VIDEO UN LIVRE A VIVRE : « Petit traité de vie intérieure ».

Aujourd’hui, je vous parle d’un livre qui a compté pour moi et qui peut compter aussi pour vous.

Il s’agit du « Petit traité de vie intérieure » de Frédéric Lenoir.

Alors pourquoi a-t-il compté pour moi ?

Et bien plusieurs raisons.

La première c’est qu’il est arrivé à point nommé dans ma vie.

Début 2011 au moment où je vivais une situation inédite terriblement difficile. Ma vie était confuse, sans aucun repère, tant au niveau personnel que professionnel.

A ce sujet je donne quelques explications sur le blog sur la page Qui suis-je.

Et là ce livre est arrivé ; c’est ma fille alors âgée de 15 ans qui me l’a offert après que l’on ait vu l’auteur en parler dans une émission télé.

C’est le premier livre d’une longue série car j’ai beaucoup lu depuis que ma vie a changé.

Mais pour revenir à ce livre et bien il est devenu mon livre de chevet pendant longtemps.

Je l’ai lu et relu.

Je l’ai surligné pour pouvoir le relire en un temps record et retrouver l’impact et l’efficacité qu’il propose.

Alors c’est quoi ce qu’il propose.

C’est un outil, un guide.

L’auteur nous dit : « Exister est un fait, vivre est un art. »

Mais au-delà de cette formule, ce livre donne des moyens de structurer sa pensée et sa vie pour aller à ce qui est important pour se sentir heureux.

Accepter sa vie, accepter et aimer la personne que l’on est, vivre l’instant présent, se connaître soi-même, faire des choix, savoir pardonner, aimer la vie, aimer quelqu’un, savoir lâcher prise car on ne peut pas tout contrôler et surtout pas les autres.

Il donne quelques éléments cruciaux pour vivre mieux tels que transformer ce que l’on peut changer pour être plus heureux.

Et ne pas polluer sa vie à vouloir changer ce qui ne peut pas l’être.

Il dit à quel point la résistance au changement est une source de souffrance.

L’auteur prône la confiance en soi et la confiance en la vie.

Je cite une phrase du livre : « Plus nous percevons le positif de l’existence, plus la vie nous semble belle et lumineuse. »

Le bonheur est une chose fragile, jamais acquise. Il faut donc s’engager jour après jour.

Et le bonheur sans les autres n’existe pas.

Quand il dit qu’il faut s’engager, il dit que cela favorise l’épanouissement de nos potentiels créatifs.

Il  explique à quel point la recherche incessante de biens matériels est sans fin.

Pour lui, l’échec n’est pas un drame c’est un guide vers une nouvelle vie bien meilleure.

Tous ces messages sont positifs et porteurs d’envie de se réaliser, de s’accomplir.

Il donne de vrais conseils pour favoriser la prise de conscience et la prise de recul par rapport aux évènements de notre vie.

Et il pousse à construire sa propre vision de la vie en dehors des religions et des croyances sociales.

Ce livre est concret car il pousse à l’action. Il pousse à rester concret et à avoir des rêves qui ne nous éloignent pas de la réalité. Il montre une approche généreuse et optimiste de la vie.

Alors comment l’auteur s’y prend-il pour faire sa démonstration ,

Et bien, il utilise toute sa culture et son savoir étendu des philosophes, des religions, des thérapies. Mais aussi l’expérience de sa propre vie pour documenter et rendre authentique chaque étape de ce guide du « vivre la meilleure vie possible ».

L’auteur, Frédéric Lenoir est philosophe, sociologue et écrivain. On le voit régulièrement dans des émissions de télé quand il s’agit de parler de l’évolution de la société, et notamment de religions. Il a obtenu de nombreuses distinctions pour son œuvre littéraire.

On peut se fier à sa connaissance approfondie des philosophes et des religions, et il a même pratiqué le bouddhisme.

Ce qui m’a particulièrement intéressé c’est l’utilisation des philosophes grecs pour lesquels j’ai une affection particulière et qui sont fondateurs d’une grande part de notre pensée.  Mais j’ai appris sur les religions et j’ai révisé pas mal sur les autres courants philosophiques plus modernes tant le livre est documenté.

Sur internet, vous trouverez le plein d’infos sur Frédéric Lenoir.

J’ai lu ensuite son conte philosophique « L’âme du monde » en 2012. Et je me suis dit qu’il y avait de la veine de livre initiatique tel que « L’alchimiste » de Paulo Coehlo. On est dans une très belle énergie dans ce conte qui sera confirmée, j’en suis certain. Il faut d’ailleurs que je lise ce qu’il a écrit depuis 2012.

Pour conclure, je dirais que ce livre est un déclencheur très pratique, un premier outil fondamental si vous êtes en pleine crise de la quarantaine et que vous appréciez la culture qu’il peut vous apporter ou les rappels des connaissances croisées au cours de vos études.

Mais il est très facile d’accès pour tout le monde. Et son titre est particulièrement bien choisi.

Ce livre a été le premier changement positif pour moi. Il peut l’être pour vous.

C’est tout pour aujourd’hui.

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C’était Didier.

A bientôt.