tout est plus simple.

On n’attend rien, on n’exige rien, mais on écoute l’autre qui nous écoute aussi, et on s’aide à se bonifier mutuellement.
Et l’intimité est évidente ! On en a parlé pas mal de la notion d’intimité car elle est importante. Et ne correspond pas à la sexualité, pour ceux qui ont des trous de mémoire, ou ont mal bossé leurs fiches de lecture sur la crise de vie et le couple.

Mais également dans cette période particulière de confinement, et même si tout ne va pas bien, il me semble tout aussi utile d’essayer d’apprendre de l’autre.

Et, de cette façon, de faire une évaluation de votre couple, et de vous dans votre couple.
Comprendre qui vous êtes dans ce format à deux (ou à plusieurs avec les enfants).
Un peu comme vous devez le faire en entreprise pour penser à la prochaine étape.

A partir de là, vous pourrez mettre en place les modes de transformation qui font évoluer vers une vie où l’on vit ses essentiels.

Comme dans ma formation « les clefs » qui pose les fondations de votre nouvelle vie.
Les formations pour vous aider à construire une vie qui vous ressemble sont là : https://changementspositifs.fr/

N’oubliez-pas que pour changer votre vie, il suffit toujours d’une première décision.

C’était Didier
Vivez votre envie d’être vous.
A bientôt.
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Et si vous faisiez un premier point sur ce qui va bien …ou pas ?

01-04-2020

Bonjour, bonjour,

La période s’y prête sans que ce soit une prise de tête bien entendu.

Vous pouvez faire un peu le point.
Cela vous aidera à agir ensuite, quand vous n’aurez plus d’excuse pour ne pas le faire.

De toute façon, si vous voulez mieux et rapidement, cela passera par vous et votre action sur votre vie.

Comme je vous l’ai dit hier, en commençant par vous.

Pour les autres et votre environnement, cela suivra ..facilement quand vous aurez trouvé pour vous la meilleure version de vous-même.
 
Alors, réfléchissons ensemble, à toutes ces questions qui sont importantes pour faire le premier point sur votre existence, pour commencer à sortir de la crise de la quarantaine et pour dévoiler tout le potentiel de votre vie.

On y va :

  1. Quel est l’intérêt pour votre existence de fermer les yeux, de faire autant d’efforts, juste pour nager contre le courant de votre vie ?
  2. A quel moment vous sentez-vous en harmonie avec vous-même ?
  3. A quel moment créez-vous de la joie pour vous et pour les autres ?
  4. A quel moment ressentez-vous une forme de plénitude qui vous fait dire au plus profond de vous que vous comprenez la nature, votre vie et que vous aimez ce que vous vivez, ici, et maintenant ?

 
Et on peut continuer par d’autres questions fondatrices.

  1. Quelle est votre réalité ? 
  2. Quel bonheur vous apporte votre couple ?
  3. Quelle image réconfortante avez-vous de votre vie de famille ?
  4. Quelle satisfaction vous procure votre vie professionnelle ?
  5. Quelle détente vous apportent vos loisirs ? 
  6. Quels liens rassurants et énergisants vous apportent vos amis ?
  7. Quels projets vous avez mis en place qui vous motivent vraiment ?
  8. Quelle personne êtes-vous ?
  9. Êtes-vous devenu la personne que vous deviez devenir ?
  10. Est ce que votre vie correspond à vos attentes ?
  11. Est ce qu’elle vous ressemble ?

Si vous êtes satisfait face à ces questions, c’est que vous pouvez continuer de la même façon. 
Cela signifie que vous ne ressentez pas de vide intérieur. Au contraire, votre vie intérieure est remplie de la paix que procure une vie qui vous ressemble.

Si ce n’est pas le cas,… il est urgent de plonger dans la réalité, dans votre réalité. 

Les formations pour vous aider à construire une vie qui vous ressemble sont là : https://changementspositifs.fr/

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C’était Didier
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PS : désabonnez-vous de cette Newsletter si vous n’avez pas accompli quelques changements déjà par vous-même depuis que vous la lisez et que vous suivez mes nombreux contenus sur mon site. Ou si vous n’êtes pas prêt à le faire.

Comprendre le sens « pas très clair » de la vie !?

30-03-2020

Bonjour cher lecteur,

Au-delà des croyances de certains, que je respecte, il me paraît indispensable de penser que l’on a que ça et qu’on doit en profiter : LA VIE

Il suffit d’être malade ou en danger pour le réaliser.
Et la période actuelle d’épidémie, mot virtuel qui devient tout à coup notre principale réalité, est utile à réfléchir sur la vie.

Ensuite, ce qui m’interroge aujourd’hui, c’est qu’il semble bien difficile d’en faire le point, de cette vie, et du sens qu’elle doit avoir, ou qu’elle a.

Où est la logique ?

Très souvent, vous ne trouvez pas un sens à ce qui vous arrive, ou à ce que vous avez vécu.

Si vous explorez votre vie, vous pourriez voir que « le plan » n’est pas vraiment discernable.
Et c’est tant mieux !

Vous avez découvert votre vie au fur et à mesure dans bien des cas.

En dehors de tous vos projets, de vos planifications et de vos conditionnements.

Et cela vous a permis d’être créatif de votre vie.
Cela vous a permis de révéler vos potentiels enfouis.

Les crises de votre vie sont pour l’essentiel les conséquences de vos conditionnements et préjugés.
Il y a également ce qui arrive de l’extérieur comme en ce moment.
Les crises sont des opportunités d’y voir plus clair, si vous faites ce qu’il faut.
Les crises permettent d’accepter la nouveauté, de s’y adapter et d’innover.

Alors n’oubliez pas, comme dit la chanson, que les amours, les amis et les emmerdes font partie de la vie. Les épidémies aussi.
Et rien n’est vraiment insurmontable si l’on adopte le bon état d’esprit.

Mais, comprenez que tout ce que vous pensez, prévoyez, planifiez et même organisez ne se réalisera pas entièrement et même pas du tout.

Ou alors se réalisera d’une autre façon.
Ou bien aboutira à une autre finalité.

Ce qui compte, c’est de déclencher des évènements pour amener des changements de votre vie.

L’inaction et l’inactivité ne vous apporteront rien de nouveau.
Et ne vous permettront pas d’évoluer vers la meilleure version de vous-même.
Et d’anticiper les changements surprise ou inattendus de votre vie.
En gros, ce qui arrive à votre insu.
Ce qui arrive sans que vous l’attendiez.

Et quand vous vous sentez en situation de blocage, éveillez-vous grâce à l’extérieur.

Soyez en réseau, en lien, non pas pour écouter, suivre, appliquer ce que les autres vous disent.
Mais juste pour ouvrir votre réflexion, qui peut tourner en boucle lorsque vous êtes seul.

Il importe de lancer des processus qui vous permettent de trouver ou de révéler de nouvelles ressources et des ressources parfois insoupçonnées que vous avez en vous.

C’est cela être créatif de votre vie.
Et grâce à cette créativité, votre vie sera plus intéressante, plus épanouie et plus gratifiante.

Et de construction en construction, votre vie se construit, même si elle passe par des phases qui ressemblent à de la déconstruction.

En cela votre vie détermine sa propre beauté.
Une beauté qui ne ressemble qu’à vous.

C’est ainsi que vous devez apprécier la beauté « désordonnée » de votre existence.

Les formations pour vous aider à construire une vie qui vous ressemble sont là : https://changementspositifs.fr/
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C’était Didier
Vivez votre envie d’être vous.
A bientôt.
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Êtes-vous plutôt attaché ou plutôt amoureux ?

27-03-2020

Bonjour cher lecteur,

On se retrouve sur une question pas si anodine que ça.
Et, à mon avis, plutôt centrale dans la vie affective.

Arriver à dire ce que l’on ressent pour l’autre n’est pas forcement bien clair.
 
Et parler d’amour n’est pas si simple.
Mais, c’est un sujet important dans la vie de chacun.
Et c’est aussi un sujet de questionnement principal quand tout ne va pas au mieux dans le couple.
 
Souvent, le questionnement est plus insistant et passe en boucle dans votre tête quand vous êtes en période de crise de vie.

Du coup (je sais, ça ne se dit pas), on dira « donc », étant donné la situation que nous vivons et que certains appellent la quarantaine, je n’emploie pas crise de la quarantaine mais plus largement crise de vie.

De toute façon, une personne normalement constituée la prendra dans le nez, la crise de vie, un jour ou l’autre…mais plutôt vers quarante ans.

On y revient au sujet de ce mail ?
Oui, illico !

Donc, savoir si on aime, qui on aime, comment on aime, est plus compliqué quand on est en crise de vie.

Pourquoi ? : dit le lecteur.
Bein, parce que avant la crise tu fonctionnes sur des conditionnements : répond le rédacteur.
Et après ? : dit le lecteur.
Après ? Et bien, après, si tu as fait le job comme il faut, tu sais ce qui te rend heureux et avec qui tu le partageras, ce bonheur : réponds le rédacteur.

Ok, on suit toujours ?
 
Et donc, dans cette phase actuelle de votre vie, savez-vous où vous en êtes vis-à-vis de votre conjoint ?

Les questions à vous poser sont :
« Est-ce que vous l’aimez ? »
Ou :
« Est-ce que vous lui êtes attaché ? »
 
L’amour est un sentiment et il se construit, comme on l’a dit tout récemment.
Il se construit sur la base des conditions de la rencontre, de ce que l’on ressent instinctivement, puis qui se développe, et de l’attirance que l’on a, l’un pour l’autre, et qui se met en place aussi avec le temps.
La proximité et l’intimité dont on a déjà parlé cette semaine.
Après, vous pouvez aussi parler de coup de foudre, d’union évidente, d’amour en développement, de communion.
Il y a également les différences initiales.
Et les différences apparues au fur et à mesure que le couple évolue et que son environnement évolue aussi (job, lieu de vie, enfants).
 
Ensuite, on pourrait parler de l’attachement.
Il peut apparaître très tôt dans la relation de couple.
Il y a des traits de la personne, et aussi votre propre histoire personnelle, qui vont créer chez vous un attachement.
Il peut être relié à une envie de construire une vie à deux, et l’autre semble convenir à cet objectif.
Il vous semble que vous pouvez apporter à l’autre ce qui lui manque et vous souhaitez le lui apporter. Là, on est ans une vision très personnelle de votre vie et de la place de l’autre.
Je ne dis pas erronée,…mais presque.
Apporter à l’autre c’est croire que l’autre à des manques, et c’est aussi imaginer l’autre tel qu’il n’est pas forcément, et décider à sa place de ce qui lui manque.
Donc, c’est pas bien parti.
 
Et puis, il y a le couple qui a des années de vie commune.
Donc, une histoire commune.
Et je l’espère une histoire individuelle aussi. Mais, là, on est en plein dans l’évaluation du couple mâture et dans la crise de vie de l’un, ou des deux.
Et ce couple, qui a du vécu ensemble, a partagé beaucoup de moments forts.
Des moments agréables.
Des moments désagréables.
Tout ce vécu crée en principe un lien.
Mais, le sujet de ma question du jour, c’est de savoir si ce lien est également un lien amoureux !
 
En coaching individuel, je vois souvent des personnes qui ont un lien fort avec leur conjoint.
Alors même qu’elles ont peu de partage avec ce conjoint.

Et que certaines ont une relation extra-conjugale.
Il y a de l’attachement, sincère et profond.
Même si l’issue du couple actuel est très incertaine ; ou déjà certaine.

Pour clarifier, il est important de :

  • comprendre pourquoi vous vivez avec cette personne,
  • d’évaluer ce que vous partagez avec elle,
  • de définir vos envies à réaliser,
  • de savoir si vous pensez pouvoir les partager avec elle,
  • de faire le point sur la situation amoureuse de votre couple,
  • de vous projeter sur ce que votre futur commun apportera si vous ne faites rien,
  • et de ce qu’il apportera si vous agissez ensemble, l’un avec l’autre, pour l’autre, ou seul.

Bien entendu, cette réflexion s’intègre à la réflexion sur votre histoire personnelle, sur vos conditionnements, et sur ce que vous êtes prêt à faire pour vivre la vie qui vous ressemble.

Et dans ce cadre particulier du jour, à vous demander ce que vous attendez encore de votre vie affective et amoureuse.
Bon, on en reste là pour ce petit message du jour.

N’oubliez-pas que pour changer votre vie, il suffit toujours d’une première décision.
Et la formation du mois qui porte sur le couple et la crise de vie est toujours disponible dans l’abonnement au Groupe Next Step :
https://changementspositifs.fr/votre-crise-de-vie-et-votre-couple/

C’était Didier
Vivez votre envie d’être vous.
A bientôt.
changementspositifs.fr

Évaluer la relation d’intimité dans votre couple  ?

24-03-2020

Hello everybody,

Comme je vous le disais hier, nous allons parler, en fait reparler, parce que c’est essentiel, du rapport intime dans le couple.

Aujourd’hui, vous vivez en confinement, plus ou moins selon que vous alliez bosser, ou pas.
Et donc, vous vous retrouvez en couple dans un espace confiné, plus ou moins bien entendu selon la taille de votre habitation et l’environnement (jardin, campagne, etc).

Il y a donc une proximité physique liée au lieu de vie et aux conditions particulières du moment.

Mais, votre situation de couple est antérieure à ce moment-là.
En effet, que votre couple aille bien ou pas, c’était antérieur à ce confinement.
Même si cela a pu devenir un révélateur de ce que votre couple est…ou n’est pas !

Au-delà de cette proximité physique obligée, il y a ce qui importe le plus dans un couple c’est l’amour.
Et dans cet amour, il y a le lien.
Et plus précisément, on va parler de la relation intime dans le couple.

Il se peut que d’une manière générale vous ressentiez un manque d’amour, à donner ou à recevoir.
C’est fréquent de ressentir un manque d’amour dans les couples, nouveaux ou plus anciens.
Et en fait, la problématique est la même.
Sauf que dans le couple qui a déjà un vécu, c’est ce vécu qui amplifie le manque du début, et qui rajoute l’usure de l’amour.

Et tout repose sur la relation intime à l’autre.

Au sein d’un couple, le manque d’amour, c’est un manque d’intimité.
C’est-à-dire une incapacité à vivre l’intimité.

Bien entendu, je ne parle de sexualité.
Car on peut avoir une activité sexuelle sans avoir d’intimité.

L’intimité c’est montrer « qui je suis » et être curieux de « qui est l’autre ».

Cela signifie que l’on est, à part entière, mais que, aussi, on est ensemble, donc pas d’intrusion, ni de distance.

C’est différent de l’amour qui est un sentiment, et une construction, à partir de ce que l’on éprouve physiquement et émotionnellement.
Et cela se construit dans la proximité et dans l’intimité.

L’intimité n’est pas forcément naturelle.
Elle se travaille, dans la confiance.
Elle ne se confond pas avec la sexualité.

Et comme mon expertise concerne la crise de vie, il y a un contexte difficile pour cette intimité.
Car en crise de vie, on souffre et on n’a plus l’énergie de rencontrer l’autre.

Alors, aujourd’hui, où en est l’intimité de votre couple ?

Pour finir, en cadeau, une de mes phrases inspirantes (envoyées quotidiennement aux abonnés du Groupe Next Step ):

« Le sentiment amoureux conjugue la complexité de l’un à celle de l’autre, ainsi qu’à la complexité que chacun prête à l’autre.
Et si on simplifiait ?
Proximité, désir, tendresse, bienveillance, partage, autonomie, projets communs, et … rien qui ne soit pas dans vos valeurs. »


Et pour maîtriser vos questionnements et vos décisions sur le couple, je vous conseille ma dernière formation à retrouver ici :
https://changementspositifs.fr/formations/

N’oubliez-pas que pour changer votre vie, il suffit toujours d’une première décision.
C’était Didier
Vivez votre envie d’être vous.
A bientôt.
changementspositifs.fr

Il paraît que les chinois divorcent !

23-03-2020

C’est une info qui est passée à la télé.
Les chinois divorceraient en nombre depuis la fin du confinement.
Je ne sais pas si cette info est parfaitement fiable.
Mais elle est intéressante.

Cela signifierait que le confinement a mis au clair des situations de couples.

Il faut dire que leur confinement a été extrême.
Et que les conditions de vie sont sans doute différentes, avec des appartements plus petits dans les grandes villes. Un peu comme chez nous, mais sans doute de façon plus marquée.
Je ne suis pas un spécialiste de la Chine, même si j’ai un grand intérêt pour ce pays depuis mes études en économie.
Et je n’y suis jamais allé.

Alors, que voir derrière cette info sur le fort nombre de divorces en chine après le confinement ?

On ne va pas en faire une étude exhaustive, mais quelques éléments de réflexion me semblent évidents.

Le fait d’être confiné a sans doute éclairé les partenaires sur la situation du couple.
Et surtout sur ses perspectives.

Ensuite, que, sans doute, pour de nombreux couples, l’histoire commune était déjà finie.
Et que cette fin a été mise en effet par le confinement et sa sortie.

On peut aussi y voir une évolution positive de la société chinoise.

Les couples ont fait le choix de ne pas vivre une vie à deux si elle ne leur donne pas une vie meilleure que seule.

Dans la même veine, on peut y voir une avancée sur la notion de couple et de partenaire.
En effet, les chinois pensent sans doute qu’il est important de rencontrer le bon partenaire pour être heureux.

Il y a aussi le fait que le confinement soit un révélateur.
C’est vrai que être en tête à tête avec l’autre permet de révéler si on a envie d’être avec lui ou pas.
On peut se rendre compte que :
le temps passé n’est pas agréable,
que les échanges ne sont pas enrichissants,
ou apaisants,
l’intimité n’est pas naturelle (on reparlera d’intimité …demain)

Bref, tout un tas de questions qui permet de repositionner sa vie et son couple.
Et ce n’est pas inutile.

Bien entendu, quand le questionnement est très fourni et qu’il est antérieur au confinement cela revient à poser les bases de toute votre vie.
Et ça aussi ce n’est pas inutile.

Enfin, il me semble que ce que l’on peut retirer de plus positif de cette info, c’est que les chinois pensent que leur vie vaut le coup d’être vécue pleinement.

C’est-à-dire que leur vie a de la valeur.
Et que dans cette valeur, il y a également la vie de couple.
Et donc, que cette vie de couple vaut le coup d’être réussie.

Cela signifie plus largement que les chinois prennent conscience qu’il est temps de vivre une vie qui leur ressemble.
Et pour cela, de sortir des conditionnements reçus (avec toutes les limites que l’on peut imaginer sur la vie en société)

Et vous ?
Vous en êtes où ?
De vos questionnements, de votre couple, de vos envies, de vos décisions ?

Pour bosser là-dessus , il y a les formations que je vous propose :
https://changementspositifs.fr/formations/

A vous de décider de ce que vous ferez de ce moment, si spécial.

N’oubliez-pas que pour changer votre vie, il suffit toujours d’une première décision.

C’était Didier
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Quand un champion de Formule 1 m’inspire ce mail du jour !
 

20-03-2020

Bonjour,

Bon on ne va pas parler de sports mécaniques.
Même si j’adore ça.
J’ai pratiqué la moto de vitesse dans ma jeunesse et j’ai éprouvé des sensations hors du commun.
La moto c’est mon truc.
La F1 me plait également, mais je ne raterais pas un Grand Prix de MotoGP alors qu’un Grand Prix de F1 … j’en vois deux dans l’année.
Pourtant, je respecte la prise de risque sur deux roues comme sur quatre.

Aujourd’hui, je m’intéresse à un article paru dans Eurosport aujourd’hui à propos de Lewis Hamilton (6 fois champion du monde). https://www.eurosport.fr/formule-1/grand-prix-d-australie/2020/formule-1-hamilton-na-pas-besoin-de-rouler-pour-etre-un-grand-champion_sto7707728/story.shtml

Le personnage est très connu pour ses résultats sportifs.
Mais également pour sa façon de vivre qu’il partage sur les réseaux sociaux avec ses 15 millions de followers.

Et aussi par certaines de ses déclarations assez peu « corporate ».

Notamment lors du dernier Grand Prix d’Australie où il a été le seul à dire tout haut que ce n’était pas raisonnable de maintenir la course (coronavirus) et que « l’argent est roi ».
Du courage, surtout quand on sait qu’il est payé 40 millions d’euros …et essaie d’en négocier 65 pour l’an prochain auprès de son employeur actuel.

Et donc, Hamilton fait des déclarations en fonction de ses valeurs.
Et c’est bien, tant que cela respecte les autres.

Et à cause de cela, il est critiqué.
Ce qui est normal.

Et ce qui m’a interpelé, on y vient enfin, … ok j’ai pris mon temps.

C’est la déclaration d’un ancien champion du monde de F1 à propos des déclarations de Hamilton sur la nécessité de passer au végétalisme (pratique alimentaire).
Donc, Damon Hill a dit :

« Nous sommes tous des hypocrites à des degrés divers, et si des gens comme lui ne s’exprimaient pas, nous continuerions tous à faire la même chose sans même essayer de changer. »

Je trouve cette remarque très pertinente.
A plusieurs titres.
Il est vrai que chacun de nous est hypocrite.
Il est vrai que nous préférons critiquer.
Il est vrai que nous n’aimons pas changer.
Et cela s’applique à tout.

Si j’ai appelé mon site changementspositifs c’est parce que je me suis aperçu que changer était le moteur même de toute vie réussie.

D’abord parce que la vie change malgré nous.

Ensuite parce que nous bénéficions toujours du changement…si nous savons nous y adapter, et en faire du bon plutôt que de le subir.

Et quand on est en situation difficile, il faut être capable d’initier le changement.
C’est la seule façon d’avancer.

A travers les coachings ou les mails reçus je comprends que beaucoup ont une vie pas folichonne.
Mais, qu’ils se trouvent aussi beaucoup trop d’excuses.
Trop vieux.
Trop occupé par le boulot.
Trop fatigué.
Trop seul.
Trop peu de moyens.
Trop déçu.
Trop de contraintes.
Trop …..


Et oui, chacun a sa petite ou grosse excuse pour ne rien faire, ne rien changer, ne rien réussir.

Heureusement, que ceux qui m’écrivent ou me demandent un coaching sont en général déjà sur la bonne voie.
Puisqu’ils ont décidé de faire quelque chose, de se faire aider, et donc de changer.
Et changer c’est changer…soi !

Et oui, ne vous lamentez pas sur votre vie si vous n’amorcez pas le changement.
Et ne croyez pas que le changement viendra de l’extérieur.
Le changement de l’extérieur ne viendra que si vous initiez le changement …de vous.


 Je vous rappelle la phrase importante qui permet de sortir de la crise de vie et de structurer toute relation dans de bonnes conditions d’échange :
 « Si je suis la meilleure version de moi, je dis quoi, je fais quoi, là, maintenant ? »
Appliquez la et faites en sorte que la paix et le progrès soient dans tous vos instants.

Les formations disponibles sont ici :
https://changementspositifs.fr/formations/

Être coaché par moi ; une place de coaching individuel dispo, c’est ici :  
https://changementspositifs.fr/cp1013p3/

N’oubliez-pas que pour changer votre vie, il suffit toujours d’une première décision.

C’était Didier
Vivez votre envie d’être vous.
A bientôt.
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ta maison, zone de paix comme la Suisse en 1940 !

18-03-2020

Je me suis rappelé ma propre situation lors de ma séparation.
Oui, ce matin, ça m’est venu comme ça.
En fait, je pensais, dans la suite de mes mails précédents et surtout celui d’hier, à vous, potentiellement confinés si votre job est en suspens ou en télétravail.

Donc, vous êtes « a casa » comme on dit du côté de Rome.

Vous êtes à la maison.
Avec vos questionnements en tête.
Avec vos doutes.
Avec vos rancœurs peut-être.
Contre vous.
Contre les autres.
…Contre l’autre ?
Et là, c’est chaud !
 
Et ça ne doit pas l’être…chaud !

Ce qui compte aujourd’hui c’est d’avoir le meilleur de qui vous êtes.
Le meilleur de qui vous pouvez être.

Et c’est surtout l’opportunité de passer une étape essentielle.

Là, aujourd’hui, c’est quoi votre solution ?
Pour vivre en confinement, à côté de l’autre ?
Et oui, la question est primordiale.
 
Vous voulez en faire quoi de cette situation ?
Vous voulez en faire un champ de mines ?
Un territoire d’occupation ?
Une zone de conflit ?
 
Ben non !
Ça n’a aucun intérêt.
Cela, ne laissera rien à vous, aux autres, à la postérité.

Ce qui compte c’est de décider d’évoluer.
Et j’imagine comme cela peut être difficile.
Difficile de vivre près de l’autre avec lequel il y a désormais un gouffre relationnel.
 
Je le sais.
Je l’ai vécu.
 
Mais, bon, je n’étais pas confiné.
Enfin, un peu quand même, avec 4 enfants (à l’époque de la séparation, ils avaient entre 14 ans et 7 ans) dont il faut prendre soin.
Être là pour eux quand on n’est plus vraiment là pour soi.
Quand on se sent à côté de ses pompes.
Complètement dans l’inconnu.
 
Et bien, il n’y a pas d’autre choix que d’accepter la situation et d’en faire du super bon !

C’est le moment de découvrir ce qui fait le meilleur de vous.
C’est le moment de calmer vos tensions.
C’est le moment de découvrir un autre champ relationnel.
C’est le moment d’accepter qu’il y a une fin pour un nouveau début bientôt.
C’est le moment de considérer l’autre comme n’étant pas une partie de soi.
Mais comme une personne qui a son histoire personnelle …dont vous ne faites plus partie.

C’est le moment de comprendre qu’il y a une autre histoire personnelle pour vous et qu’elle sera belle, à condition de la commencer, dès maintenant, dans la paix et la bienveillance.

En sortir par le haut !
Révéler une nouvelle personnalité plus riche, plus énergique, plus ambitieuse de ce qu’elle veut vivre, donner, recevoir.
 
Et donc, pour ça, il faut un climat serein, de paix, dans lequel vous devez révéler le meilleur de vous-même pour préparer un demain plein d’envies à réaliser.
Envies en accord avec vous-même et en lien avec le monde.
Pas de l’utopie.
Juste un changement de paradigme qui vous amène à penser autrement, et à penser mieux.

Je vous assure que ce changement est génial.
On voit tout différemment,
et on sait qu’il n’y a pas d’obligation de solution dans la vie.
Mais juste une obligation d’être la meilleure version de soi, sans exigence, sans être un génie, sans être un leader.

Juste être une personne qui vit une vie qui lui ressemble.
Une personne débarrassée de ses conditionnements.
Une personne affranchie de ses limites… imposées par l’extérieur.

Il y a un job à faire pour arriver à cela.
Faites-le, maintenant.
Pour vivre dès maintenant plus cool, et pour préparer demain qui sera unique, car à votre style.
Créez votre vie quoi !
 
Pour vous y aider, une question à adopter immédiatement et à conserver en tête et à vous répéter en boucle :
« Si je suis la meilleure version de moi, je dis quoi, je fais quoi, là, maintenant ? »
Appliquez et faites que la paix soit dans tous vos instants.
 
Et pour commencer le travail, quatre possibilités accessibles maintenant depuis chez vous :
 

N’oubliez-pas que pour changer votre vie, il suffit toujours d’une première décision.

C’était Didier
Vivez votre envie d’être vous.
A bientôt.
changementspositifs.fr

Et aujourd’hui, vous l’aimez comment ?

16-03-2020

Et voilà, une question « quelle est bonne ».

Là, maintenant, vous en êtes où ?
Vous en êtes où de votre histoire d’amour ?
Vous en êtes où de votre couple ?
Vous ressentez quoi pour l’autre ?
A votre avis, il ressent quoi pour vous ?

C’est important de savoir poser de temps en temps les questions qui permettent d’évaluer ce que l’on vit.
Ou ce qu’on ne vit plus.
 
Dans la mesure où vous sentez qu’il y a usure, cela signifie que vous entrez dans les questionnements de la crise de la quarantaine, quel que soit votre âge.
Ou crise de vie si vous préférez.
Bref, le truc gros comme un camion que vous prenez dans le nez à un moment donné de votre existence sans l’avoir vu venir.

Et donc, dans ce cadre confus, là, vous prenez conscience de ce qui ne va plus pour vous.

Ou bien, vous ne le savez pas encore mais vous ressentez que ce n’est plus franchement la vie agréable qui vous fait du bien.

Et donc, l’autre, dans cette situation, est important.
Parce qu’il est là.
Parce qu’il partage votre vie…
Ou au minimum votre temps non professionnel.
Et quand je dis partage, il faut relativiser dans beaucoup de cas ce mot, de partage.
Car on peut ne plus rien partager sinon un toit, des courses en magasin, des prêts, des temps devant la télé.

Ok, ça fait partie du lot.
Mais, à condition que ce ne soit pas l’essentiel.
Et que ce ne soit pas vécu comme un no man’s land.

Mais, reprenons sur ce que vous ressentez aujourd’hui pour l’autre.
Vis-à-vis de l’autre.

  • Il est la cible de vos critiques ?
  • Il est le centre de votre univers ?
  • Mais, vous attendez tout ce qui est bon de lui ?
  • Ou alors vous n’en attendez que le pire ?
  • Ou bien vous n’êtes heureux que lorsqu’il rit ?
  • Et vous êtes triste quand il l’est ?
  • Vous le rendez responsable de vos agacements ?
  • Ou vous pensez qu’il est la source de vos bonheurs ?
  • Et donc, la source de vos malheurs ?
  • Vous avez l’impression de marcher à côté ?
  • Ou bien, devant ?
  • Ou alors, derrière ?
  • Vous pensez que le meilleur est à venir ?
  • Ou pas ?
  • Vous n’attendez plus rien de lui ?
  • Ni de vous auprès de ce conjoint ?
  • Vous avez encore plein d’amour à donner, à lui ?
  • Ou à un autre ?
  • Vous avez envie de vivre une vie différente, plus énergique, plus en lien, plus en action ?
  • Vous n’osez pas en parler avec lui ?

Et je pourrais continuer ainsi encore longtemps.

Mais …
Mais ?
Mais, c’est à vous de le faire.

Bougez-vous pour vous poser les bonnes questions sur votre couple.

Mais posez-vous aussi les bonnes questions sur vous !

Et prenez la décision d’avancer pour créer du bonheur.

A votre idée, à votre façon.
Qui vous ressemble.
Dans votre intérêt.
Et dans celui de ceux qui vous sont chers !
car la bienveillance remplit toujours mieux votre besace que le mépris.

Gambergez et agissez !
Aujourd’hui !

La formation du mois est un audio de 2h19mn https://changementspositifs.fr/votre-crise-de-vie-et-votre-couple/

N’oubliez-pas que pour changer votre vie, il suffit toujours d’une première décision.

C’était Didier
Vivez votre envie d’être vous.
A bientôt.
changementspositifs.fr

En couple, malgré le virus, il est temps de vous regarder dans les yeux
 

13-03-2020

Bonjour Didier,
 
Bien sûr, face au COVID-19, le respect des consignes est indispensable pour ralentir la propagation de l’épidémie.
C’est le moins que vous deviez faire pour contribuer à réduire l’impact de l’épidémie.
Ma cousine, à Rome, – et oui avec un nom pareil je suis d’origine italienne -, et bien ma cousine y est confrontée depuis quelques temps à ces consignes ; et elle a conscience de l’enjeu pour tous, surtout avec un mari médecin…débordé.
Alors, pareil, ici, chez nous !

Mais en ce qui nous concerne, nous nous intéressons au couple et à la relation de couple à l’heure de la crise de la quarantaine, donc nous allons parler de ce qui permet de mieux vivre sa vie et son couple.
 
Et si vous considériez cette période comme votre moment de vérité ?

Ce moment où vous prenez en mains tout ce qui est le plus important dans une existence ?

Vos questionnements sont normaux, et la crise de la quarantaine est normale.
Ce n’est pas une crise du doute, loin de là !
C’est une crise de sens !

C’est le moment où vous prenez conscience de ce qui ne va plus pour vous.

Et c’est l’opportunité de faire jaillir de vous, à partir de vous et de vos décisions, la plus grande opportunité de votre vie.

C’est le cœur de mon credo et de mon expertise que je partage le plus largement possible.
Pour éviter le gâchis de vies qui se traînent dans la morosité, la désillusion et le fatalisme.
Pour tous ceux qui n’attendent qu’un coup de pouce pour réagir, et agir pour changer leur vie, en commençant par changer eux-mêmes.
 
Alors dans ce lot de la crise de la quarantaine, il y a la crise du couple dont on parle beaucoup vous et moi, puisque c’est le sujet qui apparaît le plus dans mes coachings et dans vos mails.

Mais, ce couple en crise ou en hibernation, comment le comprendre et qu’en tirer ?

Bien sûr, en vous posant les bonnes questions, comme nous l’avons fait dans les mails précédents de cette semaine…et d’avant.
A vous de savoir profiter de ces contenus.
 
Ou alors « unsubscribe » en bas de page. Je le répète, des lecteurs inactifs ne m’intéressent pas.
Sortir de la crise de vie et vivre une vie qui vous ressemble, c’est un vrai projet de vie et de réussite qui est pour ceux qui osent décider de leur vie.
Les autres, vont continuer à se lamenter, et ne prendront jamais leur vie en mains.
 
 
Donc, les questions que l’on a posées hier et avant-hier, c’est déjà bien pour avancer.

Ensuite, toujours comprendre où en est votre proximité et votre intimité, telles que nous les définissons nous dans nos contenus.

Et d’une manière générale, évaluez, dans la sérénité maximale :

  • quel est encore le lien dans le couple ?
  • et bien entendu, sur quoi repose ce lien ?
  • quels sont les non-dits ?
  • et pourquoi ils sont là, si présents ?

 
Alors, virus ou pas, et mesures de sécurité observées, bien sûr, :

  • Réveillez-vous !
  • Parlez !
  • Regardez l’autre !
  • Regardez-vous l’un l’autre !
  • Redécouvrez le fait d’être à deux !
  • Redécouvrez l’envie de vivre vos envies !
  • Et découvrez les envies de l’autre !
  • Dites-vous que vous pouvez être une meilleure version de vous, pour vous-même et pour l’autre !
  • Avant de vous dire que vous vivrez mieux ailleurs, essayez de vivre ce qui vous fait du bien à deux avec l’autre !

Et soyez authentique, sans agressivité, bienveillant.

Pour enfin attaquer un cycle vertueux de sortie de crise, et comprendre qui vous êtes, et ce que vous avez à vivre pour être heureux.

Alors, allez-y !

Vous en sortirez avec une meilleure compréhension de la situation et des décisions à prendre…sympa…ou difficiles.

Mais, vous aurez avancé.

Et pour vous aider à comprendre la crise de vie et le couple dans la crise de vie, et à décider, vous avez une formation audio de 2h19mn que les abonnés au Groupe Next Step ont reçu pour le mois de mars.
C’est ici pour en savoir plus : https://changementspositifs.fr/votre-crise-de-vie-et-votre-couple/
Vous pouvez la recevoir immédiatement, vous aussi, en vous abonnant pour 99 euros seulement.

N’oubliez-pas que pour changer votre vie, il suffit toujours d’une première décision.

C’était Didier
Vivez votre envie d’être vous.
A bientôt.
changementspositifs.fr

Comment savoir si je l’aime encore ?

11-03-2020

Hier, nous avons abordé des aspects importants du couple.
Et nous avons dit à quel point chaque couple est spécifique.
Chaque histoire personnelle est unique.
Et donc, les deux histoires personnelles des conjoints sont uniques et pourtant réunies.
Et enfin, l’histoire du couple est unique.

Mais, on est arrivé à se poser quelques questions pour comprendre ce qu’est le couple.
Et surtout, les bonnes questions pour définir où en est votre couple !
Quoi, vous avez déjà oublié ?
C’était hier.
Vous n’avez pas vraiment lu ?
Pas bien utile d’être abonné à la newsletter, si vous ne voulez pas progresser et révéler le meilleur de votre vie.

La question de savoir « si on aime encore l’autre » est importante.
Mais, elle n’appelle pas de réponse simple.

Parce que la première chose à savoir, c’est comment vous avez envie d’aimer aujourd’hui.
Et aussi comment vous avez envie d’être aimé aujourd’hui.

Et oui, c’est à vous de prendre le relais.
Alors, c’est quoi l’amour pour vous ?
Aujourd’hui ?

Et donc, c’était quoi …avant ?

Et dans tout ça votre couple, c’était quoi l’amour au sein de ce couple ?

Il est utile de penser à l’amour de l’autre au début.
Et bien entendu de comprendre comment cet amour a évolué par la suite.

Et de vous demander qui vous étiez.
Et aussi, qui l’autre était…d’après vous.

Et de cette façon, de comprendre une question essentielle.
Pourquoi vous posez-vous la question de savoir si vous aimez encore l’autre, là, aujourd’hui !

C’est quoi le déclencheur de cette question ?
C’est quoi « l’ensemble de vie » qui vous amène à vous poser cette question sur l’autre ?
Sans doute que c’est le contexte salutaire de votre crise de vie.
Oui, salutaire.
Tout est opportunité de mieux faire quand on a compris ce que l’on vivait et ressentait.

Ensuite, vous pourrez vous demander « si vous êtes encore capable d’aimer l’autre ; et de quelle manière »

Enfin, éventuellement, vous pourrez vous demander « si vous encore capable d’aimer quelqu’un d’autre ; et de quelle manière ».

Ça c’est votre job.
Le job que votre vie vous demande de faire pour être réussie.
Comment construire ou reconstruire une vie avec de l’amour dans cette vie.

Ces questions vous devriez vous les poser !
Sans stress, en toute franchise.

Vous avez des outils pour comprendre votre vie et avancer vers votre nouvelle vie, vous savez celle qui vous ressemble vraiment, et c’est sur mon site.

Vous avez aussi une formation audio de 2h19mn que les abonnés au Groupe Next Step ont reçu pour le mois de mars.
Vous pouvez aussi la recevoir immédiatement en vous abonnant pour 99 euros seulement.
Elle porte sur la crise de vie et le couple. Elle répond à beaucoup de vos questionnements sur le couple.
C’est ici pour en savoir plus : https://changementspositifs.fr/votre-crise-de-vie-et-votre-couple/

N’oubliez-pas que pour changer votre vie, il suffit toujours d’une première décision …et d’un peu de détermination.

C’était Didier
de changementspositifs
Vivez votre envie d’être vous.
A bientôt.

PS : désabonnez-vous de cette Newsletter si vous n’avez pas accompli quelques changements déjà par vous-même depuis que vous la lisez et que vous suivez mes nombreux contenus sur mon site. Ou si vous n’êtes pas prêt à le faire.

Avoir un couple qui s’aime, c’est comment ?

10-03-2020

Bonjour,

Bien sûr c’est la question à jokers.
Parce que définir LE couple est une aberration.
Il n’existe pas un seul modèle de couple qui peut servir de modèle.
Heureusement.
Chaque couple est une formule unique.
Toutefois, on peut définir quelques éléments qui permettent de réfléchir à ce qu’est un couple qui fonctionne et qui s’aime.

Mais, d’abord, c’est quoi votre couple ?
Oui, votre couple, à vous ?
Bon, ceux qui me suivent et me contactent ont en principe une vision confuse du couple, et de leur couple.
D’une manière générale, leur couple est en crise.
Comme eux d’ailleurs.
Ils ne se rendent pas toujours compte qu’il y a d’abord une crise existentielle, on va dire de la quarantaine.
Et qu’ensuite, leur regard se pose sur leur couple…qui ne répond pas à leurs attentes.

Alors, première question :
« Est-ce que votre couple a déjà répondu à vos attentes ? »
Ensuite, deuxième question :
« C’est quoi vos attentes ? ».
Déjà pas mal ardu pour répondre clairement et sincèrement.

On rajoute an other question ?
Other question :
« C’est quand la dernière fois que vous vous êtes dit que votre couple était canon ? »

On continue ?
Autre question :
« Qu’est-ce qui déclenche votre réflexion de maintenant sur votre couple ? ».

Là, vous en avez pour un moment à répondre.
Mais, faites-le honnêtement.

Bon, pendant que vous réfléchissez et hésitez à voir la réalité de votre couple clairement, on va passer à un autre aspect du couple.
Qu’est-ce qui fait un couple au départ ?

On enchaîne les bonnes questions qui vont vous libérer de tout stress.
Ben oui, c’est moi qui écris, donc vous, vous n’avez plus qu’à répondre tranquillou.
Vous n’avez pas la responsabilité de poser les bonnes questions. C’est moi qui le fais pour vous.

Sauf que, vous devriez aussi endosser le rôle du questionneur.
Même si en coaching, l’objectif est de vous aider à poser les questions, et surtout de vous laisser trouver vos réponses.
C’est mieux quand les réponses viennent de vous.
C’est votre couple, votre crise de vie, votre histoire personnelle, votre vie quoi !

Alors, ces questions ?
Ok, j’y arrive !
C’est trop cool de vous faire mijoter. On s’amuse comme on peut.


Qu’est-ce qui fait votre couple à vous ?

Qu’est-ce qui fait un couple qui dure ?

Et pour vous, est-ce ainsi ?

Ces questions vous devriez vous les poser !
Sans stress, en toute franchise, en discutant avec vous et les autres loustics qui sont dans votre tête…enfin je suppose que c’est comme dans la mienne de tête, il y a parfois du monde.

De mon côté, j’ai bossé sur une formation audio de 2h19mn que les abonnés au Groupe Next Step ont reçu pour le mois de mars. Vous pouvez la recevoir immédiatement en vous abonnant aussi.
Elle porte sur la crise de vie et le couple. Elle répond aux mails que vous m’envoyez à ce sujet.
C’est ici pour en savoir plus : https://changementspositifs.fr/votre-crise-de-vie-et-votre-couple/

N’oubliez-pas que pour changer votre vie, il suffit toujours d’une première décision …et d’un peu de détemination.

C’était Didier
de changementspositifs
Vivez votre envie d’être vous.
A bientôt.

Quand on te dit que le temps arrange tout …et que tu y crois

09-03-2020

Bonjour,

Et oui, le temps arrange tout, à ce qu’on dit.
Et ce « on dit » croit bien savoir ce qui est vrai.
Et ce qui est bon pour toi.

Bon, on se tutoie maintenant ?
Oui, c’est parti comme ça.
Mais, on se connaît depuis longtemps et on se dit des trucs très intimes, donc ça facilite le « tu ».
On verra si le « vous » revient.
Tout ceci n’est pas important, ça s’inscrit comme ça.
C’est une question de temps, en fait.
Toujours ce fameux temps qui passe.
Et qui arrange tout.

En fait, qui arrange quoi ?

Nous, on parle de la qualité de notre vie, de l’amélioration de ce que l’on vit, de la meilleure version de soi, de la sortie de la crise de la quarantaine, et à partir de là de mener une vie qui nous ressemble.
Ça c’est notre domaine de réflexion sur www.changementspositifs.fr

Donc, on se retrouve à parler de votre vie professionnelle…
Et de la façon dont vous vivez cet environnement-là.
Etes-vous dans la profession qui vous fait du bien ?
Utilisez-vous les compétences qui vous sont propres ?
Etes-vous content d’évoluer dans votre entreprise et dans votre secteur d’activité ?
Avez-vous l’impression d’évoluer ?
Pensez-vous que vous êtes encore créatif ?

…et de votre vie personnelle.
Avez-vous construit une vie qui vous ressemble ?
Etes-vous en situation de créer une énergie heureuse au sein de votre famille ?
Votre couple est-il toujours en intimité, au sens où nous l’avons défini régulièrement (dont dans la nouvelle formation du mois) ?
Avez-vous encore des envies pour vous, votre couple ?
Pensez-vous que votre histoire personnelle est riche, belle et qu’elle peut encore créer de nouveaux horizons ?


Voilà un ensemble de questions que vous pouvez vous poser pour commencer à faire le point sur votre vie, et sur votre crise de vie.

Et à chaque fois que votre réponse est maladroite ou imprécise, il faudra vous demander ce que vous avez fait pour changer ce qui ne va pas et enfin réaliser pleinement votre vie.

Et là, vous vous demanderez si vous n’avez pas accepté de laisser le temps arranger tout ça.
Comme si le temps était une entité réactive et en lien avec votre moi profond afin de réparer votre vie et décider à votre place.
Quand vous avez un bras cassé, vous faîtes quoi ?
Vous attendez que ça passe ?
Ben non, vous allez vous faire soigner. Et donc, vous décidez de ce qui est bon pour vous.
Pareil pour tout.
Alors pourquoi ne pas le faire en ce qui concerne le sujet le plus important de votre existence, à savoir, vous !

Et bien parce que ça vous arrange bien.
Ça vous arrange bien parce que cela vous permet de ne pas oser faire de votre vie une réalité heureuse.
C’est plus facile de ne rien faire, de ne rien décider, et de ne pas mener une seule action.
En tout cas c’est plus facile quand on se le dit comme ça.
Mais, ça a plus d’impact que mener une action qui libère, qui change votre vie, qui l’améliore, et qui donne du bonheur.
Cela a plus d’impact parce que ça use votre envie de devenir la meilleure version de vous.
Et ça use le changement de votre vie et de votre couple.

Pourtant, c’est tout simple de changer.
C’est tout simple de réaliser votre vie.
C’est tout simple de vivre mieux votre vie, votre couple, et votre job.
N’oubliez-pas que pour changer votre vie, il suffit toujours d’une première décision.
Ensuite, cette décision doit s’ancrer dans votre vie quotidienne.
Et après, il faut enchaîner une nouvelle gymnastique, celle du changement, par de nouvelles décisions à ancrer elles-aussi.
Alors, au lieu de laisser le temps jouer le rôle de votre vie, prenez les commandes.

Pour rappel la nouvelle formation porte sur la crise de vie et le couple. Elle répond aux mails que vous m’envoyez à ce sujet.
C’est ici pour en savoir : https://changementspositifs.fr/votre-crise-de-vie-et-votre-couple/

C’était Didier
de changementspositifs
Vivez votre envie d’être vous.
A bientôt.

Dis, est-ce que tu m’aimes ?

05-03-2020

On continue à parler du couple puisque la formation lancée lundi lui est consacrée.

Aujourd’hui, je pense à cette phrase que vous avez peut-être entendue quelquefois.
Ou bien que vous, avez prononcée.
« Dis, est-ce que tu m’aimes ? ».

On va préciser un point important.
Je parle de cette question sur un couple existant depuis longtemps et pas une nouvelle rencontre.
N’oubliez-pas que mon domaine c’est la crise de la quarantaine.

Donc, par rapport à cette question :
Elle vous semble anodine ?
Elle vous semble logique dans une relation de couple ?
Elle vous paraît partie intégrante de tout relation de couple ?

Hé, ho, y-a quelqu’un ?
Oui, vous, c’est des questions que je vous pose, là !
Moi, quand j’écris je suis face à vous et je vous parle.
Je fais comme en coaching ou en animation de groupe.
Ça y est, vous êtes là ? 
Bon, on continue. 😊

Alors, vous avez répondu OUI avec un grand sourire aux trois questions ?

On va regarder ça ensemble, OK !
Et on va se mettre dans la peau du conjoint qui vous pose la question « Est-ce que tu m’aimes ? »
Franchement, vous trouvez anodin, logique et relevant de la normalité du couple que votre conjoint vous pose la question alors que vous vivez ensemble depuis un certain temps ?

Alors, posez-vous la question suivante :
Pourquoi me pose-t-il (le conjoint) cette question ?

C’est toujours bon d’inverser la question pour mieux comprendre. Essayez, dans tous les domaines d’ailleurs.

Donc : Pourquoi ???

Est-ce pour se rassurer ?
Est-ce pour contrôler ?
Est-ce pour faire un point ?

Ensuite, dites-vous :
Qu’est-ce que ça me raconte sur mon conjoint ?
Et qu’est-ce ça me raconte sur moi ?
Enfin, qu’est-ce que ça me raconte sur notre couple ?

Et pour finir cette réflexion du jour, réfléchissez :
à la première fois où votre conjoint vous a posé cette question « est-ce que tu m’aimes ? » !

Il me semble que vous pourrez de cette façon faire le point, en partie, sur votre relation de couple.
Et cette relation depuis son début.

Et comme c’est à la quarantaine que l’on se pose le plus la question de son couple, parce que la crise de questionnement est là, bien là, cet exercice sera productif. Pour moi, il l’a été, en son temps.

Enfin, si c’est vous qui posez cette question, la démarche ci-dessus s’applique aussi.


Pour en savoir plus sur vous et votre couple, la nouvelle formation est là : https://changementspositifs.fr/votre-crise-de-vie-et-votre-couple/

Pour changer votre vie, il suffit toujours d’une première décision.
C’était Didier
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Vivez votre envie d’être vous.
A bientôt.

C’est quoi le couple au bout d’un certain temps ?

04-03-2020

Et oui, on va parler du couple pendant un certain temps.
 
D’abord parce que cela fait partie de beaucoup de vos questionnements, dans votre tête, ou dans ma boite mail.
Ensuite, parce que c’est important votre couple.
C’est souvent l’essentiel de votre vie, de vivre avec l’autre.
 
La question du jour, c’est de se demander ce qu’est le couple au bout d’une certaine durée.
On en est où au bout de 10 ans, 15 ans, 20 ans ?
 
Moi, mon couple a duré 27 ans jusqu’au prononcé du divorce.
Et avec quatre enfants, on peut dire que le couple continue d’une certaine manière…pas forcément la plus marrante.
 
Bon, comme en même temps, j’ai complètement changé le logiciel qui est dans ma tête, c’est heureusement du bon qui en ressort. Et là, je dois en être à « didierd.3.0 » ; la prochaine mise à jour ne devrait pas tarder.
 
Alors, vous concernant, et donc votre couple, et selon la durée, je dirais qu’il y a plusieurs constats à faire.
 
Bon, si vous vous posez des questions sur votre couple, c’est normal.
Surtout après un certain temps.
« En même temps », comme on dit en ce moment, c’est que vous avez évolué et que le couple ne suit sans doute pas cette évolution.
Que cette évolution soit un début de crise de la quarantaine ou que cette crise soit encore plus ancrée.
 
Le conseil du jour, c’est de vous dire que, de toute façon, vous poser des questions saines sur votre couple c’est l’opportunité pour le consolider, le renouveler…ou le dissoudre.
 
Alors déjà, il est intéressant de vous poser la question sur votre couple au départ de la relation.
C’est un bon point d’analyse puisque ça permet de se rappeler pourquoi et comment vous êtes devenu un couple.
Et cela permet de poser le cadre de vos conditionnements, qui est un concept majeur de l’étude de la crise de vie.
 
Et ensuite, vous pourrez évaluer votre couple dans la durée.
 
Et dans ce couple, il y a le couple quand l’un est en crise de vie.
Et tous les dangers de cette situation pour vous et pour l’autre.
Et aussi toutes les solutions à envisager qui sont, et doivent être, des opportunités.
 
Pour approfondir tout ça, j’ai concocté :
une formation facile à intégrer dans votre planning et qui vous servira d’outil principal pour comprendre votre couple et décider de ce qui est bon.
(2 heures 19 mn d’audio en 13 fichiers audios et 1 pdf avec le plan pour suivre)
 
Que vous soyez :
– en crise de couple.
– en crise de vie.
– ou que vous soyez conjoint.
 
vous pourrez, grâce à cet outil, évaluer :

  • votre situation de crise,
  • la situation de crise de votre conjoint,  
  • la réalité de votre couple, 
  • et avoir une idée claire de ce que vous avez à faire.

C’est ici pour en savoir plus sur cette formation « VOTRE CRISE DE VIE ET VOTRE COUPLE » :
https://changementspositifs.fr/votre-crise-de-vie-et-votre-couple/

Je vous rappelle qu’en vous abonnant aujourd’hui à Next Step, vous aurez accès à cette formation en tant qu’abonné à Next Step, (et au prix Next Step 99 euros) car c’est la formation du mois de mars des abonnés.

Pour changer votre vie, il suffit toujours d’une première décision.

C’était Didier
de changementspositifs
Vivez votre envie d’être vous.
A bientôt.

Comment changer votre vie en 20 minutes par jour

29-02-2020

Petit message du samedi pour vous rappeler que pour améliorer votre vie, sortir de la crise de vie et vivre une vie qui vous ressemble, et bien, il faut changer.
Changer des choses.
Changer de vie.
Et on est tous pareil, ce qu’on veut c’est la « solution miracle » qui permet de changer tout immédiatement, sans effort, durablement et sans dégâts.

Ça c’est un leurre.

Il faut vous investir.

Et si vous ne vivez pas une vie satisfaisante, c’est que vous avez trop attendu avant de vous prendre en mains et de gérer votre mal-être.
Et donc, que vous avez nié votre crise de vie.
Elle était là, mais vous vous êtes dit « ça va passer ».
Et non. Ça ne passe pas tout seul.
C’est dans le pif que vous la prenez et l’imposez à tous.
Autant vous dire que, là, il risque d’y avoir de la casse.

Réfléchissez ; comment tout changer en une minute alors qu’on ne sait même pas qui on est !


Parce que la réalité est bien celle-là.
Vous n’avez pas encore fait le chemin vers le meilleur de vous-même.
Et oui, le but c’est celui-ci.
C’est ça qui vous permet de vous sentir accompli.

Et comme je le dis toujours, d’être heureux et de rendre heureux.

La vraie solution ?
Celle qui marche à tous les coups ?
Celle qui vous permet de changer de vie ?
Et de vous sentir à part, sur un nuage ?

La vraie solution miracle c’est d’abord de décider que ce que vous vivez ne vous convient pas !
Ensuite, c’est de décider qu’il faut changer de vie.
Après, c’est de décider qu’il faut changer vous-même.
Enfin, c’est de décider d’une action immédiate qui vous lance sur le bon chemin du changement, sans tout démolir.

Et pour aller vite, sans erreur, sans errement et pour inscrire le changement réussi durablement, et vous amener à prendre les bonnes décisions, choisissez une bonne méthode.

Pour vous éviter de perdre des années et des années, j’ai conçu une formation qui vous amène à votre rythme vers le meilleur de vous-même (sortie de crise et choix pour votre nouvelle vie).
Il suffit de suivre chaque audio et de voir le changement s’intégrer dans votre vie. En 20 minutes par jour si vous le voulez.

A vous de voir.
Rien ne changera si vous ne faites rien pour changer votre vie.

Cet outil est encore dispo à prix cassé « abonnement » en s’abonnant à Next Step (99 euros) et ce jusqu’à aujourd’hui minuit :
https://changementspositifs.fr/groupe-next-step/
C’est le programme pour changer votre vie, pas à pas, facilement, « Le booster de votre vie » qui vous coache en 22 séances audio (+ de 4h00), en savoir plus c’est là https://changementspositifs.fr/le-booster-de-votre-vie/

C’était Didier
de changementspositifs
Vivez votre envie d’être vous.
A bientôt.

Avant j’étais râleur pro,…avant

26-02-2020

Effectivement, avant j’étais râleur professionnel.
Franchement je râlais pour un rien.
Et souvent, très souvent.
Du coup, il me semble que c’était un mode de fonctionnement.
 
Alors, je ne sais plus quand cela a commencé.
Très tôt, très jeune, me semble-t-il.
J’étais contrarié par certaines choses, puis ensuite, par des riens.
Et au bout du compte, cela finit toujours de la même manière.
Tu t’énerves contre tout et rien à la fois.
C’est franchement limitant comme attitude.
Et en tant que mode d’expression c’est désagréable pour tout le monde.
 
Je suis encore tout seul à expliquer ce problème de vie ou vous vous reconnaissez là-dedans ?
 
Parce que j’ai remarqué que je n’étais seul.
 
Déjà quand j’en souffrais, et oui c’est une vraie maladie, et bien je remarquais que nous étions un très gros club, les râleurs.
J’ai aussi remarqué qu’il y avait différentes sortes de râleurs.

  • Ceux qui imposent leur volonté aux autres.
  • Ceux qui ont l’impression de subir tout le temps les autres.
  • Et ceux qui pensent que leur vie est un boulet.

Dans les trois cas, c’est un problème très lourd qui empêche d’avancer et de donner la meilleure version de vous-même.

Et puis, le râleur est très facile à manipuler.
Il suffit de le mettre en situation où il va râler.
Et là, il râlera et ne sera plus capable d’être cohérent, utile aux autres et à lui-même.
Donc, les autres en jouent de ce mode de fonctionnement ancré dans l’individu profondément.

Pour moi, râler était devenu un fardeau. J’étais déjà en transformation de ma vie. En conscience de ma crise de vie, quoi !

Et je me rappelle qu’un jour, j’allais acheter un livre avec ma fille et je râlais contre elle, contre le parking saturé, contre le fait qu’on aurait pu y penser avant, contre mon divorce en cours, et contre tout ce qui venait, en fait.
Et puis.
Et puis ?

Et puis, je suis ma fille dans la rue avant d’entrer dans la librairie et je me dis :
« Franchement, le plus important ce sont mes enfants et je râle contre eux. Je suis vraiment un abruti ».

Donc, on rentre dans la librairie, on prend le livre à acheter, et là, tout à coup, l’Univers tout entier porte ses rayons cosmiques sur moi et m’envoie un signal immanquable.
Bon, je rigole, comme on dit par chez moi dans le sud.
Disons que le hasard fait que je me retrouve à la caisse de la librairie et que sous mes yeux se trouve le livre « J’arrête de râler » de Christine Lewicki.
J’en ai fait un commentaire d’ailleurs. A retrouver sur mon site.
Un petit livre outil qui m’a bien aidé à comprendre mes limites.

C’était il y a dix ans.
Ensuite, j’ai avancé chaque jour, j’ai créé mon site sur la crise de vie et le changement positif, j’ai créé mes outils et mes méthodes, j’ai coaché, et j’ai aidé les autres à sortir de leur crise de vie.

Vous pouvez continuer de râler et de vous plaindre de votre vie.
Sinon, vous avez un super outil à votre disposition sur mon site.
A vous de voir.
L’engagement est nécessaire pour avancer.
Et cet outil est encore dispo à prix cassé « abonnement » en s’abonnant à Next Step (99 euros) et ce jusqu’à samedi minuit.
C’est le programme pour changer votre vie, pas à pas, facilement, « Le booster de votre vie » qui vous coache en 22 séances audio (+ de 4h00), c’est là https://changementspositifs.fr/le-booster-de-votre-vie/

C’était Didier
de changementspositifs
Vivez votre envie d’être vous.
A bientôt.

Pour éviter d’être en boucle !

19-02-2020

Et voici votre mail du jour pour améliorer votre vie pendant la pause déjeuner.

Hier je vous parlais de la nécessité de vous mettre en « risque » pour espérer avancer.

Par risque, j’entends juste le fait de faire quelque chose de nouveau.

Quelque chose de simple, pas d’effrayant.
En tout cas pas au début du processus.

Ensuite, il y a un rythme à prendre avec votre propre renouveau pour avoir de plus en plus envie de faire ce qui vous plait et que vous n’osiez pas faire.

En tout bien, tout honneur, comme on dit, et en respectant soi-même et les autres.
Je prends mes précautions car à conseiller les autres il faut s’assurer que ces autres comprennent bien que toute nouvelle approche de la vie ne signifie pas nuire aux autres ou nuire à soi-même.

De toute façon je ne crois pas avoir parmi mes lecteurs des personnes malveillantes.
J’ai toujours bien expliqué la vertu de la bienveillance dans toute mon approche de sortie de crise et de création de la vie qui vous ressemble.

Voilà, ça, c’est fait.
 
Aujourd’hui, ce qui m’intéresse c’est le fait que, avant de sortir de la crise de vie, on a tendance à tourner en boucle.
C’est un très bon indicateur.

Si vous tournez dans votre tête en boucle, c’est que vous êtes en crise de vie.
Hé, oui !
 
Quand on va bien, que l’on est dans une vie qui nous ressemble, et bien, on ne rumine pas à longueur de temps les mêmes idées en boucle.
 
Alors, c’est quoi que vous ruminez en boucle ?
 
On peut en lister quelques-unes de ces idées qui polluent votre tête.

Et qui polluent votre créativité.

Et qui polluent votre envie de faire et de vivre ce qui vous ressemble.
 
Et cela, autant au boulot qu’à la maison !
 
En gros, ça va être :

  • Les mêmes regrets (ou remords) : ce que je n’ai pas fait (ou ce que j’ai fait).
  • Les mêmes souvenirs : heureux ou malheureux.
  • Les mêmes solutions d’après coup : ce que j’aurais dû faire.
  • Les mêmes ruminations sur tout ce qui ne va pas.

 
Au-delà de mon conseil d’hier,
– qui s’inscrit déjà dans une démarche de création de la personne que vous voulez être (et que vous êtes au fond de vous), et qui est très utile pour changer au jour le jour-
et bien il y a une attitude à adopter tout de suite,
et c’est le seul moyen d’avancer :
 
Comprendre que ce qui est passé… est passé définitivement.

Et à partir de là, comprendre que, penser et repenser aux événements et situations, et autres alternatives possibles, ne fait pas vraiment avancer.

Sauf si cela fait partie d’un exercice qui contrôle ce processus.

Comme dans la formation du mois, encore disponible au « tarif abonnement Next Step ».

L’abonnement à Next Step c’est là https://changementspositifs.fr/groupe-next-step/   (la formation du mois, l’hedbo, la phrase inspirante du jour).

Et la formation du mois de février est donc là, « Le booster de votre vie » qui vous coache en 22 séances audio (+ de 4h00), c’est ici : https://changementspositifs.fr/le-booster-de-votre-vie/
 
C’était Didier,
de changementspositifs.fr votre partenaire vers le meilleur de vous-même.

Vivez votre envie d’être vous.

Bonne journée.

Quels mots utilisez-vous pour parler de votre job ?

18-02-2020

Voilà un point de diagnostic facile à mettre en place.
Noter les mots que vous utilisez pour décrire votre vie professionnelle.

Quand je parle de diagnostic, c’est bien entendu dans notre registre, à savoir la crise de vie.
En tous cas, constater ce qui va mal et comment y remédier.
Certains d’entre vous me suivent depuis le début de cette Newsletter, il y a cinq ans, donc ils savent quels enjeux nous relevons sur le site changementspositifs.fr
 
Donc, les mots pour décrire son job, sa vie au boulot.

C’est toujours intéressant de laisser s’exprimer librement les personnes qui me consultent.
Les écouter les amènent à utiliser les mots qui leur viennent spontanément à l’esprit.
Et parfois cela en dit long sur ce qu’elles vivent, ou pensent vivre.
 
Bien sûr, le point de départ, c’est le fait de ressentir que vous n’êtes pas satisfait, de plus en plus souvent.
C’est quand vous vivez votre statut au travail de plus en plus mal.
Il est donc temps de réfléchir à vos problèmes professionnels.
 
Car même si votre statut paraît enviable vu de l’extérieur, il peut amener une souffrance au jour le jour.
 
J’ai régulièrement noté que les personnes n’étant pas heureuses dans leur job utilisaient des mots très spécifiques, du genre :
la situation n’a aucune chance de guérir,
le malaise va durer,
il n’y a pas de remède.
 
Tous ces mots sont employés, notamment vis-à-vis
de la hiérarchie,
de la relation aux autres dans l’entreprise,
et du management mis en place.
 
Je pense que vous avez bien noté que les mots utilisés sont des mots relatifs à la maladie.
Et oui, sans s’en rendre compte, les personnes expriment la maladie dont elles souffrent …au travail.
 
Souvent, quand je leur fais remarquer ce qu’elles ont dit, elles sont surprises.
Car elles n’y ont pas fait attention.
Dans un deuxième temps, elles comprennent que c’est logique de s’exprimer ainsi.
 
La vraie question est : comment avez- vous attrapé cette maladie ?

En faisant des mauvais choix, comme toujours quand on se retrouve dans une situation difficile.  
Ou bien en n’ayant pas fait de choix ? 
Ou en ayant laissé les autres choisir pour vous ?
 
Les solutions ? 
Je ne suis pas médecin, mais si on est malade on se soigne.
 
Comment ?
En agissant :
– prendre des décisions qui ne vous coûteront pas plus tard
– et surtout prendre des décisions qui vous ressemblent
– et qui ouvrent vos potentiels
– et qui permettent de vivre la vie qui vous ressemble. 
Même si je vous conseille de ne pas lâcher la proie pour l’ombre. 
Vous pouvez arriver à faire évoluer votre vie professionnelle pour ne plus ressentir la « maladie ». 

Déjà en changeant votre attitude au travail. Commencez le changement par vous-même. Toujours.
 
Et d’ailleurs, on retrouve souvent la même problématique au niveau personnel. 
 
Allez !
Formez-vous :
– à ce que vous aimez (marketing ou internet),  
– à ce que vous redoutez (anglais, informatique),
– et également à ce qui vous apporte du plaisir (piano)
 
Et vous verrez que votre vie va changer !
Car vous ouvrirez vos potentiels.
Mais, n’oubliez-pas que le changement est un tout.
 
Il est temps de changer, non !

Pas de souci, votre méthode est là, prête à vous mener vers votre changement.
Mais ça, c’est à vous de le décider.

Tout le programme pour changer votre vie, pas à pas, facilement, progressivement, est dans la grosse formation du mois « Le booster de votre vie » qui vous coache en 22 séances audio (+ de 4h00), c’est là https://changementspositifs.fr/le-booster-de-votre-vie/
 
C’était Didier,
de changementspositifs.fr votre partenaire vers le meilleur de vous-même.

Vivez votre envie d’être vous.

Bonne journée.

La solution pour ne plus être prisonnier de sa vie

17-02-2020

Un lundi, c’est toujours bon pour essayer d’améliorer sa vie. On va s’intéresser au point de départ pour y arriver.
 
Quand ça va mal et que l’on éprouve solitude, ennui, dépression, colère, fatigue, c’est qu’il est grand temps de se prendre en mains.
Il faut AGIR.
Sinon, l’enfermement dans votre situation actuelle, tellement inconfortable et douloureuse, va s’installer.
Comment AGIR ?
On change nos modes de fonctionnement.
Donc, on sort de sa zone de confort.
Le plus souvent possible.
 
C’est quoi la zone de confort ?
C’est le fait de ne jamais être en situation de peur dans ses actions.
Cela signifie que l’on ne fait rien de nouveau.
Donc, on reste dans ce que l’on connait par cœur pour ne pas être bousculé et ne pas ressentir peur et timidité.
En bref, on stagne et rien n’avance réellement car notre réel est fait de routines totalement maîtrisées.
La zone de confort c’est l’inertie de votre vie.
 
« Rien ne changera dans cette zone de confort et elle amènera inexorablement au malaise. »
Vous ne vous accomplirez pas en ne faisant rien de nouveau, en ne faisant rien qui libère votre personnalité.

Que connaissez-vous de vos aptitudes si vous ne les testez pas ?
On ne change pas sa vie si on reste dans sa zone de confort.

Pourquoi rester là où l’on est, si on pense qu’il faut être ailleurs pour être plus heureux ?
 
« Pourquoi rester celui que je suis si je sais qu’un « autre moi » existe et qu’il sera plus heureux ? »
 
Comment sortir de sa zone de confort ?
On fait ce qui nous bouscule sinon cela n’aura pas d’impact.
Et on procède par petites actions, qui créent un inconfort minime mais qui nous montrent que c’est possible.
Et on augmente l’inconfort créé par une nouvelle action qui nous fait sortir de notre zone de confort.
Il faut faire des choses que l’on n’a pas l’habitude de faire, souvent à cause de notre timidité ou par peur.
 
« Cette timidité ou cette peur sont les signes d’un manque de confiance en soi ou d’un manque d’estime de soi. »
 
Quand vous ressentez cette peur, c’est que vous sortez de votre zone de confort et que c’est bénéfique.

« Faites ces choses que vous avez envie de faire mais que vous n’osez pas faire. »

Le plus simple et le plus évident, c’est d’aller vers les autres en toute circonstance.
Vous verrez à quel point cela change votre quotidien lorsque l’on est capable de parler aux autres, de leur sourire à n’importe quelle occasion, et de les regarder.
Vous sortez ainsi de votre zone de confort.

Ce comportement va construire le changement en vous, vers d’autres modes de fonctionnement.

Mais n’oubliez pas !
« Toutes ces actions qui vous font sortir de votre zone de confort doivent correspondre à votre personnalité profonde, à votre identité, la vôtre, pas celle définie par les autres. »
C’est la condition indispensable pour évoluer vers une vie meilleure.
 
Et si vous commenciez dès MAINTENANT à rencontrer les autres ?
Allez, commencez dès aujourd’hui !
Et inscrivez la semaine sous cette décision ! le premier pas pour changer votre vie…en mieux.
 
Tout le programme pour changer votre vie, pas à pas, facilement, progressivement est dans la grosse formation du mois « Le booster de votre vie » qui vous coache en 22 séances audio (+ de 4h00), c’est là https://changementspositifs.fr/le-booster-de-votre-vie/
 
C’était Didier, de changementspositifs.fr votre partenaire vers le meilleur de vous-même.

Vivez votre envie d’être vous.

Bonne journée.
 
L’abonnement à Next Step c’est là https://changementspositifs.fr/groupe-next-step/   (la formation du mois, l’hedbo, la phrase inspirante du jour).

Faut-il oser les vrais actes d’amour ?

14-02-2020

Aujourd’hui, on parle plutôt des actes d’amour, et ce sont aussi des décisions.

Vous savez ces décisions sans vraiment décider et qui peuvent changer la vie.

Après, on ne parlera pas de ce que peut représenter la notion d’amour car c’est trop vaste, non,
juste nos actes parfois spontanés et qui impactent notre vie. Parfois pour longtemps.
 
Exemple : allez jeter un petit regard vers « La la land » le film un peu comédie musicale, et intéressant sur le plan de l’idée de l’amour.
Regardez-le, il est vraiment pas mal. Et surtout il argumente bien mon sujet du jour.
Par contre ça risque de « spoiler » beaucoup. (anglicisme, pour dire qu’on peut gâcher l’effet de surprise en dévoilant un élément clef).
Bon, on ne va pas dévoiler, on va l’utiliser quand même.
On voit dans la dernière partie du film que toute l’histoire aurait pu être différente si le personnage principal avait fait preuve de plus de spontanéité dès le début (et aurait ainsi évité, plus tard dans l’histoire, de prononcer les mots qui cassent l’élan de la relation et de la confiance).
A regarder.
 
Autres exemples, vécus…par moi à 27 ans, deux exemples avec la même personne.
Comme ça vous ne vous sentirez pas seul dans vos mésaventures.
Le tout c’est qu’elles vous apprennent quelque chose sur vous et sur les autres.

  1. Surprise : plein de roses posées partout dans l’appartement (petit à l’époque, mais beaucoup de roses tout de même) pour faire plaisir et créer une belle émotion à saisir.
  2. Re-surprise : dire au revoir à ma copine qui part comme chaque week-end voir ses parents à une heure de chez nous, et prendre ma voiture pour la rejoindre là-bas.
  3. Résultat : raté et raté. Sourire mais rien de plus pour les roses, et re-sourire mais rien de plus de me voir devant chez ses parents, et je suis reparti cinq minutes après, sur ce joli sourire, mais pas sur ce que j’escomptais.

Cela aurait dû m’éclairer sur le décalage entre :

  • mon rêve d’amour sans doute utopique et basé sur un conditionnement culturel et familial
  • et son attitude d’amour basée sur du pragmatisme et ses propres conditionnements et sans doute bien moins d’élan amoureux.

Et m’alerter sur l’incompatibilité probable de nos vies à long terme.

Malgré cela, je vous le dis, ne rejetez pas votre vie amoureuse.
Et vivez-la pleinement, cela vous fera du bien, si auparavant vous avez fait le travail nécessaire sur vous-même, comme je dis toujours.
Voilà quelques questions à vous poser.

Combien de fois ose-t-on faire ce dont on rêve ?

Avec qui pour que ce soit vraiment une décision d’amour ?

Quand ?

Pour vivre quoi ?


Le tout c’est que cela ne doit pas vous éloigner de la réalité.


Voilà donc pour le dernier mail de la semaine sur le sujet amoureux, même si on y reviendra régulièrement dans les mails de la Newsletter et dans les formations du mois, et les Hebdo-coaching Next Step.

C’est normal, on aime aimer et être aimé.

Alors c’est vrai que franchement c’est plus évident jeune.
On a le physique, le temps pour digérer l’échec, l’envie de recommencer tout le temps ce qui n’a pas marché. On se sent fort physiquement et dans la tête.

Et là, nous parlons d’actes d’amour, entre nous, les quadra-quinqua-sexa pour l’essentiel de ma liste d’abonnés à ce mail quotidien !

Sauf que nous, on a une vie qui nous a enseigné plein de choses.

Sauf que nous, on est passé par une grosse remise en question, la crise de vie, qui nous a montré ce qui n’allait pas, et comment se diriger vers une vie qui nous ressemble.

Sauf que nous, nous avons travaillé sur la meilleure version de nous-mêmes et que cela nous apaise.

Sauf que nous, nous savons ce que l’amour permet de beau dans une vie.
Comme de moins beau, s’il est basé sur une imposture au départ, une soumission à la facilité, un renoncement à nos envies pour une résignation à nos devoirs.
Ha, j’exècre ce mot « devoir » !

Et donc, aimer c’est pour tout le monde.
Quel que soit votre âge, votre milieu social, votre environnement, votre culture de base.
Même si je m’adresse surtout à ceux qui vivent en Europe et au Canada, mais aussi à d’autres pays francophones qui ont leurs différences.
Malgré ces restrictions, l’amour c’est pour tous.

Mais, mais … !
Ne courez pas après.
Ne cherchez pas désespérément.
Ça cela signifie que vous n’avez pas encore fait le boulot sur vous-même.
Et que vous ne savez pas rester en face de vous et apprécier, ce qui est un très gros souci pour évoluer vers la vie qui vous ressemble, car vous êtes soumis à une idée de vous qui ne peut être autonome.

Devenez…vous !
Soyez heureux avec …vous !
Et rencontrez les autres.
C’est une question qui revient souvent dans les mails que je reçois, celle de la solitude et en fait de la peur de la solitude.
Y compris chez ceux qui sont sur la bonne voie de la liberté d’être soi, comme dirait le psychanalyste Moussa Nabati dont vous trouverez l’interview sur mon site en cherchant un tout petit peu.

Soyez bien, soyez vous, et allez vers les autres sans attentes, mais disponible à leur rencontre.
Et vous verrez que l’opportunité d’une belle rencontre se fera.

On vous voudra pour vous.
Et vous voudrez l’autre pour qui il est.
Et parce que vous le méritez.

On termine cette semaine sur les décisions d’amour, et la relation à l’autre, qu’on a un peu plus approfondie dans l’Hebdo-coaching de la semaine envoyé aux membres de Next Step.

L’abonnement à Next Step c’est là https://changementspositifs.fr/groupe-next-step/
Et la grosse formation du mois « Le booster de votre vie » qui vous coache en 21 séances audio, c’est là https://changementspositifs.fr/le-booster-de-votre-vie/

C’était Didier, de changementspositifs.fr votre partenaire vers le meilleur de vous-même.

Vivez votre envie d’être vous.

Bonne journée.

14-02-2020

Comment gérer une décision très perso ?

13-02-2020

On continue dans la série des décisions perso et affectives
puisque la période s’y prête
et que c’est aujourd’hui que part l’hebdo-coaching aux abonnés Next Step (c’est là https://changementspositifs.fr/groupe-next-step/),
et que c’est le thème de cet Hebdo « Décisions d’amour, envies d’amour ».
 
Aujourd’hui on va se poser la question de savoir quelles décisions persos vous avez eu à vous poser dans votre vie, ou vous aurez à vous poser un jour.

  • Se mettre en couple
  • Se marier
  • Partir vivre chez l’autre
  • Accueillir l’autre chez vous
  • Avoir un enfant
  • Avoir un autre enfant
  • Faire un projet professionnel à deux ; et oui, c’est un choix personnel en grande partie
  • Quitter l’autre
  • Revenir auprès de l’autre
  • Divorcer

A vous d’en rajouter d’autres en fonction de votre vécu.

Ces situations sont exceptionnelles, et elles demandent des choix exceptionnels.
Donc, c’est plus compliqué de décider.
D’autant plus que vous êtes en principe dans la confusion de la situation.
 
Le repère principal que vous pouvez utiliser pour prendre la décision est celui de la souffrance que vous ressentez.

Et cette souffrance vous indique qu’il est grand temps de prendre une décision.

En sachant, que cette décision pourra amener à un état particulier à court-terme et à un autre état particulier à plus ou moins long-terme.
Par exemple, vous pouvez souffrir en apparence beaucoup plus à court-terme d’une séparation, et retrouver après un certain temps un état de bien-être jamais connu jusqu’alors.
Si, si !

 
Ensuite, le deuxième point de repère c’est de savoir si ce que vous vivez vous ressemble.

Il est essentiel que vous réfléchissiez à la prise de décisions en ces termes.
C’est un aspect important de toute avancée.
Et c’est au cœur de l’ensemble des formations que je propose (dont « Le booster » en 21 audios-coaching, ). C’est là https://changementspositifs.fr/le-booster-de-votre-vie/ ).
 
Il est aussi essentiel vous preniez une décision.
Au lieu d’attendre que l’autre ou les autres vous imposent une décision.

Il y a un exercice simple et efficace à réaliser dans l’Hebdo coaching de la semaine qui permet d’évaluer les décisions prises.
Cet exercice vous amène à faire de grands pas en avant car il permet de prendre à bras le corps les décisions et de se préparer à décider ensuite.

Évaluer chaque décision en fonction de ce qu’elles sont et seront dans le temps ; Et accepter la position que l’on a eu dans ces décisions.
En sortir et avancer vers ce qui est bien adapté, c’est le résultat de ce type d’exercice.

Et en amour, c’est la même démarche.
Bon, je ne vous parlerai pas de mes choix amoureux.
La question c’est de parler de vos choix amoureux, à vous.
 
En principe, on a peu de grands choix amoureux dans une vie.

Dans l’hebdo, je vous propose, mes 6 conseils en situations que vous avez vécues, vivez ou vivrez.
Ces six conseils bien concrets apportent chacun au moins un élément essentiel pour vivre mieux la relation d’amour :

  • Dans la position que vous avez par rapport à l’autre et comment adopter la bonne mentalité, et d’où vient le problème.
  • La bonne démarche pour rencontrer l’autre en dehors de ce que vous savez.
  • Sur l’état d’esprit qui empêche d’avancer vers une nouvelle relation.
  • Sur l’attitude qui vous met dans l’action de la relation à l’autre, pour ne rien rater.
  • Sur ce qui tue une relation avec peu de chance de retour en arrière, et qui pourrait pourtant s’éviter.
  • Sur la façon de savoir quand il faut arrêter la relation avec son conjoint.

Et bien sûr, l’attitude et la manière de penser qu’il faut adopter dans la relation aux autres et dans la relation amoureuse pour avancer vers une nouvelle vie plus harmonieuse.

Tout ça c’est dans l’hebdo coaching de la semaine pour les abonnés Next Step (https://changementspositifs.fr/groupe-next-step/)

Et Ils ont également reçu la nouvelle formation « Le booster de votre vie » qui vous coache en 21 séances audio, c’est là https://changementspositifs.fr/le-booster-de-votre-vie/

C’était Didier, de changementspositifs.fr votre partenaire vers le meilleur de vous-même.

Vivez votre envie d’être vous.

Bonne journée.

Reçu hier : « Tu m’as fait prendre conscience

du champ infini des possibles,

de l’importance… »

07-02-2020

Et voilà le message que j’ai reçu hier !

« Bravo pour ce beau programme de coaching audio.
J’espère qu’il va aider beaucoup de monde.
Heureux d’être sorti de toute cette épreuve en ayant retrouvé joie, envie, confiance, apaisement, amour.

Tu m’as fait prendre conscience du champ infini des possibles, de l’importance d’être acteur.
Merci !!
A bientôt »



De qui ?
D’un de mes anciens clients en coaching individuel.
Avec qui nous avons construit une nouvelle vie.

Il avait tout pour représenter le bonheur dans l’esprit des gens (40 ans, beau gosse, job de haut niveau, train de vie tout aussi haut, jolie femme, enfants).

Et pour lui, ce n’était pas le cas.

On a travaillé à comprendre, et on a avancé vers sa nouvelle vie.

Des conditionnements, de la confusion, de l’enfermement et de la tristesse, il a su en ressortir ce qu’il décrit dans ce message.

Il a su sortir du chaos de sa vie et de sa crise de vie en devenant la meilleure version de lui.

Il a une nouvelle vie maintenant qui le rend heureux.

Il gère mieux sa vie et son agenda professionnels, il passe plus de temps et de meilleure qualité avec ses enfants, et il a rencontré une femme avec laquelle il est heureux.

Il s’est vraiment investi dans ses séances de coaching et le changement au jour le jour.

Alors si je vous montre son message, ce n’est pas pour me la péter !

Bon, un petit peu quand même !

Je suis content du boulot fait avec lui.
Et je suis sincèrement heureux pour lui.

Si on m’avait expliqué, à moi, comment faire, j’aurais gagné des années.
Mais, il a fallu que je passe par la crise pour enrichir ma vie, et que je devienne un spécialiste du changement positif pour les autres.
Je ne construis plus d’immeubles, j’aide à construire les vies qui vous ressemblent vraiment.

C’est comme ça. C’est ma vie, et j’en suis satisfait.
En tous cas, je préfère la personne que je suis maintenant à celle que j’étais.

Alors, recevoir ce message m’a boosté encore plus.

Il a appris que je sortais un programme de coaching audio et il a regardé ce qu’il en était.
Et là, il m’envoie ce message spontanément.
Tout en me donnant de ses nouvelles.

De toute façon, je suis mes clients après la fin du coaching sur un long temps, pour voir si les résultats sont ancrés.
Juste un petit message de temps en temps pour leur souhaiter une bonne journée.
Ça suffit pour avoir une réponse qui donne le ton de ce qu’ils vivent.

Et franchement, ça dit tout son message.

Alors, à réfléchir…non, à méditer, car réfléchir ça prend la tête.

Pour vous permettre d’y arriver vous-aussi, ma dernière formation « Le booster de votre vie ».
On construit ce changement de vie ensemble en 21 audios-coaching (22 en fait avec l’introduction), à votre rythme, avec un exercice pratique à chaque fois.

C’est là https://changementspositifs.fr/le-booster-de-votre-vie/

Et bien sûr c’est aussi compris dans l’abonnement Next Step du mois (avec tous les autres contenus habituels), ça c’est là https://changementspositifs.fr/groupe-next-step/

C’était Didier.

Vivez votre envie d’être vous.

Bonne journée.

Quand ta vie c’est comme danser la salsa

tous les jours : histoire vécue !

06-02-2020

La salsa …j’adore.

Franchement, quand vous écoutez la musique et que vous commencez à danser, c’est trop bon.

J’ai rêvé de danser longtemps, très longtemps, pas forcément la salsa car je ne connaissais pas.

Mais …
Mais, j’avais vécu une expérience assez traumatisante.

Que je vous livre illico. On est entre nous là !

Et puis, ma méthode de coaching vient en grande partie de mon expérience. Au moins, j’ai le vécu pour comprendre et trouver les solutions. Ça c’était pour me gratifier. De temps en temps, ne pas attendre les autres pour se sentir content de ce à quoi on œuvre.

Donc, mon expérience TRAUMATISANTE ???

Et bien, quand j’ai rencontré ma future ex-épouse (pour les moins réveillés, la femme que j’allais épouser puis dont je divorcerai 23 ans après),
et bien,
je pensais avoir trouvé la partenaire avec laquelle j’allais investiguer cette envie de devenir un bon danseur en couple, surtout qu’elle me dit qu’elle aime danser.


Note de l’auteur de ce mail à haute voix : d’où venait cette envie ???
Réponse du coach (qui est l’auteur aussi, vous suivez ou quoi ?) : Un conditionnement reçu dans l’enfance, je suppose.
Réponse de l’auteur (qui est donc aussi le coach ; c’est bon, ça suit ? ; bref c’est moi quoi !) : exact, mon père était un merveilleux danseur qui avait le sourire aux lèvres tout le temps ; mais surtout quand il dansait. Et je pense que ma mère adorait le voir aussi charmeur sur la piste de danse.
Le coach (moi, quoi !) : Evidence d’un transfert qui idéalise l’image du père et du mari et qui imagine que danser est la solution pour être heureux.

Bon, j’ai un peu schématisé là.

Mais il y a un fond de vrai.

Et vous tous subissaient des conditionnements et des images captées très tôt et qui vous donnent une image erronée de la réalité. Et vous enferment !

Et donc, moi, je rencontre la femme de ma vie (enfin jusqu’au divorce aussi agréable qu’une razzia de Huns sur un petit village de Gaule ; bon, là, je vais me prendre une nouvelle procédure).
Et je danse avec elle, lorsque nous habitons déjà ensemble. On avait peu d’occasion à l’époque et on parlait peu de salsa.

Et là !
Et là ?

On danse un jour à je ne sais plus quelle occasion.
Et elle me dit « On ne dansera jamais ensemble, tu danses trop mal ! »

Vous imaginez le choc.

Là, vous retombez sur vos pattes comme vous pouvez, et vous encaissez, et vous vous mettez en sommeil de danse pendant 23 ans et plus.

Puis, ma crise de vie arrive ; ma libération en fait, du carcan des conditionnements, et de tout ce qu’on m’imposait dans une vie réussie socialement, mais pas épanouissante, et surtout pas en phase avec moi.


Et là, je commence des cours et des soirées de salsa, et de bachata, à raison de plusieurs fois par semaine.
Je m’éclate, je bosse dur sur mes pas et mon rythme.
Et bien sûr, je suis plutôt mauvais danseur.
Pour bien danser, il faut complétement se lâcher et se sentir voler.
Mais, les quelques fois où ça fonctionne c’est l’éclate totale.

Et ma vie, qui change en même temps que j’apprends à danser, devient une musique enivrante et apaisante tout le temps.
C’est ça, être bien dans sa vie.

Pas uniquement danser,

c’est être dans un univers qui vous fait du bien,

dans des pensées qui vous énergisent,

des actions qui vous boostent,

des amours qui vous donnent la pêche.

Et pour compléter, je me souviens que la première fois où j’ai raconté cette histoire à quelqu’un, il m’a dit :
« Elle t’a confisqué ça ? ». Ce que je n’avais jamais réalisé. (2ème procédure en vue !)

Alors, pour nuancer, je vous dirais que chacun se confisque ce qu’il aime le plus, par peur de faire, de dire, de perdre, de ne plus être aimé, d’échouer.

Alors, vous aussi, assumez, et lancez-vous dans une vie où vous prenez la décision de vivre pleinement, que ce soit au boulot ou en privé.

Pour vous permettre d’y arriver, ma dernière formation « Le booster de votre vie ».
On construit ce changement de vie ensemble en 21 audios-coaching (22 en fait avec l’introduction), à votre rythme, avec un exercice pratique à chaque fois.

C’est là https://changementspositifs.fr/le-booster-de-votre-vie/

Et bien sûr c’est aussi compris dans l’abonnement Next Step du mois (avec tous les autres contenus habituels), ça c’est là https://changementspositifs.fr/groupe-next-step/

C’était Didier.

Vivez votre envie d’être vous.

Bonne journée.

L’expression qui change tout

05-02-2020

C’est vrai que quand on regarde les gens, dans la rue, au boulot, au spectacle, on remarque leur expression.

Et, si vous êtes comme moi, intéressé par les autres, c’est une mine de questionnements.

Regarder les autres est une source d’information importante.

Parfois, je déjeune tranquillement en ville, et je regarde autour de moi.
Et je capte.
Je capte les visages et le reste.

Car parler d’expression, c’est parler d’un ensemble.

Il y a le visage bien entendu, mais pas que.
Les attitudes sont importantes.

Vous savez,
La façon de se tenir,
La posture,
La façon de se mouvoir,
Les gestes spontanés,
Les gestes ancrés,
Et bien sûr les expressions du visage.

Dans les expressions du visage, je fais toujours une différence
entre les expressions face aux autres
et les expressions tout seul, quand la personne ne se sent pas observée.

Et là, il y a une très grande différence.
Entre le sourire face à quelqu’un,
Celui pour quelque chose d’anodin (je vous en prie passez, vous étiez là avant moi),
Ou celui pour quelque chose d’attendu (le collègue de travail qui partage notre bureau).

Certains ont des expressions toutes faites qui dupent tout le monde mais qui ne reflètent pas ce qu’elles ressentent vraiment,
D’autres ont des expressions pour la semaine et des expressions pour le weekend.

Et c’est valable pour la posture !
Différente selon le contexte.

Sauf quand tout roule vraiment bien dans votre vie !
Ou, là, tout est cohérent, souple, détendu, harmonieux.
Ça c’est quand vous êtes dans une version de votre vie qui va bien.
Elle va bien car elle vous correspond.

L’expression, avec la posture et les attitudes, parle de vous.

Et vous, qu’en pensez-vous ?

Quelle histoire racontez-vous aux autres ?

Quelle histoire vous raconte votre miroir le matin avant d’attaquer la journée ?
Et le soir en rentrant ?
C’est le reflet de quoi ?

Après, la bonne question, c’est la suivante :
Que voulez-vous ressentir dans votre vie ?

L’histoire de votre vie, c’est à vous de l’écrire.
Et d’en adopter les expressions qui vont bien.

Et ça, c’est votre job, à vous, car personne ne le fera à votre place.

Il faut décider de changer.
Et arrêter de se mentir.

Et prendre le un cap qui vous emmène au soleil de ce que vous voulez vivre.

En acceptant de faire mieux tous les jours.
En comprenant que chaque jour est important.
En comprenant que mieux vivre c’est possible et que c’est un choix.

Pour y arriver, dans ma dernière formation « Le booster de votre vie », on travaille ce changement de vie ensemble en 21 audios (22 en fait avec l’introduction), à votre rythme, avec un exercice pratique à chaque fois.

Je vous coache 21 fois ; c’est entre vous et moi. On avance pas à pas pour booster votre vie, et sortir de l’inertie et du questionnement.

Comme dit l’autre, moi j’ai fait le job, maintenant c’est vous qui voyez.

C’est là https://changementspositifs.fr/le-booster-de-votre-vie/

et bien sûr c’est aussi compris dans l’abonnement Next Step du mois (avec tous les autres contenus prévus),
ça c’est là https://changementspositifs.fr/groupe-next-step/


C’était Didier.

Vivez votre envie d’être vous.

Bonne journée.

Aimer comme dans un film,

mais dans la vraie vie !

04-02-2020

Ha, ça c’est mon côté fleur bleue.

L’amour qui nous fait vibrer.
Vous savez cette certitude que l’on a rencontré la bonne personne.
Et qu’elle va remplir toutes les cases de notre affect.


Comme au cinéma, quoi !

Sauf que, même au cinéma les histoires d’amour sont compliquées et finissent mal !

Il y en a également qui rencontrent leur âme sœur.
Je déteste ce terme.
En fait, ça me fait flipper.
ça me donne l’impression d’une relation platonique poussée à l’excès où l’autre est un idéal qui sent bon la naphtaline et est un double de soi.
Bon, c’est mon côté latin là qui se réveille.
En tant que coach (de crise de) vie, il faut que je me calme.

L’amour c’est le plein d’émotions positives et c’est être assis sur un volcan.

Bon, pas comme quand j’étais jeune et tous les jours sur ma planche à voile et que j’étais en ébullition à chaque nymphette croisée.

Mais, on va dire plutôt que cela fait référence, cette idée de l’amour dont on parle, aux quelques rares personnes qui vous « chamboulent votre vie ».

Vous savez ces personnes qui vous obsèdent et dont vous vous retrouvez dans le quotidien à ne plus faire autre chose que penser à elles.

Celles avec lesquelles ce n’est pas toujours évident, mais avec lesquelles vous avez tout de même votre compte d’émotions positives.

Je vous arrête.
Oui, on a trop tendance à s’embarquer dans des relations galères avec des personnes « prises de tête ».

Heureusement, avec l’âge…. et bien non !

Avec l’âge, on fait pareil.

On continue dans la prise de tête, les relations pourries.
On y perd son temps.
On y perd ses envies.
On y perd ses dernières illusions.

Parce que ?
Parce que tout ça,
l’amour,
les attentes,
les galères,
les désillusions,
les décalages,
viennent de vous !
Et pas des autres !

La plupart des gens se lancent dans des aventures idéales au début.
Puis, ça se gâte ensuite.

Elles sont déçues de la relation, de la personne, qui ne répond pas à ce que l’on croyait pouvoir en attendre, …

He ! Ho ! Retour sur terre !

La relation vraie,
je ne parle de  relations épisodiques liées à une ambiance festive et sans lendemain qui vous permettent de jouer un rôle et de ne pas être vous-même –,
donc, la relation qui vous fait du bien et dure, c’est une relation qui repose sur :

– l’autonomie de chacun en tous points (à la rencontre et ensuite),
– aucun lien ancien encore existant,
– un projet commun,
– l’avancée de chacun tout en étant ensemble,
– la confiance réciproque,
– le meilleur de soi,
– une intimité facile,
– une relation au corps évidente l’un pour l’autre.

OK ?

Donc, ça c’est pour l’essentiel !

Et alors, on fait quoi pour le vivre cet amour là ?

On devient grand,
on arrête d’idéaliser,
on change pour être autonome,
on se libère des conditionnements,
qui nous ont perturbé l’esprit en nous faisant croire que les choses de la vie et de l’amour avaient un format clair.

Alors, ensuite OK pour vivre une vraie histoire d’amour, mieux qu’au cinéma puisque REELLE !

Mais comment y arriver !
Comment y arriver ?

Ben, au lieu de vous déprimer, de vous morfondre et de tout rater, avancez !

Avancez, et changez !
Parce que tout ces ratages viennent de vos peurs :

peur d’aimer,
peur de ne pas être aimé
peur de vivre et de ressentir,
peur des émotions ou surtout confusion des émotions,

A cause de ?
Manque de confiance en soi.
Manque d’estime de soi.
Manque de repères, ou repères très erronés.

Comment changer tout ça ?

Que ce soit avec votre conjoint ou pour votre prochaine rencontre !

Bon, pour repartir sur de bonnes bases et devenir la meilleure version de vous-même, je me suis retroussé les manches et j’ai fait une grosse formation.

Et j’ai créé « Le booster de votre vie »,

c’est la formation pour les abonnés au Groupe Next Step décrit ici.

21 audio/coaching à écouter (plus de 4h) et à mettre en œuvre chaque jour, ou de façon plus espacée si cela convient mieux à votre rythme. 
Chaque séance, une thématique et un exercice fondateur à appliquer.

Je vous coache 21 fois ; c’est entre vous et moi. On avance pas à pas pour booster votre vie, et sortir de l’inertie et du questionnement.

C’est là, à vous de jouer : https://changementspositifs.fr/le-booster-de-votre-vie/

C’était Didier.

Vivez votre envie d’être vous.

Bonne journée.

les chocottes ce n’est pas que

dans la cour de récré

03-02-2020

J’ y pensais en bouclant la formation du mois vendredi.
A quoi ?
Ben, aux chocottes qu’on a tout le temps !
 
Là, j’ai d’abord pensé à la récré parce que j’ai vu des petits bouts aller à l’école.
ça m’a rappelé quand j’avais leur âge. Et puis les chocottes quand ce sont mes enfants qui ont été scolarisés.

Et ensuite, je me suis dit qu’on avait les chocottes en permanence et depuis toujours.

Je le vois en coaching. Encore que, ceux qui viennent me voir, c’est pour changer leur vie.

Les gens tremblent pour tout.

Et d’abord parce qu’ils ont peur que cela change.
Rien ne va.
Ils ne se sentent pas bien ans leur vie.
Mais, surtout que cela ne change pas.
Trop peur du changement.


Franchement, je comprends.
C’est tellement ancré.

En coaching, on n’appelle pas ça les chocottes, mais les peurs bien sûr.

Les peurs qui entrainent nos feins.

Et sur les freins, on est à fond, avec les deux pieds.

Je suis passé par là aussi, avant d’accepter le changement positif.

J’en dis deux mots de ces peurs …ou chocottes pour minimiser la peur de ces peurs ?

Elles viennent de loin.
Depuis la naissance, les premières compréhensions.
Et c’est selon le milieu, l’environnement, la famille.
C’est vachement lié à l’éducation au sens large, celle des parents et de l’extérieur.
Elles sont en grande partie imaginaires, mais elles sont là, bien solides.

Peur de mal faire.
Et même peur de bien faire.
Peur de déplaire (à papa, maman, papy, aux profs, aux copains, aux collègues, au patron, aux associés, …).
Peur de décevoir (ses proches, son conjoint, ses enfants,…).
Peur de perdre.
Et même peur de tout perdre alors qu’on a tout. Celle-là, elle m’a obsédé quand j’étais en pleine pseudo « réussite socio-prof ».
Houlà, cette anxiété par rapport à des scenarii futurs hypothétiques pourris !

Et bien sûr, la peur de changer. On tient les coudes bien serrés sur soi et on espère que cela ne va pas trop changer. Même si c’est carrément la grosse déprime dans sa vie.

Du coup, pour que tout ça soit un peu marrant, plus créatif, plus jouissif et que la vie soit celle qu’on veut et qu’on en profite chacun à sa façon, et bien,…

J’ai créé « Le booster de votre vie »,

c’est la formation pour les abonnés au Groupe Next Step décrit ici.

21 audio/coaching à écouter et à mettre en œuvre chaque jour, ou de façon plus espacée si cela convient mieux à votre rythme ; surtout vu le volume horaire (plus de 4h) et les outils proposés.

Chaque séance, une thématique ; et chaque séance, un exercice fondateur à appliquer.

Je vous coache 21 fois ; c’est entre vous et moi. On avance pas à pas pour booster votre vie, et sortir de l’inertie et du questionnement.

Avec cette formation, la séance 1 débute le premier jour du reste de votre vie.

C’est là, à vous de jouer : https://changementspositifs.fr/le-booster-de-votre-vie/

C’était Didier.

Vivez votre envie d’être vous.

Bonne journée.

Il me dit  » tous les 5 ans

tu prends un coup de vieux « !!!

30-01-2020

Véridique.
ça vient de me tomber cette semaine.
 
Alors que j’étais chez un pote, plutôt philosophe de la vie, étant donné son mode vie du genre « carpe diem ».
 
Mince, à tous les coups, il est abonné à la newsletter, vu qu’il m’encourage toujours à faire ce que je veux et qui me fait du bien, surtout si ça fait du bien aux autres.
 
Quand je vous disais qu’il était philosophe.
 
Et donc, on discute un peu du vieillissement alors que d’habitude on parle plutôt de sagesse.
Bref, on s’est un peu égaré, quoi.
 
Et là, il me sort que « tous les cinq ans, et bien, on vieillit ».
 
En soi, ce n’est pas choquant, me direz-vous.
 
Et je vous le dirais aussi.
 
Bien entendu que nous vieillissons.
 
Et ça, tous les jours qui passent.
 
C’est notre lot, et c’est…normal.
 
 
Sauf que….
 
Oui, vous le connaissez mon « Sauf que… » (pour d’autres, c’est « en même temps » ; on a tous nos rictus linguistiques).
 
Donc, sauf que je ne suis pas d’accord sur une telle simplification.
 
On vieillit, oui !
 
 
Sauf que… en 1 an, vous pouvez prendre cinq ans ou …ou PAS !
 
Ce n’est pas aussi systématique de dire qu’on vieillit.
 
Parce qu’il y a des années qui comptent lourd, et qui coûtent cher,
en énergie, en santé, en émotions, en désillusions, en inertie, en confusion, en non-dit, en non-fait.
 
Réfléchissez à ces années où vous avez senti que vous alliez mal, que vous étiez au ralenti,
et que votre corps ne supportait pas de grands efforts,
et que votre esprit était dans un brouillard tel que seuls la migraine et le mal de dos, des mâchoires et des épaules étaient vos compagnons.
Et puis, sourire aux abonnés absents.
 
Et non, je n’exagère pas. Je l’ai vécu ! Et je le vois chez ceux qui viennent à moi.

Et puis, il y a d’autres années.
 
Les années qui nous portent vers une vie qui nous fait du bien !
 
Ces années, où vous avez fait de bons choix, vous avez vécu de belles choses qui vous ont donné l’envie de réaliser votre vie.
 
Et bien, ces années là, le vieillissement est …comment dire ??? ….cryogénisé !
 
Alors, moi je vous le dis.
On vieillit, et oui.
 
Mais, on vieillit mal ou bien.
 
Et ça, c’est d’abord un choix !
 
Alors, à vous de décider si cette année vous allez prendre cinq ans, ou si vous allez retrouver la forme physique et mentale que vous pouvez obtenir.
 
 
Sauf que… ces années-là se méritent.
 
Elles se préparent, s’anticipent, se galvanisent, s’énergisent, s’investissent.
 
 
Alors, mettez-vous au boulot, sinon on en reparle en décembre.
 
 
Et pour vous aider dans ce chemin vers le meilleur de vous-même et la meilleure première année de votre vie, j’ai créé :
 
« Le booster de votre vie »,
c’est la prochaine formation à sortir d’ici début février et que recevront les abonnés au Groupe Next Step décrit ici.
 
Franchement, c’est un gros cadeau que je fais aux abonnés.
J’ai investi beaucoup de temps et d’énergie dans cette formation et je sais qu’elle va les aider à changer leur vie, et les booster.
Alors, ils auront celle-là.
 
21 audio/coaching à écouter et à mettre en œuvre chaque jour, ou de façon plus espacée si cela convient mieux à votre rythme ; surtout vu le volume horaire et les outils.
 
Chaque séance, une thématique ; et chaque séance, un exercice fondateur à appliquer.
 
Un programme en 21 étapes, pour donner du relief et des couleurs à votre vie.
 
Avec cette formation, la séance 1 débute le premier jour du reste de votre vie.
 
 
Et ça arrive bientôt.
 
On en reparle.
 
C’était Didier de www.changementspositifs.fr
 
Vivez votre envie d’être vous.
Bonne journée.

Puis-je encore réussir ma vie ?

… et mon cadeau pour le week-end.

24-01-2020


Alors, c’est vrai que vous ne vous posez pas cette question à longueur de temps.

En tous cas, j’espère pour vous.

Mais, il faut reconnaître que, de temps en temps, vous vous posez la question.

Déjà, sous une autre forme.

Ai-je réussi ma vie ?

Logiquement, cela n’arrive pas trop tôt.

Ou alors, on peut y réfléchir en fonction d’une situation donnée.

Un job qui marche bien …ou moins bien.

Un amour qui marche bien …ou moins bien.

Une manière de vivre qui marche bien…ou moins bien.

Et cela déclenche cette réflexion.

Souvent, quand vous ne faites rien de spécial et que vous traînez au fond du canapé.

Mais pas que.

Cela peut aussi arriver lorsque vous êtes dans une situation inédite, à observer les autres, et à vous dire, tout seul, en silence…

ai-je réussi à vivre ce que je voulais ?

Encore faut-il que vous sachiez ce que vous vouliez vivre.

Et c’est vrai que face à des évènements compliqué, douloureux, inattendus, et bien, vous allez avoir encore plus de questionnement sur votre vie.

Et sur ce qu’elle vous a donné jusqu’à présent.

Sauf que, vous ne pensez pas que la question devrait se poser d’une autre façon ?!

La vraie question à vous poser c’est :

Qu’est-ce que j’ai donné à ma vie jusqu’à présent ?

Et oui,

attendre de la vie n’est rien,

comparé à apporter tout ce dont votre vie a besoin.

Je ne parle que de biens matériels. Ça compte bien entendu.

Mais, cela ne fait pas une vie réussie.

En tous cas, pas tout seuls.

Il faut bien d’autres choses pour faire une vie réussie.

C’est bien aussi de réussir dans la vie, mais c’est mieux de réussir votre vie.

Les deux n’étant pas incompatibles.

On en parle dans la formation du mois à voir ICI : https://changementspositifs.fr/formation-les-clefs-de-la-reussite/

Cette formation est en partie tirée de ma conférence sur « la réussite à partir de la crise de la quarantaine ».

Elle constitue un fondamental pour avancer vers la vie qui vous ressemble.

Et elle pose cette question de savoir si vous pouvez encore réussir votre vie.

Car quand vous vous posez des questions sur votre réussite, vous questionnez votre existence même.

Et donc, tous les pans de votre vie.

Familiaux, professionnels, amicaux, activités, contributions, réalisations, craintes, et au fond de vous, vos envies.

C’est la crise de vie qui vous interroge.

Et cela peut vous déstabiliser.

C’est normal.

Le week-end arrive et les questions peuvent vous interpeler.

Et puis, êtes-vous au cœur de la crise de vie, ou bien en approche ?

Quoiqu’il en soit, je vais vous donnez en cadeau pour le week-end, les vraies questions à vous poser.

Là, quelle que soit votre situation.

Crise de la quarantaine ou pas.

Problèmes ou pas.

Rupture ou pas.

Conflits ou pas.

Voici les quatre questions à vous poser avant de penser que tout va mal pour vous :

  1. Ce que je suis, ici et maintenant, j’en fais quoi de bien ?
  2. Pour y arriver, je change quoi en moi ?
  3. Pour y arriver, je change quoi dans ma vie ?
  4. Pour y arriver, je fais quoi comme action, même petite, maintenant ?

N’oubliez jamais ces quatre questions, elles sont fondamentales de la sortie de crise et de toute avancée dans la vie.

Et pour faire encore mieux pour votre vie, il y a le Groupe Next Step à retrouver ICI, avec la formation du mois, le coaching hebdo, et la phrase inspirante du jour ; tout ça dans votre boite mail.

C’était Didier de www.changementspositifs.fr.

Vivez votre envie d’être vous-même.

Bon week-end.

Vos 6 rêves fondamentaux accessibles !

15-01-2020

Bonjour, les abonnés newsletter.

Alors c’est vrai que vous avez des rêves.


En tous cas, rêver, si cela ne vous entraine pas dans la procrastination et l’inaction en général, c’est bien.

N’oubliez-pas que la vie… ça se vit.

La rêver, c’est une autre façon de définir vos actions pour demain et après-demain.

Une fois cela précisé, on peut dire que les rêves aident à construire votre vie.

Ces rêves dépendent de vous, et de votre idée du bonheur.

Et ce qui dépend de vous,

dépend de beaucoup d’éléments,

dans votre interprétation de la vie et de comment faire des choix dans la vie,

qui sont en très large partie conditionnés.

On en a déjà parlé, les conditionnements conduisent vos choix largement, et conduisent votre vie à la crise de vie.

Il faut chercher leur source et faire le travail nécessaire pour avoir enfin une liberté de vraiment choisir votre vie.

Cela partie du job de www.changmentspositifsfr et des contenus qui sont à votre disposition sur le site.

Allez-y, vous y trouver les fondamentaux de la crise et des interviews d’experts qui font évoluer.

Et évoluer, c’est sortir de la crise de vie, et réussir votre vie.

Alors, à partir de cette notion de bonheur, toujours au cœur de votre cheminement vers la crise de vie, mais également vers votre nouvelle vie, celle qui vous ressemble, il y a vos rêves que vous considérez souvent comme inaccessibles.

Et c’est normal, car on ne vous a pas appris à réaliser vos rêves.

Vos ambitions, celles de vos parents, de votre conjoint, de vos profs, de vos employeurs, de vos associés, de vos enfants, etc, oui.

Mais, vos envies de réussite à vous, qui vous correspondent, ça vous ne savez pas…encore.

Et donc, vos rêves vous paraissent inaccessibles.

C’est une erreur.

On en parle dans le nouveau contenu coaching hebdo envoyé aux membres du Groupe Next Step cette semaine.

On établit le contenu du bonheur dorénavant, et les rêves qui deviennent accessibles maintenant.

Tout devient accessible une fois que :

  •  mes trois conseils préalables sont appliqués
  • Mes cinq étapes sont intégrées
  • Et que mon dernier conseil surprise est mis en oeuvre.

Tout ça c’est :

dans l’abonnement auGroupe Next Step (cliquez ICI)

pour vous accompagner jour après jour (une phrase inspirante par jour),

semaine après semaine (un contenu de coaching hebdo),

mois après mois (une formation par mois) (voir infos formation du mois en cours ICI).

Réussir votre sortie de crise de vie, et votre vie, c’est sur www.changementspositisf.fr

Bonne journée.

A +.

Vivez la vie qui vous ressemble

Didier

Changement et réussite, le lien !

14-01-2020

Bonjour, les abonnés newsletter.

Changer n’est pas programmé dans votre éducation.

Ni dans notre société d’ailleurs.

On vous dit tout le temps d’être prévisible, de ne rien bousculer, de ne pas évoluer.

Déjà, tout jeune, on vous disait « Mais tu fais quoi là ? », ou bien « C’est quoi cette façon de faire ? », ou bien « Sois raisonnable, fais comme on te dit » .

Et oui, vous avez été programmé pour accepter ce qui semble être votre place, et vous y tenir longtemps.

Mais attention, il n’y a pas que l’éducation !

C’est pareil partout.

Ensuite, vous endossez un style de vie …très conditionné par l’environnement au sens large et au sens restreint aussi.

Et vous vous y tenez…longtemps.

Vous ne voulez rien changer, on ne vous a pas appris.

Et puis, c’est parfois confortable de rester là, tout le temps, dans la même façon d’être et de faire.

Sauf que, autour de vous, ça bouge !

Regardez bien autour de vous.

La vie est « impermanente ».

Et oui, tout change, sans vous demander votre avis.

Nouvelles technologies, nouvelles techniques, nouveaux comportements, nouveaux managements, nouveaux modes de vie.

Et vous, vous êtes là, à ne rien changer.

Sauf que, à un moment donné, cela vous rattrape tous ces changements.

Certains vous sont imposés, et sont plus faciles à assimiler.

D’autres sont plus compliqués.

Dans votre vie professionnelle.

Dans votre vie privée.

Et puis, vous-même, vous supportez mal de ne pas vivre ce qui vous attire.

Ou bien, de vivre ce qui ne vous convient pas.

Et un déclencheur perso ou pro suffit à vous déstabiliser, et à vous lancer dans une crise de vie.

Tant mieux !

C’est enfin l’opportunité de changer pour devenir vous-même et créer le monde qui vous ressemble.

Le changement fera votre sorite de crise.

Le changement fera votre réussite.

Les deux concepts de changement et de réussite sont liés.

Ils sont indissociables.

Changer quoi ?

Commencer par quoi ?

Que mettre dans la notion de changement ?

Comment définir la réussite ?

L’importance du changement pour réussir,

la façon de changer,

et comment maintenir le changement,

tout ça c’est :

dans la formation du mois (voir infos ICI) ,

qui est disponible uniquement dans l’abonnement auGroupe Next Step (cliquez ICI)

pour vous accompagner jour après jour (une phrase inspirante par jour),

semaine après semaine (un contenu de coaching hebdo spécifique),

mois après mois (une formation par mois).

Réussir votre sortie de crise de vie, et votre vie, c’est sur www.changementspositisf.fr

Bonne journée.

A +.

Vivez la vie qui vous ressemble

Didier

C’est quoi vos béquilles à vous ?

13-01-2020

Bonjour, les abonnés newsletter.

Il y a une évidence qui n’apparaît pourtant presque jamais chez ceux qui sentent la crise de vie arriver, ou sont en plein dedans.

Une évidence qui est essentielle pour avancer vers une nouvelle vie.

Sans vous rendre compte de cette évidence, et bien, vous n’avancerez pas.

Pourquoi ?

Et bien, parce que vous continuerez à faire semblant, à croire que c’est bien, et que ça va continuer ainsi.

Sauf que !

Sauf que cela vous amènera à la même situation d’échec et d’insatisfaction.

Et vous vous direz « Pourtant je fais comme il faut faire pour remplir ma vie ! »

Et voilà !

La remarque qui explique tout.

Vous faites ce qu’il faut pour remplir votre vie.

Une vie n’a pas à être remplie.

Elle doit se vivre.

En fonction de qui vous êtes, vous !

En fonction de ce qui vous fait du bien à vous.

Et c’est pour cela que nombre d’entre vous tombent dans la crise de vie – ce qui est normal en fait pour presque tout le monde -, mais surtout y reste…longtemps.

Car, à mal comprendre ce que vous vivez,

A mal comprendre ce que vous devez faire,

A mal comprendre que vous replongez facilement dans les mêmes actions conditionnées,

Vous n’avancez pas.

Et vous vous enlisez dans la crise de vie.

Alors, de quoi dois-je me rendre compte, vous dîtes-vous, depuis le début de ce mail.

Vous devez vous rendre que quand vous ne vivez pas une vie épanouissante,

car essentiellement conditionnée par l’éducation,

la société et par vos proches,

tant au niveau personnel que professionnel,

et que vous vous appuyez sur des béquilles.

Ces béquilles sont

votre façon de fuir,

de ne pas accepter la part de créativité en vous,

de ne pas oser le changement,

de ne pas dépasser votre peur de faire en fonction de qui vous êtes.

Ces béquilles, on en parle dans la formation du mois (voir infos ICI) , qui est accessible uniquement dans l’abonnement auGroupe Next Step (cliquez ICI) pour vous accompagner jour après jour, semaine après semaine, mois après mois.

Réussir votre crise de vie, c’est sur www.changementspositisf.fr

Bonne journée.

A +.

Vivez la vie qui vous ressemble

Didier

Réussir sa vie, ça s’apprend !

08-01-2020

Bonsoir, les abonnés newsletter.

Cette semaine c’est lancement, donc deux mails par jour pour vous présenter l’abonnement Next Step, en bas de page.

N’oubliez-pas que si vous avez mieux à faire que travailler sur la crise de vie et la réussite de votre vie, et bien, c’est tout simple « unsubscribe » en bas du mail.

Pour info, les abonnés Next Step ont déjà reçu les premières phrases quotidiennes d’ancrage inspirant.

Et le premier « contenu coaching hebdomadaire » part demain.

Vous aussi, vous pouvez le recevoir en vous abonnant, et vous recevrez également la formation du mois bien entendu.

Tout est décrit plus bas.

On revient à notre sujet du jour « apprendre à réussir votre vie ».

Notre sujet principal, c’est bien la crise de la quarantaine sur www.changementspositisf.fr .

On parle généralement de crise du milieu de vie ou de crise de la quarantaine.

Même si elle peut se produire à30 ans comme à 60 ans.

C’est certain que ce sont les ruptures qui caractérisent le mieux la crise.

Rupture amoureuse, rencontre amoureuse aussi et donc réflexion sur le couple.

Difficultés au travail avec rupture d’une situation ancienne.

Problème de santé qui déclenche la réflexion latente sur votre vie jusqu’à présent.

La crise est présente souvent depuis plus de dix ans avant de vous rendre compte, de votre plein gré, mais souvent contraint, qu’il y a quelque chose qui ne tourne pas rond dans votre existence.

Et vous pensez que c’est tout ce qui est autour de vous, puisque vous ne l’appréciez plus.

Et bien, non, ce qui ne va pas, c’est vous !

Vous souffrez parce que tout va mal, parce que tout ne va pas assez bien, ou parce que vous n’appréciez plus rien.

Souffrance, salut, entre dans ma vie, puisqu’on se connaît depuis longtemps, mais que j’ai fais semblant que tout allait bien.

Et là, c’est dépression, ruptures dont on a parlé.

Essais de solutions bidons, de petits ajustements avec vous-même et les autres.

En bref, rien qui puisse vous sortir des grandes marées qui arrive sur votre littoral, vous, petit voilier mal amarré à son rivage instable.

Alors, les situations les plus graves, quand on a trop laissé traîner, c’est la dépression et le fracas de votre vie.

Rien que ça.

Regardez autour de vous, les exemples ne manquent pas.

Et les conséquences, j’en vois, moi aussi chez ceux qui m’appellent.

Alors, un conseil, ou plusieurs.

Accepter que tout ne va pas bien.

Acceptez que vous devez comprendre ce qui vous arrive.

Acceptez de définir ce qui vous arrive.

Acceptez de remettre en cause votre mode d’interprétation de la vie et votre façon de vivre, puisque cela vous a mené à une situation intenable.

Refaire la même chose, aura le même résultat, c’est bien connu !

Commencez par vous prendre en mains physiquement en allant voir votre médecin, puis psychologiquement s’il vous le conseille.

Ensuite, entreprenez de vous former à la sortie de crise de vie.

Parce qu’il y a sous vos yeux, la meilleure opportunité de votre vie, ne la ratez pas !

Et c’est devenir la meilleure version de vous-même dans une vie qui vous ressemble !

Il y a plein de conseils dans le guide que vous avez téléchargé lors de votre inscription à la Newsletter, si vous ne l’avez pas oublié à peine téléchargé, parce qu’il est gratuit ; Et que vous pensez que ce qui est gratuit n’a pas de valeur.

Dommage, utile, je le relis régulièrement pour ne pas perdre mes bases.

Quant au chemin vers la sortie de crise et vers la vie qui vous ressemble, nous le faisons ensemble à travers les contenus que je propose depuis 5 ans.

C’est pourquoi, j’ai créé le Groupe Next Step pour vous accompagner mois après mois à travers un ensemble de contenus qui vont vous aider à transformer votre vie, quelle que soit votre situation actuelle.

Next Step est un abonnement, résiliable à tout moment, à 99,00 euros mensuels.

Il contient la formation du mois (valeur de 159 euros ce mois-ci). Pour celle disponible en ce moment, allez voir son contenu,  C’EST ICI.

En plus, vous recevez une phrase inspirante quotidienne pour ancrer la journée dans une bonne interprétation et un contenu de coaching hebdomadaire pour développer votre autonomie à penser ce qui est important pour changer votre vie.

Groupe Next Step est CONSULTABLE ICI, si vous voulez vraiment donner un nouvel essor à votre vie.

Bonne soirée.

A +.

Vivez la vie qui vous ressemble

Didier